Le projet de loi du gouvernement confortant le respect des principes de la République a été en partie voté par l'Assemblée nationale, malgré quelques passes d'armes, notamment sur l'«amendement Zemmour». Mais l'article dit «Samuel Paty» a été voté.
Pandémie, guerres, explosions, élections américaine, terrorisme... A l'occasion de la journée du réveillon de la Saint-Sylvestre, RT France vous propose un tour de l'actualité qui aura marqué l'année 2020.
Le député du Cher, Loïc Kervran, quitte le parti et le groupe parlementaire présidentiels LREM. Il est désormais le 45e député à sortir du groupe de la majorité, deux jours après le départ de Fiona Lazaar.
La Fédération des conseils de parents d’élèves a été pointée du doigt dans un tweet très partagé d'une journaliste de L’Express, l'accusant d'avoir conseillé au parent d'élève au cœur de l'affaire de porter plainte contre Samuel Paty.
Le conseil des ministres a annoncé la dissolution du CCIF à l'issue de sa séance, même si le collectif avait pris les devants et s'était «auto-dissous» précédemment, exportant son activité à l'étranger.
Dans l'affaire du meurtre djihadiste commis sur Samuel Paty en octobre, quatre autres collégiens ont été mis en examen, dont la fille de Brahim Chnina, le parent d'élève qui avait mené une campagne contre l'enseignant sur les réseaux sociaux.
Plus d'un mois après l'attentat qui a coûté la vie à Samuel Paty, Le Point révèle des courriels rédigés par le rectorat au professeur dans lesquels l'inspection académique aurait évoqué «une appréciation inexacte de la laïcité et de la neutralité».
Le président Emmanuel Macron s'est plaint auprès du New York Times de la couverture par plusieurs médias de langue anglaise des récents attentats en France, les accusant de «légitimer» la violence de par leur incompréhension du contexte français.
Conflans, Nice, Vienne... La France et l'Europe sont plus que jamais confrontées à la menace terroriste. Pour apporter des réponses, la France, l'Autriche, l'Allemagne et l'UE tiendront le 10 novembre un mini-sommet à l'initiative d'Emmanuel Macron.
Après avoir cité une note du service du renseignement territorial des Yvelines dans un article sur l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine, un journaliste de Libération a été entendu par l'IGPN, à la demande de Gérald Darmanin.
L'Education nationale a recensé «400 violations» de la minute de silence organisée le 2 novembre en hommage au professeur assassiné Samuel Paty, selon Jean-Michel Blanquer. Le ministre a affirmé que chaque incident faisait l'objet de poursuites.
La lettre de Jean Jaurès qui doit être lue en cette rentrée en hommage à Samuel Paty est en réalité une version courte où des passages sur la défense de l'autonomie de l'enseignant et la critique du recours excessif aux évaluations ont été supprimés.
Alors que les collèges et lycées de France s'apprêtent à rendre hommage à Samuel Paty, le courriel envoyé par un lycée du Creusot fait polémique. Le message sous-entendait que la présence des élèves à la cérémonie d'hommage était facultative.
La sauvage décapitation du professeur Samuel Paty a fait l'objet d'un afflux de commentaires sordides sur les réseaux sociaux. Plusieurs affaires ont donné lieu à l'ouverture d'enquêtes et des condamnations ont d'ores et déjà été prononcées.
Le projet de la députée marcheuse de Paris Laetitia Avia revient dans le champ médiatique après l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine, mais cette loi déclarée anticonstitutionnelle aurait-elle permis de protéger l'enseignant Samuel Paty ?
Le ministre de l'Education a fait savoir que malgré l'assassinat de Samuel Paty, il tenait à maintenir l'agenda du Grenelle de l'Education pour mettre «le professeur au centre de la société». Cette concertation devrait aboutir à des augmentations.
A la suite d'un texte polémique publié sur un blog hébergé par Mediapart, le ministre de l'Intérieur a porté plainte. Le billet qualifiait de «barbarie» l'opération policière dans laquelle le terroriste a été abattu.
Après l'attaque islamiste contre Samuel Paty le 16 octobre à Conflans (Yvelines), sept personnes sont déférées pour être présentées à un juge antiterroriste. Parmi elles figurent deux mineurs soupçonnés d'avoir désigné l'enseignant à l'assaillant.
France télévisions a pu récupérer le procès verbal de l'audition de Samuel Paty au commissariat de police alors qu'une plainte d'un parent d'élève l'incriminait. L'enseignant est resté droit dans ses bottes, assumant son cours.