Le fondateur des Patriotes et le président du collectif «Restons ouverts» se sont affrontés dans un face à face mouvementé sur un plateau télévisé au sujet de la crise profonde que traversent les restaurateurs de France.
Repris par Olivier Véran après une publication dans laquelle il dénonçait l'existence d'un «forfait moral et politique» face au Covid-19, Bernard-Henri Lévy a maintenu sa position dans une nouvelle publication adressée au ministre de la Santé.
Au lendemain de son audition à l'Assemblée nationale, Didier Raoult était l'invité de Bourdin en direct sur RMC/BFM TV. Le ton est rapidement monté lorsque l'animateur a insinué que le médecin accusait ses confrères d'avoir tué des patients.
Le rappeur Booba a épinglé sur les réseaux sociaux une intervention télévisée de l'éditorialiste Eric Zemmour, qui s’offusquait sur le plateau de CNews que «des Blancs [...] s'agenouillent devant les Noirs» aux Etats-Unis.
«C'est une première», affirme L'Express : en désaccord avec Edouard Philippe sur la question du report du vote parlementaire sur le plan de déconfinement, Emmanuel Macron aurait sciemment «sabordé» le chef du gouvernement auprès des journalistes...
L'ambassadeur d'Israël auprès des Nations unies s'en est pris au candidat à la primaire démocrate Bernie Sanders, le qualifiant de «menteur» de «fou», ou des «deux», lors de la conférence annuelle du lobby pro-israélien Aipac à Washington.
Jean Messiha a annoncé le 25 février avoir déposé une plainte contre Dominique Sopo «pour injures racistes». Le président de SOS Racisme s'était amusé du fait que Yassine Belattar ait récemment qualifié Jean Messiha de «chameau».
Les images de l'agression ultra-violente du youtubeur Bassem Braiki, revendiquée par le rappeur Sadek, photo et vidéo à l'appui, ont soulevé un vif émoi après leur diffusion sur Internet. Une enquête a été ouverte.
Le rappeur et militant antiraciste Rost est à l'origine d'une vive polémique pour avoir tenu à la télévision et à la radio des propos jugés racistes à l'encontre de Jean Messiha, cadre du Rassemblement national, et du député Joachim Son Forget.
Le 21 septembre étaient organisés simultanément en France, l'acte 45 des Gilets jaunes et une marche pour le climat. Des tensions entre certains manifestants et les forces de l'ordre ont éclaté à plusieurs reprises à Paris et à Toulouse.
Dans la foulée des réactions provoquées par l'action de soutien aux migrants de Richard Gere, l'homme fort du gouvernement italien a, lui aussi, interpellé l'acteur américain sur Twitter, suggérant à ce dernier de faire parler sa générosité.
Jean-Yves Narquin, maire de Villedieu-le-Château élu sous les couleurs du Rassemblement Bleu Marine, a fait parler de lui en invectivant grossièrement la secrétaire d'Etat chargée de l’Egalité hommes-femmes. Celle-ci lui a répondu.
Lors d'une intervention télévisée de Jérôme Rodrigues, la tension est montée d'un cran entre le Gilet jaune et Nicolas Domenach, journaliste politique. Ce dernier réclamait que son interlocuteur n'emploie pas la formulation «tirer dessus».
«Espèce d'abruti», «tu dis des conneries», «je [te] fous dehors» : l'animateur star de C8, Cyril Hanouna, a répliqué de façon virulente à l'avocat Juan Branco qui lui reprochait d’être «moins sensible aux difficultés» en raison de son salaire.
Figures emblématiques du mouvement des Gilets jaunes, Maxime Nicolle et Eric Drouet ont réagi à l'intervention télévisée du ministre de l'Intérieur. Ce dernier les avait nommément visés et évoqué de potentielles sanctions pénales et financières.
Dans l'émission Les Terriens du Dimanche, le chroniqueur et élu parisien Pierre Liscia a refusé de serrer la main de Rachid Nekkaz, l'accusant de cautionner «toutes les dérives de l’islamisme radical en France». Ce dernier a refusé de lui répondre.
Invité à commenter l'acte 16 sur BFM TV, un Gilet jaune a décidé de quitter le plateau après y avoir été invité par le présentateur. Jérémy Clément se plaignait d'être constamment interrompu et de ne pouvoir développer son point de vue.
Après avoir démissionné de LREM à la suite du tollé soulevé par ses propos sur l'apparence de la sénatrice Esther Benbassa, le député a annoncé la création de son propre parti où l'«humour» et l'«impertinence» auront une place de choix.
Après un vif échange avec Eric Zemmour, qui jugeait que son prénom était «une insulte à la France» et que ses parents auraient dû la prénommer Corinne, Hapsatou Sy peine à tourner la page. En cause : les remarques des passants dans la rue.
Simple blague ou questionnement profond sur la société ? Lors d'une émission télévisée, le comédien belge a demandé à la secrétaire d'Etat chargée de l'Egalité hommes-femmes qui s'occuperait des enfants si toutes les femmes travaillaient.