Dans un entretien à Paris Match, le président syrien a assuré que les djihadistes détenus dans les prisons kurdes seraient bien jugés en Syrie en cas d'accord entre les deux parties. Il est par ailleurs revenu sur le rôle de la France sur le terrain.
La Défense russe assure avoir pris connaissance de la préparation, dans la province d'Idleb, d'une opération qui viserait à mettre en scène des crimes attribués à Damas et à l'armée russe. Moscou assure que les Casques blancs y participeraient.
Plus d'un an après les frappes occidentales contre la Syrie, un membre de la mission de l'OIAC envoyée à Douma dénonce dans un mail révélé par WikiLeaks, une réécriture trompeuse des faits observés sur le terrain dans une version corrigée du rapport.
Dans un rapport cité par une candidate démocrate à la Maison Blanche, des chercheurs remettent en cause l'utilisation de gaz sarin dans l'attaque de Khan Cheikhoun en 2017. Il s'agirait plutôt d'un simple missile sol-sol de fabrication artisanale.
Emmanuel Macron et Vladimir Poutine se rencontrent le 19 août au fort de Brégançon, quelques jours avant le G7. L'occasion de faire le point sur quelques sujets d'accord et de désaccord entre la France et la Russie.
Après la suspension du compte de l’ambassade russe en Syrie par Twitter, le ministère des Affaires étrangères a appelé le réseau social à le «débloquer». Cet événement pourrait coïncider avec des critiques de la Russie contre l'ONG Casques blancs.
Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a affirmé avoir «un indice de l'usage de l'arme chimique dans la zone d'Idleb», précisant cependant ne pas avoir procédé, pour l'heure, à une «vérification».
Alors que Damas a décrété un cessez-le-feu après avoir fait reculer les groupes terroristes, Washington menace «le régime de Bachar el-Assad», assurant qu'il a mené une attaque chimique... tout en reconnaissant manquer d'informations fiables.
La fuite d'une note attribuée à des ingénieurs de l'OIAC sur l'attaque chimique présumée survenue en avril 2018 à Douma en Syrie, non retenue dans le rapport final de l'organisation, soulève des questions. L'OIAC n'a pas démenti son authenticité.
Le 29 mars, un général russe affirmait que les services secrets français et belges prépareraient une provocation à l'arme chimique en Syrie, dans le but de piéger Moscou et Damas. La France et la Belgique nient en bloc ces accusations.
Un général russe a affirmé ce 29 mars que les services secrets français et belges participeraient à l'organisation d'une provocation à l'arme chimique en Syrie pour piéger Moscou et Damas.
Dans une conférence de presse à La Haye, la mission russe auprès de l'OIAC a dénoncé le manque de neutralité, les «lacunes» et les «incohérences» du rapport de l'organisation. Celle-ci avait conclu à l'utilisation de chlorine à Douma en avril 2018.
En mars 2018, l'empoisonnement d'un ex-agent double résidant au Royaume-Uni et de sa fille déclenchait une crise majeure. Un an après, si la vérité n'a pas pu être établie, l'affaire Skripal a profondément impacté les relations internationales
Comme le laissaient supposer des conclusions partielles publiées plus tôt, le rapport de l'OIAC sur l'attaque chimique présumée sur Douma en avril 2018 conclut à un usage de chlorine, mais ne constate aucune trace d'agent neurotoxique.
Un journaliste de la BBC soutient que les images de l'hôpital de Douma filmées après une attaque chimique présumée en avril dernier, et reprises en boucle par les médias du monde entier, n'étaient qu'une «mise en scène» organisée par Jaïch al-Islam.
Plus de 10 mois après l'empoisonnement de Sergueï Skripal et sa fille à Salisbury, des médias britanniques révèlent l'identité des tous premiers intervenants : une infirmière militaire (très) expérimentée, et sa fille de 16 ans qui passaient par là.
L’ancien directeur général de l’OIAC (Organisation pour l'interdiction des armes chimiques) , José Mauricio Bustani est l’invité de Samantha Ramsamy dans la Grande Interview.
Réagissant aux déclarations de Washington sur une attaque chimique présumée à Alep, attribuée à «des groupes rebelles et djihadistes» par Damas, Moscou a dénoncé une tentative américaine de détourner l'attention de la communauté internationale.
Le 24 novembre, la ville d’Alep a été le théâtre d’une attaque chimique présumée, attribuée par Damas aux rebelles. Les autorités et la presse occidentales, si promptes à dénoncer le gouvernement syrien, demeurent cette fois plus réservées.
Après l'attaque chimique visant la ville d'Alep et difficilement imputable à Assad, l'expert en Défense Philippe Migault analyse l'étonnante discrétion de l'Occident, et surtout de Paris, en réaction à cet énième drame de la guerre en Syrie.