Un établissement réputé de la ville de Nantes a été renommé après des accusations de racisme émanant d'une pétition mise en ligne par un anonyme. La propriétaire des lieux confesse avoir «eu peur» des réactions, en pleine affaire George Floyd.
La capitale du Massachussetts a décidé de retirer une statue de l'ancien président Abraham Lincoln au motif qu'elle jouait un rôle «dans la perpétuation de préjudices blessants» envers les Afro-Américains. Elle avait été installée en 1879.
Alors qu'il se trouvait dans le garage d'une maison, un quadragénaire noir non armé a été abattu par la police dans la nuit du 21 au 22 décembre dans la ville de Colombus. «C'était un invité, pas un cambrioleur», assure le maire de la ville.
L'ancien policier de Minneapolis Derek Chauvin, principal accusé du meurtre de George Floyd, a pu obtenir la liberté contre une caution d'un million de dollars dans l'attente de son jugement en mars.
Cagoulés, armés de fusil d'assaut, plusieurs centaines d'Afro-américains du groupe NFAC ont défilé dans les rue de Lafayette aux Etats-Unis, promettant de ne plus jamais «permettre le meurtre d'un autre Noir».
La fresque commémorative a été effacée sur demande de la préfecture de Seine-Saint-Denis, qui a répondu favorablement à une revendication du syndicat de police Alliance.
Dans un contexte de mobilisation historique contre le racisme et les violences policières aux Etats-Unis, un homme a été tué le 2 septembre à Washington par la police. La police pense que l'individu avait «une arme à ce moment-là».
Le 26 août, le procureur général du Wisconsin a livré à la presse de nouveaux détails du dossier Jacob Blake – cet Afro-Américain touché par plusieurs coups de feu tirés par un policier, dans un contexte encore flou.
Une nouvelle nuit d'échauffourées a secoué la ville de Kenosha, où trois jours plus tôt, des policiers ont tiré plusieurs coups de feu dans le dos d'un Afro-américain, Jacob Blake. Sa famille regrette les heurts qui ont suivi et a appelé au calme.
Une nouveau vent de colère a soufflé dans plusieurs grandes villes américaines au lendemain d'une apparente bavure policière sur un homme noir à Kenosha (Wisconsin). Un drame qui ravive les braises du mouvement engendré après la mort de George Floyd.
Un officier de police a ouvert le feu sur un Afro-américain, qui se trouve dans un état grave après avoir été touché à plusieurs reprises «dans le dos», selon le gouverneur. Une vidéo, qui montrerait l'intervention, suscite l'émoi.
La chaîne YouTube PoliceActivity a mis en ligne la totalité des images des caméras-piétons portées par deux ex-officiers, Thomas Lane et Alexander Kueng, lors de l'interpellation de George Floyd, au cours de laquelle l'homme de 46 ans décédera.
Le Daily Mail a mis en ligne des extraits des caméras-piétons de deux policiers accusés d'être impliqués dans la mort de George Floyd. Ces images montrent les instants qui ont précédé l'interpellation de l'Afro-américain de 46 ans.
En pleine crise du Covid-19, la mort de George Floyd lors de son interpellation déclenche un vaste mouvement de protestation contre les violences policières visant la population noire aux Etats-Unis. RT était dans les rues de Washington.
Auditionné en Commission des lois, le ministre de l'Intérieur a choisi – pour évoquer son aversion du terme «violences policières» – des mots à la résonance particulière. Ceux-ci ont notamment choqué la famille de Cédric Chouviat.
Affirmant que cela allait à l'encontre de sa «mentalité russe», le pilote de Formule 1 Daniil Kviat a expliqué qu'il ne mettrait pas de genou à terre en signe de soutien au mouvement Black Lives Matter.
Le champion du monde de football Thierry Henry, entraîneur de l'Impact de Montréal, a posé un genou à terre à l'ouverture d'un match de MLS, en hommage à George Floyd et au mouvement Black lives matter.
Le comité vérité et justice pour Adama a diffusé un document selon lequel les trois gendarmes mis en cause dans l'affaire devraient payer 2 000 euros à Assa Traoré, dans le cadre d'une procédure judiciaire qu'ils auraient intentée contre elle.
Quatorze pilotes, dont Lewis Hamilton, ont posé un genou à terre en signe de soutien à la lutte contre le racisme avant le départ du Grand Prix d'Autriche de Formule 1. Six autres sont restés debout, tout en arborant des T-shirt contre le racisme.
Saluée par certains et abhorrée par d'autres, notamment dans les rangs de la police, la fresque contre «le racisme et les violences policières», représentant George Floyd et Adama Traoré, a été recouverte de tags.