BRAS DE FER

Alors que Moscou accuse Kiev de vouloir se lancer dans une provocation à la «bombe sale», le président russe Vladimir Poutine a dit souhaiter une mission de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur place.
Le 29 août 1949, l'URSS testait sa première bombe atomique, quatre ans après les bombardements américains de Hiroshima et Nagasaki. Comment l'Union soviétique a-t-elle développé une arme d'abord créée dans le plus grand secret aux Etats-Unis ?
Le dessinateur Plantu, qui officie pour Le Monde depuis des décennies, n'a pas fait l'unanimité sur Twitter après que le quotidien a publié un de ses dessins où un nuage en forme de champignon remplace le cèdre sur le drapeau du Liban.
Peu après l'exécution barbare du journaliste Jamal Khashoggi par des émissaires saoudiens, le département américain de l'Energie a accordé deux autorisations à des sociétés pour une collaboration sur le nucléaire avec le royaume.
Le second sommet entre le président américain et le leader nord-coréen se tient ce 27 février à Hanoï. La pression s'accentue sur Donald Trump pour l'obtention d'actes concrets de la part de la Corée du Nord mettant en œuvre sa dénucléarisation.
Selon le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique, les dernières inspections témoigneraient du respect par l'Iran de l'accord sur le nucléaire de 2015, au grand dam de Donald Trump qui a exprimé sa fureur dans un tweet.
Lors de sa rencontre avec John Bolton, le conseiller américain pour la sécurité nationale, Vladimir Poutine a évoqué les armoiries américaines pour interroger son interlocuteur quant à ses intentions.
Oscar Temaru, ancien président de la Polynésie, a annoncé avoir déposé une plainte contre la France le 2 octobre devant la Cour pénale internationale pour crimes contre l'humanité, en référence aux essais nucléaires en Polynésie de 1966 à 1996.
Images et graphiques à la main, le Premier ministre israélien a accusé l'Iran de disposer d'un complexe secret où seraient entreposées 300 tonnes de «matériaux nucléaires». Selon lui, Téhéran tenterait d'en faire disparaître les preuves à toute hâte.
Pour Téhéran, le retrait unilatéral décidé par le président américain de l'accord sur le nucléaire iranien et le reniement d'autres accords ont montré que Donald Trump n'était pas un partenaire fiable. Kim Jong-un doit-il dès lors se méfier ?
La Russie a fait savoir qu'elle était prête à apporter son aide dans le processus de dénucléarisation de la Corée du Nord prévue par le document signé par Kim Jong-un et Donald Trump à Singapour le 12 juin.
Après le retrait américain de l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien, l'Iran a annoncé augmenter sa capacité d’enrichissement d'uranium tout en respectant l'accord de Vienne. Le Premier ministre israélien a immédiatement réagi.
La Commission européenne a annoncé qu'elle lancerait un «processus» qui pourrait lui permettre de bloquer les effets extraterritoriaux des sanctions américaines pour les entreprises européennes voulant investir en Iran.
Deux semaines après l’annonce de la fermeture de son seul site d'essais atomiques lors d'un sommet historique avec son voisin du sud, la Corée du Nord passe à la vitesse supérieure en fixant entre les 23 et 25 mai, la date de son démantèlement.
Dans un discours en direct à la télévision, le Premier ministre israélien, virulent détracteur de l'accord international sur les activités nucléaires de l'Iran, a présenté des graphiques, accusant Téhéran d'entretenir un programme nucléaire secret.
Les présidents français et russe ont confirmé la similarité de leurs vues sur l'accord nucléaire iranien, que Washington entend remettre en cause. Emmanuel Macron doit justement discuter de ce sujet avec Donald Trump, lors de sa visite à Washington.
Invitée du journal de RT France, Juliette Morillot, historienne spécialiste de la Corée du Nord, revient sur la détente annoncée entre Pyongyang et Washington. Selon elle, plutôt qu'un revirement, Kim Jong-un a au contraire une certaine constance.
Dans un contexte international tendu, et alors que l'OTAN procède à une remilitarisation du continent européen, le PIR-Center s'inquiète du déploiement par les Etats-Unis d'armes tactiques nucléaires légères en Europe.
L'«horloge de l'apocalypse», qui symbolise l'imminence d'un cataclysme planétaire, a été avancée de 30 secondes, à deux minutes avant minuit, en raison surtout d'un risque accru de conflit nucléaire mondial.
Le président américain Donald Trump devrait de ne pas revenir sur la suspension des sanctions économiques contre l'Iran, levées dans le cadre de l'accord sur le nucléaire. Mais pour la dernière fois, d'après la Maison Blanche.