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Une pétition demandant le placement du Liban sous mandat français a recueilli plus de 59 000 signatures en moins de 48 heures. La visite de Macron à Beyrouth après les explosions du 4 août a été considérée par des commentateurs comme de l'ingérence.
RT France est auditionnée par le CSA pour avoir rapporté les propos du chef du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie selon lequel les services secrets français étaient impliqués dans une provocation à l'arme chimique.
S'adressant aux représentants des pays membres du Conseil de sécurité de l'ONU, un ancien inspecteur de l'OIAC envoyé à Douma après l'attaque chimique présumée d'avril 2018, a dénoncé les conclusions contradictoires du rapport final de l'institution.
Ce 27 décembre, WikiLeaks a publié plusieurs documents, dont un e-mail attribué à la direction de l’organisation exigeant le retrait des archives d’une note contredisant plusieurs points du rapport final sur l'attaque chimique présumée de Douma.
«Troisième lot de documents», «falsification des faits» : WikiLeaks publie de nouveaux documents mettant en avant l'existence de désaccords au sein de l'OIAC au sujet de son rapport d'enquête sur la présumée attaque chimique du 7 avril 2018 à Douma.
Plus d'un an après les frappes occidentales contre la Syrie, un membre de la mission de l'OIAC envoyée à Douma dénonce dans un mail révélé par WikiLeaks, une réécriture trompeuse des faits observés sur le terrain dans une version corrigée du rapport.
Emmanuel Macron et Vladimir Poutine se rencontrent le 19 août au fort de Brégançon, quelques jours avant le G7. L'occasion de faire le point sur quelques sujets d'accord et de désaccord entre la France et la Russie.
Après la suspension du compte de l’ambassade russe en Syrie par Twitter, le ministère des Affaires étrangères a appelé le réseau social à le «débloquer». Cet événement pourrait coïncider avec des critiques de la Russie contre l'ONG Casques blancs.
Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a affirmé avoir «un indice de l'usage de l'arme chimique dans la zone d'Idleb», précisant cependant ne pas avoir procédé, pour l'heure, à une «vérification».
Le 29 mars, un général russe affirmait que les services secrets français et belges prépareraient une provocation à l'arme chimique en Syrie, dans le but de piéger Moscou et Damas. La France et la Belgique nient en bloc ces accusations.
Dans une conférence de presse à La Haye, la mission russe auprès de l'OIAC a dénoncé le manque de neutralité, les «lacunes» et les «incohérences» du rapport de l'organisation. Celle-ci avait conclu à l'utilisation de chlorine à Douma en avril 2018.
En mars 2018, l'empoisonnement d'un ex-agent double résidant au Royaume-Uni et de sa fille déclenchait une crise majeure. Un an après, si la vérité n'a pas pu être établie, l'affaire Skripal a profondément impacté les relations internationales
Comme le laissaient supposer des conclusions partielles publiées plus tôt, le rapport de l'OIAC sur l'attaque chimique présumée sur Douma en avril 2018 conclut à un usage de chlorine, mais ne constate aucune trace d'agent neurotoxique.
Un journaliste de la BBC soutient que les images de l'hôpital de Douma filmées après une attaque chimique présumée en avril dernier, et reprises en boucle par les médias du monde entier, n'étaient qu'une «mise en scène» organisée par Jaïch al-Islam.
Plus de 10 mois après l'empoisonnement de Sergueï Skripal et sa fille à Salisbury, des médias britanniques révèlent l'identité des tous premiers intervenants : une infirmière militaire (très) expérimentée, et sa fille de 16 ans qui passaient par là.
Réagissant aux déclarations de Washington sur une attaque chimique présumée à Alep, attribuée à «des groupes rebelles et djihadistes» par Damas, Moscou a dénoncé une tentative américaine de détourner l'attention de la communauté internationale.
Le 24 novembre, la ville d’Alep a été le théâtre d’une attaque chimique présumée, attribuée par Damas aux rebelles. Les autorités et la presse occidentales, si promptes à dénoncer le gouvernement syrien, demeurent cette fois plus réservées.
Après l'attaque chimique visant la ville d'Alep et difficilement imputable à Assad, l'expert en Défense Philippe Migault analyse l'étonnante discrétion de l'Occident, et surtout de Paris, en réaction à cet énième drame de la guerre en Syrie.
Appelant l'ONU à intervenir, le gouvernement syrien a accusé certains pays de jouer un rôle dans le transit de substances chimiques destinées aux rebelles. Damas accuse des groupes djihadistes d'être responsables d'une attaque chimique à Alep.
Depuis Alep, Pierre Le Corf, président de l’ONG We Are Superheroes, est revenu pour RT France sur l’attaque chimique présumée perpétrée le 24 novembre. Selon lui, l'Armée syrienne libre (ASL) et Jabhat al-Nosra en sont à l'origine.