SIDERANT

Le chef du groupe Daesh Abou Bakr al-Baghdadi, qui avait été donné pour mort à plusieurs reprises, est apparu pour la première fois en cinq ans dans une vidéo de propagande diffusée lundi par l'organisation djihadiste.
L'acte V des Gilets jaunes aura bien lieu. C'est ce qu'ont annoncé des figures du mouvement lors d'un point presse. Ils ont également exposé leurs revendications : baisse des taxes et instauration du référendum d'initiative citoyenne.
Un nouvel enregistrement audio de 46 minutes non daté et non authentifié du leader de l'Etat islamique Abu Bakr al-Baghdadi a été diffusé en ligne, alors que l'homme avait été annoncé mort il y a plusieurs mois par l'armée russe.
Contredisant des informations donnant Abou Bakr al-Baghdadi comme mort, le chef du contre-terrorisme kurde a assuré être certain, «à 99%» que le fondateur de Daesh était toujours vivant. Le Kremlin s'est de son côté refusé à trancher la question.
D'après la chaîne irakienne Al Sumaria, le leader de Daesh aurait bien été tué. Mais l'information n'est toujours pas confirmée, pas plus par les Etats-Unis, à la tête de la coalition internationale, que par l'organisation terroriste elle-même.
Les forces irakiennes affirment avoir délogé les combattants de l'Etat islamique de la mosquée Al-Nouri de Mossoul, haut lieu symbolique de la ville mais également du pouvoir des djihadistes en Irak.
La nouvelle ministre des Armées Florence Parly a été victime jeudi 22 juin d'un canular sur Twitter, où un faux compte ouvert à son nom annonçait la mort du leader du groupe Etat islamique Abou Bakr al-Baghdadi.
Après avoir déclaré la mort possible du leader de Daesh le 16 juin, Moscou a estimé le 22 juin que celle-ci était «hautement probable». Pourtant ce n'est pas la première fois qu'al-Baghdadi est déclaré mort
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Guennadi Gatilov a déclaré aux journalistes que la mort du chef de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi, annoncée plus tôt par la Défense russe, ne pouvait être confirmée pour l’instant.
Alors que le conflit syrien devient, pour Emmanuel Dupuy, président de l'IPSE, «une guerre de vitesse et d'image», la Russie en annonçant la mort possible du chef de Daesh, dame le pion aux Etats-Unis, critiqués pour l'utilisation de phosphore blanc.
Après avoir annoncé la mort probable d'Abou Bakr al-Baghdadi, sous réserve de confirmation, Moscou a fait savoir que deux responsables de haut rang de l'organisation terroriste étaient morts dans un bombardement près de Deir ez-Zor.
Le dirigeant de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi, aurait été tué dans une frappe aérienne russe en Syrie. Si la mort du «calife» pourrait déstabiliser Daesh, la vie du chef de cette puissante organisation terroriste reste peu connue du grand public.
Le ministère russe de la Défense a déclaré le 16 juin que des vérifications étaient en cours pour confirmer la mort du leader emblématique de l'Etat islamique Abou Bakr al-Baghdadi qui aurait été tué dans une frappe aérienne russe en Syrie.
Le vice-président de l'Irak a affirmé que Daesh et Al-Qaïda avaient entamé des négociations. Il a également souligné qu'un succès militaire contre Daesh ne signifierait pas une victoire définitive contre les djihadistes en Irak.
Une vidéo, qui prouverait l'arrestation à Mossoul d'un cousin du chef de l'Etat islamique par les forces irakiennes le 5 mars, circule sur les réseaux sociaux. On y voit un homme portant une barbe rousse entouré de nombreux militaires.
Plus personne, à part les jusqu’au-boutistes de l’Etat islamique ou d’Al-Qaïda, n’envisage sérieusement un renversement du régime en place à Damas, explique le chercheur Frédéric Pichon, auteur du livre «Syrie, une guerre pour rien».
Le chef de Daesh Abou Bakr Al-Bagdadi «est vivant» mais «a quitté Mossoul» à l'approche des troupes irakiennes, a affirmé le 8 mars un responsable américain qui prévoit par ailleurs un repli futur du «califat» sur la vallée de l'Euphrate.
Le chef de Daesh a été ciblé par un bombardement aérien en Irak, alors qu'il assistait à une réunion avec des cadres de l'Etat islamique, selon des médias irakiens. 13 personnes ont été tuées mais al-Baghdadi n'aurait été que blessé dans l'opération.
Afin de sensibiliser la population tchétchène aux sirènes funestes du djihad, des combattants repentis de Daesh ont mis le feu à des symboles de l'organisation terroriste qu'ils ont désertée.
Ayman al-Zawahiri a accusé le 5 janvier le chef de l'Etat islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, de mentir au sujet de la lutte djihadiste que mène Al-Qaïda. Il a également appelé une nouvelle fois ses partisans à combattre les Etats-Unis et les chiites.