SIDERANT

Dans La Grande Interview, Muhammad Oubenali, présentateur de RT en arabe, reçoit Moussa Ibrahim, ancien porte-parole du gouvernement libyen.
Au moment où la pandémie du coronavirus se propage à travers le monde, certains pays vont devoir gérer cette crise sanitaire dans des situations déjà compliquées. De fait, le CoviD-19 pourrait frapper des zones déjà ravagées par la guerre. Exemples.
Dans une tribune, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a longuement interpellé les pays de l'Union européenne, les mettant en garde contre la résurgence d'organisations terroristes en Libye si le gouvernement d'al-Sarraj n'était pas soutenu.
Après des exhortations répétées de l'ONU en Libye, les forces pro-Haftar ont accepté la trêve demandée à l'occasion de la célébration de la fête sacrée de l'Aïd al-Adha. Le gouvernement d'union nationale a lui aussi accepté la trêve, sous conditions.
Un avion de chasse de l'Armée nationale libyenne du maréchal Khalifa Haftar, qui mène une offensive contre le Gouvernement d'unité nationale depuis le 4 avril, aurait été abattu.
Les prix mondiaux du brut ont atteint leur plus haut niveau depuis novembre, poussés par les réductions de production de l’OPEP, les sanctions américaines contre l’Iran et le Venezuela, ainsi que l’escalade des combats en Libye.
Lors d'un forum à Berlin, le secrétaire général de l'OTAN a fustigé à mots couverts la volonté de l'Elysée de créer une armée européenne et a révélé que l'opération militaire en Libye avait été élaborée à la demande de la France et du Royaume-Uni.
Bien que ministre italien de l'Intérieur, Matteo Salvini pourrait parfois passer pour le Premier ministre tant sa parole porte à l'étranger : cette fois, l'homme fort de Rome s'en prend à la France et dénonce son implication dans le dossier libyen.
Dans le contexte de l'affaire de l'esclavage en Libye, le Haut commissariat aux réfugiés a annoncé que la France accueillerait les premiers migrants retenus dans ce pays. L'arrivée des réfugiés est prévue pour janvier 2018.
Le gouvernement libyen d'union nationale a déclaré avoir ouvert une enquête pour actes inhumains, alors que les appels à l'action de diverses personnalités se sont multipliés après la diffusion d'un reportage sur la vente d'esclaves à Tripoli.
Le second fils de Mouammar Kadhafi, qui aurait libéré en juin 2017, compterait revenir sur la scène politique libyenne. C'est en tout cas ce qu'affirme son avocat, Khaled al-Zaïdi, qui qualifie ce come-back de «seul espoir pour les Libyens.»
Le chef du gouvernement de Tripoli Fayez al-Sarraj et le maréchal Khalifa Haftar, qui contrôle l'Est du pays, ont été reçus par le président français. Les deux hommes forts libyens se sont engagés à mettre en place des élections au printemps 2018.
En clôture du G20, le président français a confirmé que le départ de Bachar el-Assad n'était plus «un préalable à tout» pour Paris, justifiant ce choix par l'échec patent des politiques menées Irak et en Libye.
Le procureure de la Cour pénale internationale a demandé mercredi 14 juin l'arrestation immédiate du fils de l'ex-dictateur libyen Mouammar Kadhafi, Saïf al-Islam, qu'un groupe armé libyen affirme avoir relâché le 9 juin dernier.
L'aviation égyptienne a mené le 26 mai six frappes contre des «camps d'entraînement terroristes» en Libye après une nouvelle attaque meurtrière contre la minorité chrétienne copte, a indiqué la télévision d'Etat.
La Libye a demandé à l'Italie d'armer les vedettes de ses gardes-côtes pour lutter contre l'immigration en Méditerranée et faire face aux trafiquants armés, a révélé le 18 mai un officier de la marine libyenne.
Le 30 décembre 2006, le président irakien Saddam Hussein était exécuté par pendaison. Quelles furent les conséquences pour l'Irak et la région ? Malgré l'échec de cette politique, les leçons n'ont pas été tirées par les politiques et journalistes.
La région du Moyen-Orient a besoin d’une Syrie renouvelée, mais c'est à son peuple de choisir le nouveau leader. Nabil Fahmy, ex-ministre égyptien des Affaires étrangères, confie à RT son sentiment sur les conflits clés en cours dans la région.
Cinq ans après le décès du chef d'Etat, la Libye est en proie au chaos, le poids de l'intervention de l'OTAN pèse sur la politique française et Nicolas Sarkozy est toujours embarrassé par les accusations de financement libyen de sa campagne de 2007.
Décidée après la visite du chef du gouvernement de Tripoli à Paris, la réunion, dont le but était de «faire progresser l'unité» de la Libye, a échoué. Aucun représentant libyen n'avait été invité et les pays en présence n'ont pas les mêmes intérêts.