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Une colistière LFI aux municipales aurait relayé une image de façade d'école parisienne émaillée d'un tag féministe. Sous le graffiti figurait une plaque commémorative en hommage à des enfants déportés. Valeurs actuelles évoque même une profanation.
Un rassemblement s'est tenu ce 5 janvier à Paris, pour exiger un nouveau procès de Kobili Traoré, mis en examen pour le meurtre de Sarah Halimi. Celui-ci a été jugé pénalement irresponsable, en raison d'une «bouffée délirante» liée au cannabis.
Accusé d'avoir tué aux cris de «Allah akbar» la sexagénaire juive Sarah Halimi en 2017, Kobili Traoré, drogué au cannabis, a été déclaré pénalement irresponsable par la cour d'appel de Paris, qui écarte donc la possibilité de le juger aux assises.
Stéphane Encel, docteur en histoire des religions, répond dans La Grosse Question.
Dans une tribune au Point, Bernard-Henri Lévy a affirmé qu'il croyait au «repentir» de l'écrivain Yann Moix, qui lui a demandé «pardon» pour ses dessins et textes négationnistes parus dans sa jeunesse, dans lesquels il l’insultait notamment.
Le suspect du meurtre de la sexagénaire juive Sarah Halimi va-t-il échapper à un procès ? Cette perspective a provoqué la colère des parties civiles après une décision des juges d'instruction qui pourrait considérer Kobili Traoré comme irresponsable.
Le parquet de Paris réclame un procès pour meurtre à caractère antisémite contre le suspect de l'assassinat de la sexagénaire juive Sarah Halimi en 2017. La famille de la victime redoutait que le suspect soit reconnu pénalement irresponsable.
Une photo de soirée de Guillaume Pradoura arborant un chapeau de rabbin, des papillotes et des mains crochues refait surface tout en suscitant le scandale. Mais Nicolas Bay défend son assistant en évoquant «une affaire d’ordre privé».
L'ancien président du groupe de la majorité présidentielle devenu président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, voit de l'«antisémitisme militant» dans «l’image du banquier» d'Emmanuel Macron que développe François Ruffin dans son ouvrage.
La France va adopter une définition de l'antisémitisme intégrant l'antisionisme. Mais pour l'essayiste Jean Bricmont, qui s'oppose à toute criminalisation des opinions, les deux concepts diffèrent fondamentalement.
Le 18 mars marque le coup d’envoi en France d’une semaine d’actions, d’événements culturels et d’initiatives contre le racisme et l'antisémitisme à destination des écoliers, collégiens, lycéens et étudiants.
La mairie de Strasbourg a confirmé une nouvelle profanation survenue le 2 mars. La stèle, censée représenter une synagogue détruite par les nazis en 1940, a été vandalisée dans la nuit du 1er au 2 mars.
Des agents de la sûreté ferroviaire ont interpellé le 27 février l’auteur présumé d'une cinquantaine de tags antisémite sur la ligne C du RER. L’homme, âge de soixantaine d’années, a été pris en flagrant délit en gare de Versailles Rive Gauche.
Emmanuel Macron semble prendre le problème des contenus haineux sur internet à bras le corps, en annonçant un projet de loi. Il souhaite que les internautes condamnés pour propos racistes ou antisémites soient bannis des réseaux sociaux.
Le Parisien rapporte plusieurs inscriptions, dessins et tags antisémites et nazis dans plusieurs lieux parisiens, notamment dans le quartier d'Alésia. Une femme a également porté plainte après avoir reçu des menaces verbales.
Se basant sur des faits divers antisémites, des députés macronistes, LR et centristes, veulent pénaliser l'antisionisme. Le sujet est sensible, d'aucuns estiment qu'il s'agirait ici de sanctionner une opinion politique. Qu'en est-il ?
Devant le Crif, le président de la République a dénoncé une «résurgence de l'antisémitisme sans doute inédite depuis la Seconde guerre mondiale». Il entend intégrer l'antisionisme à la définition de l'antisémitisme et continuer à combattre BDS.
Un homme soupçonné d'avoir proféré des injures à caractère antisémite envers le philosophe Alain Finkielkraut en marge d'une manifestation parisienne de Gilets jaunes, a été placé en garde à vue le 19 février.
A l'appel d'un texte signé par une vingtaine de partis, à l'initiative du leader socialiste Olivier Faure, une marche contre l'antisémitisme se déroule ce 20 février, place de la République à Paris. Plusieurs membres du gouvernement y participent.
Le ministre israélien de l'Immigration a appelé les juifs résidant en France à émigrer en Israël après la profanation d'un cimetière juif dans le nord-est de la France. Dans la foulée, Emmanuel Macron a promis «des actes» et «des lois» pour «punir».