SIDERANT

Pour la cinquième nuit consécutive, des affrontements ont opposé à Barcelone la police et des milliers de manifestants contre l'incarcération d'un rappeur catalan qui avait insulté la monarchie et les forces de l'ordre. Des magasins ont été pillés.
Un pirate informatique est parvenu à augmenter dangereusement la teneur en hydroxyde de sodium de l'eau produite par une usine de Floride. L'action malveillante a cependant été rapidement détectée et la population locale n'a pas été mise en danger.
A la suite de la publication par Alexeï Navalny d'une conversation censée impliquer les services de sécurité russes dans son empoisonnement, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a estimé que celui-ci souffrait d'un «délire de la persécution»
La police canadienne a dépêché des unités spécialisées en chimie et biologie autour d'un immeuble de la banlieue de Montréal après l'envoi d'une lettre empoisonnée à la ricine à la Maison Blanche. Une Canadienne d'origine française a été interpellée.
L'opposant russe Alexeï Navalny a publié sur Instagram son premier message depuis son hospitalisation, se réjouissant de pouvoir respirer sans assistance. Sa porte-parole a par ailleurs précisé qu'il reviendrait en Russie une fois remis.
Le président américain Donald Trump a fait savoir ce 4 septembre que Washington n'avait «pas encore vu de preuves» d'un empoisonnement de l'opposant russe Alexeï Navalny, qui se trouve toujours sous assistance respiratoire dans un hôpital berlinois.
La thèse de l'empoisonnement de l'opposant russe Alexeï Navalny, que les capitales occidentales imputent à Moscou, est récupérée par certains pour exiger de Berlin l'arrêt du projet gazier russo-allemand Nord Stream 2.
La police russe a annoncé l'ouverture d'un «examen préliminaire» sur l'hospitalisation de l'opposant russe Alexeï Navalny, au sujet de laquelle des Etats occidentaux dénoncent un empoisonnement.
Alors que plusieurs pays occidentaux enjoignent la Russie à lancer une enquête «transparente» sur l'empoisonnement supposé de l'opposant russe Alexeï Navalny, le porte-parole du Kremlin a mis en garde contre des conclusions hâtives.
Tandis que Moscou s'est étonné de l'«empressement» des médecins allemands à évoquer des «traces d'empoisonnement» chez l'opposant russe Alexeï Navalny, Paris et Washington ont rapidement haussé le ton en réclamant des comptes aux autorités russes.
Dmitri Peskov a affiché des doutes quant à l'utilisation du terme «empoisonnement» par l'hôpital de Berlin dans lequel est soigné Alexeï Navalny. Le porte-parole a également assuré que les médecins russes avaient tout fait pour soigner l'opposant.
L'appareil médicalisé transportant l'opposant russe a atterri en Allemagne, le 22 août, dans la matinée. Alexeï Navalny doit y recevoir des soins après un malaise survenu le 20 août.
L'opposant russe a été placé en réanimation dans un hôpital d'Omsk le 20 août. Alors que son entourage évoque la possibilité d'un empoisonnement, le vice-directeur de l'hôpital a déclaré qu'aucune trace de poison n'avait été détectée dans son sang.
Le département d'Etat américain a décidé de poursuivre sa politique de sanctions contre la Russie, en reprenant les accusations d'empoisonnement de l'ancien agent double Sergueï Skripal. Pour Moscou, il ne s'agit que d'un prétexte.
Nombre d'internautes se sont indignés d'une interview publié par le média en ligne Konbini dans laquelle une femme explique avoir assassiné son fils de 3 ans lourdement handicapé en 1987 pour lui éviter plus de souffrances.
En mars 2018, l'empoisonnement d'un ex-agent double résidant au Royaume-Uni et de sa fille déclenchait une crise majeure. Un an après, si la vérité n'a pas pu être établie, l'affaire Skripal a profondément impacté les relations internationales
Presque un an après l'empoisonnement de l'ex-agent double Sergueï Skripal et de sa fille, les habitants de Salisbury ont eu la surprise de voir leur célèbre cathédrale arborant une immense bannière aux couleurs de la Russie.
Plus de 10 mois après l'empoisonnement de Sergueï Skripal et sa fille à Salisbury, des médias britanniques révèlent l'identité des tous premiers intervenants : une infirmière militaire (très) expérimentée, et sa fille de 16 ans qui passaient par là.
L’UE a décidé ce 21 janvier d'adopter des sanctions à l’encontre de responsables du renseignement militaire russe accusés de l’empoisonnement de Sergueï Skripal. Une mesure dénuée de tout fondement, selon la Russie, qui entend bien riposter.
Ce 4 octobre, plusieurs pays, dont le Royaume-Uni ont accusé la Russie de s'adonner à la guerre cybernétique. L'ambassade de Russie au Royaume-Uni s'étonne de cette synchronicité, et d'une réunion de l'OTAN ce même jour.