BRAS DE FER

Le président russe s'est entretenu au téléphone avec le monarque bahreïni. Les deux hommes ont insisté sur l'importance de la stabilité et de la sécurité régionale. Manama est toujours resté neutre dans le conflit en Ukraine.
Lors d'un déplacement à Bahreïn, le souverain pontife a rencontré des responsables politiques et religieux sunnites et des membres de la communauté chrétienne. Fidèle à son discours œcuménique, le pape François a prôné un dialogue interreligieux.
Un an après la normalisation de leurs relations, il s'agit de la première collaboration militaire en mer entre ces pays arabes et l'Etat hébreu. La marine des Etats-Unis mène cet exercice de cinq jours visant à faire face à la «menace» iranienne.
Des manifestants ont protesté à Bahreïn contre l'ouverture d'une ambassade israélienne, au lendemain de l'inauguration de la représentation diplomatique à Manama par le chef de la diplomatie israélienne. Certains ont scandé : «Mort à Israël.»
Dans ce nouvel épisode de La Source, Alain Juillet s’intéresse aux accords d’Abraham qui pourraient, selon lui, «changer l’équilibre stratégique après 50 ans d’immobilisme» au Moyen-Orient.
Une réconciliation lourde de conséquences géopolitiques : c’est celle qui se profile entre le Qatar et les quatre pays arabes qui l’ont boycotté pendant plus de trois ans. Réussiront-ils à tourner une nouvelle page dans leurs relations ?
Il y a 10 ans, au Moyen-Orient naissait un mouvement de contestation qui s’est propagé à une vitesse phénoménale et dont les conséquences ont modifié le paysage géopolitique d’une région toute entière. Que reste-t-il aujourd’hui du printemps arabe ?
L'Iran juge les Emirats et Bahrein «responsables» des «conséquences» de leur accord avec Israël, qui ouvre la porte à une normalisation de leurs relations avec l'Etat hébreu, se demandant jusqu'où ces pays étaient prêts à aller.
Réunis autour de Donald Trump à Washington, les dirigeants d'Israël, des EAU et de Bahreïn ont entériné la normalisation de leurs relations. Selon le locataire de la Maison Blanche, d'autres pays arabes pourraient suivre, dont Riyad.
Israël, Bahreïn et Emirats arabes unis doivent se retrouver à Washington pour signer un accord de normalisation des relations. L'Autorité palestinienne ainsi que le Hamas se sont vivement opposés à cette signature.
Un mois après l'accord historique entre les Emirats arabes unis et Israël, le président américain Donald Trump a annoncé que Bahreïn et l'Etat hébreu allaient à leur tour normaliser leurs relations.
Cette initiative ambitieuse du président américain est censée régler l'éternel conflit israélo-palestinien. Or, pour être mise en œuvre, elle devra encore obtenir l’accord des Palestiniens et surmonter le scepticisme de la communauté internationale.
Ce 31 janvier, lors d’un discours devant les responsables de son parti, le président turc a notamment fustigé une Arabie saoudite «silencieuse» après l’annonce par Donald Trump du plan américain pour régler le conflit israélo-palestinien.
Israël Katz a confirmé le souhait de l'administration israélienne de se rapprocher des pays du Golfe afin de faire face à l'Iran. Si aucun accord n'a encore été ratifié, l'Etat hébreu a récemment multiplié les signaux en direction de ses voisins.
Les deux plus importantes organisations palestiniennes ont rejeté le premier volet de l'initiative de «prospérité» portée par le gendre de Donald Trump. Ils craignent que ce plan ne débouche sur l'abandon de la création d'un Etat palestinien.
Des dizaines de motards syriens et originaires d'autres pays arabes ont pris part à une course symbolique baptisée «Love and Peace for Syria» destinée à mettre en valeur le patrimoine archéologique et touristique du pays après huit années de guerre.
Le Conseil suprême de sécurité nationale iranien a répondu à la décision de Washington de placer les Gardiens de la Révolution sur sa liste noire : les forces américaines au Moyen-Orient ont été placées sur la liste iranienne des groupes terroristes.
Découvrez un spectacle phénoménal directement depuis la cabine de pilotage d'un chasseur Su-30SM. Dans le ciel de Bahrein, les équipages des Rousskié Vitiazy (les Chevaliers russes) des Troupes aérospatiales vous démontrent leurs qualités de pilotes.
Depuis un an le Qatar fait l’objet d’un blocus économique et politique de la part du Quatuor arabe. Doha est accusé de soutien à l’Iran et aux groupes terroristes mais ne plie pas face aux sanctions et aux menaces.
Relayée massivement sur les réseaux sociaux, une vidéo en date du 3 août montre deux jeunes femmes se faire harceler par des hommes dans un parc aquatique au Bahreïn dont le responsable estime que les deux victimes auraient dû éviter de se baigner.