SIDERANT

Accusé d'«incitation à attroupement non armé», notamment pour avoir publié un communiqué en faveur d'une grève générale, Khaled Drareni a été condamné en appel a deux ans de prison. Incarcéré depuis fin mars, le journaliste est maintenu en détention.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et son homologue algérien Sabri Boukadoum tiennent une conférence de presse à Moscou. Lors de leur rencontre, les ministres devraient discuter des relations bilatérales et de l’agenda régional.
Depuis qu'il a été nommé ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin aime rappeler publiquement ses origines de petit-fils d'immigré et son aïeul algérien. Une stratégie qui ressemble curieusement à celle de son mentor, Nicolas Sarkozy.
La justice algérienne a relaxé trois militants du mouvement de contestation populaire «Hirak», arrêtés il y a quelques semaines pour manifestation interdite durant la période de confinement.
En rappelant son ambassadeur à Paris à cause de la diffusion de documentaires jugés hostiles, le pouvoir algérien fait montre de sa susceptibilité légendaire. Pour le chercheur Adlene Mohammedi, il faut surtout y voir une énième diversion.
Qui la France combat-elle au Sahel ? Souvent présentés comme désœuvrés et fanatisés, les individus rejoignant les organisations terroristes locales y sont parfois contraints par la faillite de l'Etat. Une réalité qui complique la mission de Barkhane.
Un temps épargnée, l'Afrique est à son tour touchée par la pandémie de Covid-19. Au 18 mars, selon l'OMS, 30 des 54 pays africains avaient recensé des cas de contamination. Tour d'horizon de la situation dans l'ensemble des sous-régions du continent.
Tout comme le Maroc il y a quelques jours, l'Algérie a décidé de suspendre ses liaisons aériennes avec la France, pour faire face à la pandémie mondiale de coronavirus qui frappe l'Europe de plein fouet.
Hicham Rouibah, chercheur en socio-économie à l'université d'Oran et militant engagé dans le mouvement algérien populaire depuis son commencement, revient sur le Hirak à l'occasion de son premier anniversaire, ce 22 février.
La ville de Kherrata, berceau du mouvement citoyen algérien du Hirak, a été le théâtre d'un rassemblement impressionnant à l'occasion du premier anniversaire de la mobilisation.
Les pays limitrophes de la Libye sont sur le qui-vive : une éventuelle intervention militaire turque dans ce pays, déjà miné par une guerre fratricide, fait craindre une détérioration de la situation sécuritaire en Afrique du Nord et au Sahel.
L'année 2019 a été marquée par de nombreux mouvements de protestation à travers le monde. Malgré leur diversité, ceux-ci ciblaient généralement la classe politique et les gouvernements, le plus souvent suite à des lois augmentant le coût de la vie.
L'agence de presse publique algérienne, APS, a annoncé ce 23 décembre la mort d'Ahmed Gaïd Salah, chef d'Etat-major de l'armée algérienne. Il était devenu de facto l'homme fort du pays après la démission, en avril dernier, d'Abdelaziz Bouteflika.
Des milliers de manifestants ont défilé dans plusieurs villes du pays au lendemain de l’investiture du président algérien. Pour les protestataires, le dialogue ne peut s’instaurer avec un dirigeant qu'ils assimilent à l'ère Bouteflika.
Quelques heures après avoir prêté serment, Abdelmadjid Tebboune a procédé à la nomination de Sabri Boukadoum au poste de Premier ministre par intérim. Dans la foulée, il a mis fin aux fonctions du ministre de l'Intérieur Salah Eddine Dahmoune.
Dans son premier discours en tant que chef d'Etat, Abdelmadjid Tebboune a annoncé qu'il procéderait à une révision de la Constitution algérienne et appelé, dans la foulée, au dialogue avec le Hirak, le mouvement de protestation populaire.
Après avoir «pris note» de la victoire d'Abdelmadjid Tebboune lors de l'élection algérienne du 12 décembre, le président français a présenté «ses vœux sincères de succès» à son homologue, sur fond de tensions diplomatiques.
Après l'élection d'Abdelmadjid Tebboune, Emmanuel Macron a appelé les autorités algériennes à engager un «dialogue» avec le peuple algérien. Le président élu a répondu froidement à ces propos. Un signe de l'état futur des relations Paris-Alger ?
Au lendemain d’une élection présidentielle algérienne massivement rejetée et boycottée, Adlene Mohammedi, chercheur en géopolitique et spécialiste du monde arabe, revient sur ce scrutin qui nourrit la contestation populaire.
Abdelmadjid Tebboune, ancien ministre puis chef de gouvernement du président déchu Abdelaziz Bouteflika âgé de 74 ans, a été élu dès le premier tour pour lui succéder à la tête de l'Etat algérien. Qui est-il ?