BRAS DE FER

L'Azerbaïdjan a balayé une accusation formulée par le camp arménien, avançant que les forces azéries utiliseraient des milliers de combattants formés en Syrie dans les affrontements du Haut-Karabagh.
Français et Italiens ont beau voler au secours des Grecs en Méditerranée, le président turc a l’avantage à court comme à long terme, estime Philippe Migault, directeur du Centre européen d'analyses stratégiques.
Dans sa tentative de décrédibiliser son adversaire démocrate à la présidentielle, Donald Trump assure que les dirigeants de puissances étrangères rivales des Etats-Unis «rêvent» de Joe Biden à la Maison Blanche.
La signature d'un accord maritime entre l'Egypte et la Grèce a attisé des tensions en mer Méditerranée. Le chef de la diplomatie européenne a dénoncé le 9 août les «mouvements préoccupants» de la marine turque en Méditerranée.
La conversion de l'ancienne basilique Sainte-Sophie d'Istanbul en mosquée a provoqué de nombreuses indignations. En guise de protestation mais surtout de deuil, les églises orthodoxes en Grèce ont mis leur drapeau en berne.
Les députés égyptiens ont approuvé une possible intervention armée en Libye si les forces du gouvernement de Tripoli, soutenues par la Turquie, continuent leur avancée vers l'est, selon l'annonce du Parlement.
Selon le vice-ministre russe des Affaires étrangères, la décision de convertir l'ex-basilique Sainte-Sophie en mosquée est une «affaire intérieure» de la Turquie. Vladimir Poutine et son homologue turc se sont entretenus par téléphone à ce sujet.
Le pape François s'est dit «très affligé» par le choix du président turc Recep Tayyip Erdogan de transformer en mosquée l'ex-basilique Sainte-Sophie. La voix du Pape s'ajoute aux nombreuses critiques internationales visant le président turc.
Jean-Yves Le Drian a déclaré que la France «déplor[ait]» les décisions des autorités turques de transformer l'ex-basilique Sainte-Sophie d'Istanbul de musée en mosquée. D'autres pays tels que la Grèce et les Etats-Unis ont exprimé leur indignation.
Particulièrement remontés, le gouvernement grec et l'Eglise orthodoxe russe ont multiplié les déclarations hostiles face à la décision de la justice turque de révoquer le statut de musée de l'ex-basilique Sainte-Sophie.
Le président russe Vladimir Poutine a dénoncé, ce 1er juillet, les nouvelles sanctions américaines contre la Syrie, visant selon lui à «étouffer» ce pays en proie à un conflit armé depuis 2011.
Abdel Fattah al-Sissi, qui soutient le maréchal Haftar en Libye, a fait savoir qu'une «intervention directe» de l’Egypte dans ce pays était «devenue légitime au niveau international». Le gouvernement d'union nationale libyen dénonce une ingérence.
Si la crise migratoire en Europe et le conflit en Syrie sont étroitement liés, c'est en grande partie la politique de la Turquie, membre de l'OTAN, qui agit en catalyseur. Analyse du chercheur Pierre Berthelot.
À l'approche d'une rencontre entre les dirigeants de l'Union européenne, de l'OTAN et le président turc Recep Tayyip Erdogan, la présidente du Rassemblement national a appelé à la plus grande fermenté envers la Turquie.
Pierre Berthelot, chercheur associé à l’IPSE et Hanan Hmad, avocate, débattent de la crise migratoire et humanitaire aux portes de l’Europe et de l’attitude que celle-ci doit adopter face à la Turquie de Recep Tayyip Erdogan.
Soucieux de préserver la relation russo-turque, Vladimir Poutine et Recep Erdogan se rencontrent afin d'avoir une «discussion directe» suite au regain de tensions à Idleb, où l'armée syrienne poursuit son avancée.
Les députés turcs en sont venus aux mains en plein hémicycle le 4 mars. Une bagarre générale déclenchée suite aux critiques virulentes d'un député de l'opposition, qui a reproché au président Recep Erdogan la mort des soldats turcs en Syrie.
A la recherche d'un appui occidental dans le cadre de ses opérations militaires dans le nord-ouest de la Syrie, le chef d'Etat turc a actionné le levier des flux migratoires vers l'Europe. La situation donne lieu à un contexte explosif.
Recep Tayyip Erdogan a demandé ce 2 mars à l'Europe de «prendre sa part» de ce «fardeau». Deux jours plus tôt, près de 13 000 migrants ont convergé vers la frontière gréco-turque après que le président turc a ouvert ses frontières.
Le chef de file de LFI a eu des mots durs contre le «détestable régime turc», qu'il a accusé de soutenir le terrorisme en Syrie. Le député a, en outre, appelé à «accueillir raisonnablement et correctement» les migrants venus de Turquie.