BRAS DE FER

Le 25 mai, le Premier ministre a ouvert le Ségur de la Santé pour investir dans un secteur mis à rude épreuve par la pandémie de coronavirus. Les premières orientations sont déjà contestées par les syndicats et collectifs contactés par RT France.
L'ancien président français, à qui a succédé Emmanuel Macron, a pris la parole pour la première fois depuis l'épidémie. Il a reconnu sa part de tort au sujet de la crise sanitaire, et a également proposé un plan de relance aux allures de programme.
Après Caen et Poitiers, c'est au tour de l'hôpital Henri Mondor de Créteil d'afficher son SOS lumineux sur sa façade. Une action en forme d'appel à l'aide pour défendre l'hôpital public et dénoncer la marchandisation de la santé publique.
Les sénateurs ont adopté le projet de loi du gouvernement intitulé «Ma Santé 2022». Le même 11 juin, les services hospitaliers manifestaient, notamment dans les services d'urgence qui dénoncent la détérioration de leurs conditions de travail.
Les syndicats se sont massés sous les fenêtres du bureau de Martin Hirsch le 28 juin pour dénoncer son projet de réunir les hôpitaux parisiens en méga-structures. Les manifestants craignent une casse sociale et un impact sur la qualité des soins.
Emmenés par la fédération syndicale SUD Santé Sociaux, solidaire de la Convergence des Hôpitaux en Lutte contre l’Hôstérité, les hospitaliers en colère ont manifesté à Paris pour alerter l'opinion publique sur l'état de leur institution.
Malgré la promesse d'Emmanuel Macron de ne pas réaliser d'économies sur le budget de l'hôpital pendant son quinquennat, une circulaire émanant du ministère de la Santé annonce au contraire une économie de 960 millions d'euros... Qu'en est-il ?
Le médecin urgentiste Patrick Pelloux a accordé une interview à RT France. Il dénonce la politique française en matière de santé, déplore un certain manque de communication avec le ministre de la Santé et appelle à un big bang politique.
Lors du salon du livre des lanceurs d'alerte, RT France a rencontré l'écrivain Thomas Dietrich, qui s'est illustré en 2016 en dénonçant les pressions du ministère de la Santé, alors dirigé par Marisol Touraine, sur la Conférence nationale de santé.
La gonorrhée, maladie des maisons closes du XIXe siècle, sera-t-elle un jour impossible à soigner ? Elle deviendrait «plus difficile, voire parfois impossible» à traiter à cause de la résistance des bactéries aux antibiotiques, a prévenu l'OMS.
Après ses revers sur ses décrets migratoires, Donald Trump a subi une nouvelle défaite politique importante. Le Congrès a mis en échec son projet de réforme du système de santé, dont il avait fait l'un des points centraux de sa campagne électorale.
Favoritisme appuyé ou démarche régulière ? La direction de l'Institut Gustave-Roussy de lutte contre le cancer dénonce la tentative de Marisol Touraine, ministre de la Santé, d'imposer un de ses proches à la tête de l'établissement.
Le ministre de la Santé du Chili juge que les «Happy Meals» de McDonald's n'ont rien de joyeux, d'un point de vue nutritionnel. Son gouvernement vient de les interdire, ainsi que d'autres produits, dans un effort national pour combattre l'obésité.
Après l'Allemagne, les Pays-Bas, le Danemark et la Suisse, c'est au tour du Canada de travailler sur un projet de loi qui permettrait de prescrire de l'héroïne aux patients n'ayant pas répondu aux traitements classiques, comme la méthadone.
Alors que les incertitudes et les craintes demeurent quant aux dangers potentiels posés par les organismes génétiquement modifiés (OGM), deux provinces du Canada veulent suivre l'exemple de transparence de l'Etat du Vermont aux Etats-Unis.
Les deux candidats à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 se voient déjà président. Ils ont tous deux l’intention de revenir sur la loi Santé de Marisol Touraine
Depuis samedi, les médecins libéraux français sont en grève. Un mouvement très suivi un peu partout en France. Les médecins dénoncent la marchandisation de la santé, et la main-mise totale des mutuelles prévue dans la loi Touraine.
La Haute Assemblée a décidé de bannir à compter de 2017 les cabines de bronzage à UV, jugées trop nocives pour la santé. Un texte qui a peu de chance d'être confirmé par l'Assemblée, la ministre étant opposée à une interdiction totale.