SIDERANT

Face aux résultats aux législatives, le maire Les Républicains de Meaux Jean-François Copé a appelé à un «pacte de gouvernement» avec Emmanuel Macron. Une idée qui n'a pas été du goût du président du parti Christian Jacob.
Unir la macronnie avec la droite et le centre ce prochain quinquennat ? C'est l'espoir de l'ancien ministre et président de l'UMP Jean-François Copé qui a lancé un appel au président pour le second tour.
Sur Facebook, un employé de la mairie de Meaux a commenté une photographie sur laquelle apparaissait une femme voilée participant à une manifestation, en ces termes : «Couper la tête à cette poufff.» Le commissariat a ouvert une enquête.
Il était rapporteur de la loi Hadopi et membre de la commission Copé sur l'audiovisuel public. Franck Riester, le président d’Agir, la droite constructive, écope du ministère de la Culture. Il est réputé maîtriser les dossiers liés au numérique.
Laurent Wauquiez a estimé qu'il y avait «des lignes rouges à ne pas franchir comme celles de l'Etat de droit ou la liberté de la justice» mais s'est montré en accord avec la politique migratoire prônée par le Premier ministre hongrois, Viktor Orban.
Jean-François Copé n'a visiblement pas renoncé à de grandes ambitions malgré son échec cuisant en novembre 2016 lors de la primaire de la droite pour la présidentielle. Selon Le Parisien, l'actuel maire de Meaux vise Paris.
Laurent Wauquiez, le président des Républicains, s’est targué de «faire une proposition neuve» en remettant en question le droit du sol. Mais ce sujet est pourtant une antienne de la droite depuis plus de dix ans.
Conflits d’intérêt, salaires astronomiques, petits arrangements scandaleux : le livre brûlot «Les Intouchables d’Etat» de Vincent Jauvert, qui sort le 18 janvier, dénonce les excès de l'élite des hauts fonctionnaires.
Le candidat d'En Marche ! veut accroître l'importance des accords d'entreprise et de branche. Pour introduire ces réformes, il ne compte pas s'embarrasser de discussions parlementaires et entend recourir à des ordonnances.
Après l'abandon de nombreux soutiens, les choses s'accélèrent pour François Fillon, à un point où on ne se pose plus la question de la légitimité des candidats, où tout effondrement et ascension semble possible, estime le politologue Eddy Fougier.
Alors que les défections s'accumulent autour de François Fillon, la droite peut-elle encore se sauver ? Le politologue Bruno Cautrès revient sur les chances de l'alternative incarnée par Alain Juppé ainsi que sur l'avenir du parti aux législatives.
Dans une interview exclusive à RT France, Jean-François Copé, l’ancien ministre, député-maire de Meaux, évoque les relations franco-russes, la prétendue ingérence russe dans la présidentielle française 2017 et les enjeux de cette dernière.
Tous les coups sont permis. Alors que certains déplorent le niveau des débats à l'approche de la fin de la primaire de la droite, RT France revient sur les attaques les plus acerbes envoyées par les candidats à leurs rivaux ces dernières semaines.
Après un chauffage de salle assuré par Jean-François Copé et Nathalie Kosciusko-Morizet, Alain Juppé a défendu son projet à Toulouse, sans lésiner sur les attaques contre son rival François Fillon à quelques jours du second tour de la primaire.
Le premier tour de la primaire de la droite et du centre est un succès pour les Républicains, qui ont attiré plus de quatre millions de Français aux urnes. La journée a été riche en émotions et en surprises pour les candidats et leurs soutiens.
Ce dimanche 20 novembre a lieu le premier tour de la primaire de la droite et du centre. Parmi les sept candidats, seuls deux accéderont au second tour le 27 novembre prochain.
Au menu de ce troisième débat, riche en altercations et coups de gueules : des thématiques aussi variées que l'élection de Donald Trump, la crise syrienne, l'école, l'immigration... et même la robotisation !
Jeudi soir, les sept candidats de la primaire de la droite et du centre confrontent leurs idées et leurs programmes devant les caméras, pour une troisième et dernière fois avant le premier tour du scrutin, dimanche 20 novembre.
A défaut de trouver l'amour de leur vie, les utilisateurs français de l'application Tinder peuvent désormais «matcher» avec NKM, Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé. Entre deux profils, des questions se proposent de les aider à choisir leur candidat.
A quelques jours de la primaire de droite et du centre, les sept candidats ont abordé des sujets d’actualité comme le mal-être policier, le terrorisme ou la politique extérieure, sans pour autant délaisser les petites piques ou encore les lapsus.