SIDERANT

Moscou a expliqué ne pas être surpris par l'«hypocrisie» du secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo, qui a fait part de sa «grande inquiétude» concernant ce qu'il a qualifié d'«offensive à grande échelle contre les civils d'Idleb».
Les terroristes de HTS ont attaqué l'armée syrienne dans la province d'Idleb. Selon le ministère russe de la Défense, 40 soldats loyalistes ont perdu la vie et 80 ont été blessés alors que les négociations entre Moscou et Ankara se poursuivent.
Le président turc a appelé, lors d'un entretien avec Vladimir Poutine le 30 mai, à faire le nécessaire pour préserver la zone démilitarisée d'Idleb alors que les incursions du groupe terroriste Hayat Tahrir al-Sham y sont de plus en plus récurrentes.
Depuis Alep, Pierre Le Corf, président de l’ONG We Are Superheroes, est revenu pour RT France sur l’attaque chimique présumée perpétrée le 24 novembre. Selon lui, l'Armée syrienne libre (ASL) et Jabhat al-Nosra en sont à l'origine.
L'aviation russe a bombardé des infrastructures des groupes armés terroristes Hayat Tahrir al-Cham et al-Nosra dans la province syrienne d'Idleb. La base russe en Syrie de Hmeimim est la cible régulière d'attaques de drones, attribuées aux rebelles.
Alors qu'une offensive d'envergure semble se préparer dans le nord de la Syrie, le reporter de guerre Pierre Piccinin rappelle que les «rebelles» syriens sont en réalité un conglomérat de rebelles emmenés par Fatah al-Cham, alias le Front al-Nosra.
Selon le ministère russe de la Défense, des dizaines de milliers de réfugiés ont regagné des zones conttrôlées par les autorités syriennes. A mesure que l'armée progresse, des exactions commises par les rebelles sur des civils sont mises en lumière.
Tandis que les rebelles ont reculé et se sont retranchés dans trois poches, des dizaines de milliers de civils ont pu rejoindre la zone sous contrôle des autorités syriennes. Moscou redoute toutefois l'utilisation d'armes chimiques sous faux drapeau.
La coalition dirigée par les Etats-Unis a considérablement réduit l’intensité de ses frappes aériennes en Irak en septembre, d’après l’armée russe, alors que des terroristes bien armés continuent d’arriver en Syrie depuis l’Irak.
L’aviation russe a éliminé plusieurs hauts responsables du groupe Fatah al-Cham (ancien Front al-Nosra) qui avaient organisé une tentative de capture d’un groupe de policiers militaires russes près de Hama.
L’aviation russe a effectué de nouvelles frappes sur les infrastructures des terroristes en Syrie. Toutes les cibles se trouvaient en dehors des zones habitées et loin des forces américaines et des groupes rebelles soutenus par les Etats-Unis.
Cibles d’une attaque des combattants du Fatah al-Cham (ex al-Nosra), des policiers militaires russes ont relaté ce qu’ils ont vécu. Trois militaires ont été blessés dans l’offensive repoussée par l’armée russe et l'armée syrienne.
Face aux accusations de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), Moscou dément avoir délibérément visé des zones habitées dans la province d’Idleb. Images à l’appui, la Russie affirme que ses cibles étaient les terroristes.
Le ministère russe de la Défense a fait savoir que l'aviation russe avait permis à l'Armée arabe syrienne de repousser les vagues d'attaques des djihadistes dans la région. L'état-major russe pointe du doigt l'action des services spéciaux américains.
Le dernier groupe rebelle armé des quartiers Est de la Ghouta, près de Damas, a accepté les termes de l'accord négocié avec la Russie, qui prévoit une trêve dans cette «zone de désescalade», à l'exception de Daesh et du front Fatah al-Cham.
L'ancien procureur spécialiste des crimes de guerre Carla Del Ponte a annoncé le 6 août qu'elle allait bientôt quitter la Commission d'enquête de l'ONU sur la Syrie. Les travaux de cette dernière vont malgré tout se poursuivre.
La ville d'Idlib dans le nord-ouest de la Syrie est passée sous le contrôle des djihadistes après le retrait d'un groupe rebelle, permettant ainsi à l'ex-branche d'al-Qaïda de dominer l'une des dernières provinces échappant à Damas.
Omran Daqneesh, l'enfant dont la photo a été érigée comme symbole par les opposants à Bachar el-Assad, vit maintenant avec son père dans la ville libérée d'Alep. Dans un entretien, ce dernier a dénoncé l'exploitation de l'image de son fils.
Dans un communiqué, Fateh al-Cham, l'ex-branche d'Al-Qaïda, et quatre groupes rebelles, dont le groupe formé et armé par la CIA Noureddine al-Zinki, ont annoncé leur dissolution et leur fusion au sein d'un groupe baptisé Tahrir al-Cham.
Selon le responsable américain de la Défense, les agissements de la Russie en Syrie seraient contre-productifs. Ashton Carter a également affirmé que les Américains et leurs alliés portaient seuls le poids de la guerre contre Daesh.