BRAS DE FER

Il serait bien Pakistanais, mais ne s'appellerait pas Hassan et n'aurait pas 18 ans, mais 25 : les enquêteurs de la DGSI progressent dans le dossier de l'attaque qui a fait deux blessés aux abords de l'ancienne rédaction de Charlie Hebdo.
Des responsables politiques étasuniens envisageraient des sanctions contre des responsables liés au Hezbollah, pour que le parti chiite, soutenu par l'Iran, n'ait pas la main sur le futur gouvernement libanais.
La cour d'appel de Paris a confirmé la libération d'un individu soupçonné d'avoir fourni une arme au terroriste Chérif Chekatt, qui avait tué cinq personnes à Strasbourg en décembre 2018. L'homme a été placé sous surveillance électronique.
Selon des révélations faites par un policier national à nos confrères de StreetPress, des fonctionnaires en poste au TGI de Paris traitaient les détenus de façon inappropriée, entre propos racistes, brimades et conditions de détention discutables.
Pour marquer le tragique anniversaire de la mort de Jacques Hamel, plusieurs cérémonies ont lieu à Saint-Etienne-du-Rouvray. Une messe dans l'église, où il a été assassiné, a succédé à une marche silencieuse et précédé un hommage républicain.
Alors que la diplomatie française avait sévèrement critiqué l'internement «inacceptable» de membres de la minorité ouïghoure, Pékin a vivement réagi, défendant sa politique dans la région au nom de la lutte contre «le terrorisme et le séparatisme».
Le gouvernement de transition a adopté des amendements abolissant la peine de mort pour apostasie, criminalisant l'excision et autorisant les non-musulmans à importer, vendre et consommer de l'alcool. Des décisions contestées dans la rue à Khartoum.
Les hommages de deux ministres de l'Intérieur et une plainte du préfet de police de Paris : les réactions fusent après que la dégradation de la plaque commémorant le policier national Ahmed Merabet, tué lors de l'attaque terroriste de Charlie Hebdo.
Des préfets, des énarques, de la fermeté et un accent marqué sur la lutte contre les séparatismes et le terrorisme... à quoi le gouvernement se prépare-t-il pour les derniers mois de mandat d'Emmanuel Macron ?
Alors qu'un rapport sénatorial met en garde contre l'influence de l'islamisme radical en France, Sébastien Boussois, docteur en sciences politiques, souligne que ce combat se mène sur plusieurs fronts, dont celui des relations internationales.
Lydia Guirous, essayiste et ancienne porte-parole des Républicains, et Nicolas Bays, co-fondateur de La République en marche, reviennent sur un rapport alarmant publié le 9 juillet par le Sénat concernant la propagation de l'islam politique en France
Interdire des prédicateurs et discours séparatistes, mieux surveiller certaines structures et sensibiliser les élus et éducateurs : un rapport sénatorial propose des mesures contre la «radicalisation islamiste» perçue de plus en plus menaçante.
Présent au sommet du G5 Sahel, Emmanuel Macron a déclaré avoir «inversé le rapport de force» avec les factions djihadistes dans la région. Cependant, un rapport publié par le Conseil de sécurité de l'ONU dresse un tableau beaucoup moins optimiste.
En septembre dernier, L'Express rapportait que le candidat aux municipales Abdelaziz Hamida avait éveillé l'attention des renseignements «en raison de ses activités prosélytes» et de son «entourage». Le désormais édile de Goussainville dément.
Selon le parquet antiterroriste, quatre des suspects n'avaient pas une «connaissance précise» des modalités de l'attentat, mais avaient «conscience de l'existence d'un projet» terroriste. Le Pnat demande le renvoi de neuf suspects devant les assises.
Selon Site, l'ancien leader d'Al-Qaïda au Maghreb islamique, Abdelmalek Droukdal, a bien trouvé la mort comme annoncé par la France début juin. Dans une vidéo, le groupe djihadiste a reconnu son décès et promis de poursuivre le combat au Sahel.
Le CGLPL a rendu un rapport mettant en lumière une prise en charge «insatisfaisante» des détenus dans les unités dédiées à la prévention de la radicalisation. Le syndicat UNSA-UFAP s'est insurgé contre une analyse «idéologique» selon lui.
Alors que nombreux opposants à Emmanuel Macron craignent que la loi Avia ne permette une censure sur internet, d'aucuns s'inquiètent de la nomination d'une Yéménite proche des Frères musulmans au conseil de surveillance des contenus de Facebook.
Plusieurs défenseurs du multiculturalisme et du communautarisme ont déploré la position française consistant à autoriser le port du masque sanitaire tout en maintenant l'interdiction de la burqa. Une polémique qui prend sa source aux Etats-Unis.
Des policiers d'Ile-de-France interrogés par RT France ont livré leurs observations après un mois de confinement face à l'épidémie de Covid-19. Certains se désolent d'une situation délétère, tandis que d'autres demeurent optimistes. Journal de bord.