BRAS DE FER

Recrutée par la société Capgemini, qui l'emploiera désormais comme directrice de son activité «Projet et Consulting», Nathalie Kosciusko-Morizet annonce quitter la vie politique. Elle démissionnera prochainement de son mandat de conseiller de Paris.
L'homme qui avait violemment pris Nathalie Kosciusko-Morizet à partie lors d'un tractage sur un marché parisien, le 15 juin dernier, a été condamné à trois mois de prison avec sursis et 1 000 euros d'amende. L'ex-députée LR avait perdu connaissance.
Dans une interview, Rachida Dati dézingue ses alliés de l'ère Sarkozy tels NKM ou Brice Hortefeux, qu'elle dit avoir frappé devant un ascenseur. Nicolas Sarkozy semble avoir connu bien des déboires pour contrôler son ex-garde des Sceaux.
Lors de l'audience où quatre mois de prison avec sursis ont été requis contre son agresseur présumé, Nathalie Kosciusko-Morizet a maintenu ses accusations contre Vincent Debraize, assurant faire du sport et ne pas s'évanouir facilement. Reportage.
Nathalie Kosciusko-Morizet est présente ce 11 juillet au procès de son agresseur présumé qui a lieu à Paris. Accusé de «violences et outrage sur personne chargée d'une mission de service public», l'homme affirme que l'ex-ministre a «simulé» sa chute.
Mis en examen pour outrage et violence «sur personne chargée d'une mission de service public», Vincent Debraize conteste les charges retenues contre lui et donne sa version de l'incident avec Nathalie Kosciusko-Morizet.
Antoine Lachenaud, l'avocat de Vincent Debraize, a présenté la version des faits de son client à la presse. Elle diffère très largement de celle de sa victime présumée, NKM, qui l'aurait insulté et aurait simulé sa chute.
Vincent Debraize, le maire sans étiquette de Champignolles soupçonné d'avoir agressé Nathalie Nathalie Kosciusko-Morizet le 15 juin dernier, devait être présenté au juge le 19 juin dans l'après-midi. Le procès a été renvoyé au 11 juillet 2017
Privé d'investiture par LR et battu à Paris sous une candidature dissidente, Henri Guaino n'était pas contraint de faire cavalier seul. Le FN aurait tenté de l'attirer dans ses filets en lui proposant une circonscription dans le Var, en vain.
Le matin du 17 juin, un homme a été mis en garde à vue, soupçonné d'avoir agressé le 15 juin la candidate LR aux législatives en campagne à Paris, qui avait alors perdu connaissance. Et ce suspect n'est pas un citoyen ordinaire...
Au lendemain de l'hospitalisation de la candidate aux législatives, qui a ému l'ensemble de la classe politique, une manifestation a eu lieu à Paris «contre la violence et pour la démocratie». Plusieurs élus et des citoyens se sont mobilisés.
Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate LR aux législatives à Paris, a quitté le 16 juin l'hôpital Cochin où elle avait été admise après avoir été prise à partie la veille par un homme violent, alors qu'elle distribuait des tracts sur un marché.
Candidate à la députation sous l'étiquette Les Républicains, Nathalie Kosciusko-Morizet a délégué sa fin de campagne à sa suppléante à la suite de son malaise après une altercation à Paris. Elle souffrirait d'un traumatisme crânien.
Le 15 juin, un passant a arraché des tracts de la main de Nathalie Kosciusko-Morizet, avant de les lui envoyer au visage et de l'insulter. Victime d'un malaise, la candidate LR a été hospitalisée. Des élus ont réagi en appelant à une mobilisation.
Le malaise de Nathalie Kosciusko-Morizet sur un marché parisien, après qu'un passant lui a jeté à la figure des tracts et l'a insultée, a mis les responsables politiques en émoi. De gauche à droite, les messages de soutiens et de solidarité affluent.
Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate LR aux législatives à Paris, est tombée et a perdu connaissance plusieurs minutes le 15 juin, après une altercation avec un passant, sur un marché du Ve arrondissement. Une enquête a été ouverte.
Avec moins de 5% des suffrages, Henri Guaino n'accède pas au second tour dans la circonscription parisienne jusqu'ici tenue par François Fillon. Annonçant son retrait de la politique, il en a profité pour dire leur quatre vérités à ses électeurs.
Après le refus de son parti de l'investir dans les Yvelines, Henri Guaino, qui avait refusé de participer à la campagne présidentielle de François Fillon, sera candidat à Paris face à Nathalie Kosciusko-Morizet, elle aussi membre des Républicains.
Si Florian Philippot voit dans la réponse à la «main tendue» de Macron d'élus LR la preuve de la constitution d'un «parti unique mondialiste», les cadres du parti minimisent l'impact de cet appel et resserrent les rangs avant les législatives.
D'après une information du Canard Enchaîné, l'aile gauche des Républicains pourrait faire sécession au lendemain des législatives afin de créer un parti de centre droit. Après la défaite de François Fillon, le parti est sujet aux divisions.