REVELATIONS

La Suisse a signé ce 19 septembre le contrat portant sur l'achat controversé de 36 avions de combat américains F-35 pour plus de 6 milliards de francs suisses (6,3 milliards d'euros).
PDG de l'avionneur français, Eric Trappier s'est félicité de l'augmentation du budget de la défense annoncé par les autorités allemandes, mais a regretté qu'il y ait «une préférence américaine» en Europe dans le domaine de l'armement.
Le 24 janvier, un avion de chasse F-35 a raté son atterrissage sur un porte-avions et s'est abîmé en mer de Chine lors d'un exercice militaire. La marine américaine a confirmé l'authenticité d'une vidéo de l'incident diffusée sur les réseaux sociaux.
L'annonce de cet important contrat d'avions de combat au détriment de constructeurs européens tels que le Français Dassault a suscité de vives critiques de figures souverainistes, dénonçant la «chimère» que serait l'Europe de la défense.
Le choix du gouvernement suisse de sélectionner le F-35, l'avion de combat américain au détriment du Rafale s'est attiré de nombreuses critiques, comme le fait que cet avion serait «surdimensionné» et aurait des «lacunes en matière de sécurité».
La Suisse va rénover son équipement militaire aéronautique par l'acquisition de 36 avions de type F-35A au détriment du Rafale français. Bien que cet appareil ait connu un développement tumultueux, il a été commandé par une douzaine de pays.
La mitrailleuse chargée de balles explosives s'est déclenchée alors qu'un appareil de dernière génération F-35 était en plein vol, l'endommageant sévèrement. Le pilote a néanmoins réussi à atterrir sain et sauf.
Recep Tayyip Erdogan a laissé entendre que la Turquie pourrait se tourner vers la Russie après la décision des Etats-Unis prise en juillet d'exclure la Turquie du programme de développement de l'avion américain F-35.
Le gouvernement bulgare a signé un contrat avec le constructeur américain Lockheed Martin pour l'achat de huit avions de combat F-16 au prix de 1,256 milliard de dollars. Une commande au détriment de la concurrence européenne.
L’ambassadeur de Turquie en France Ismail Hakki Musa est revenu sur la décision américaine de suspendre les livraisons d'équipements liés aux avions de combat F-35 après la décision d'Ankara d'acquérir un système antimissiles russe S-400.
Echarde dans le pied ou clou dans le cercueil ? Le projet de défense européenne a de nouveau du plomb dans l'aile après que la Belgique a finalement préféré le F-35 américain au Rafale français pour remplacer ses F-16.
Pour la première fois de sa courte histoire, un F-35B s'est écrasé aux Etats-Unis sans faire de victime, le pilote s'étant éjecté. Un accident qui intervient alors que les F-35 viennent de commencer à être utilisés en combat, en Afghanistan.
La Défense italienne a présenté le premier F-35 assemblé en dehors des Etats-Unis. L’appareil controversé de Lockheed Martin, qui peut décoller sur piste courte et atterrir verticalement, est frappé par les retards et les dépassements de budget.
Des chasseurs F-35 voleront bientôt au-dessus de l’Europe, du Moyen-Orient et du Pacifique, selon un général américain qui a révélé la volonté du Pentagone de déployer ses avions à l’étranger. Ce ne seront néanmoins pas des missions de combat.
Sous la houlette du secrétaire à la Défense James Mattis, le Pentagone a bien l'intention de stopper l'hémorragie budgétaire que représente le F-35. Fiasco technologique et gouffre financier, le dernier né de Lockheed Martin est sur la sellette.
Le F-35 sera-il un jour opérationnel pour le combat ? Un rapport du Pentagone a pointé du doigt des centaines de défauts techniques découverts, des insuffisances dans la structure de l'appareil et des coûts de développement exorbitants.
Le futur président des Etats-Unis, Donald Trump, a menacé le constructeur automobile américain General Motors de «lourdes taxes douanières» ce mardi 3 janvier s'il refusait de rapatrier au moins partiellement sa production aux Etats-Unis.
La Chine tente de s'imposer sur le marché de l'aviation militaire. Le FC-31 est ainsi le premier concurrent au F-35 américain dans le domaine des chasseurs furtifs de cinquième génération - il a de plus l'avantage d'être presque deux fois moins cher.
Le président américain n'a pas hésité à mettre le constructeur aérien sous pression par de simples tweets... causant un effondrement boursier, qui a poussé la direction du groupe a réagir en promettant une diminution des coûts de production du F-35.
Après Boeing la semaine passée, c'est au tour de Lockheed Martin de voir la valorisation boursière de la compagnie s'effondrer après un tweet explicite de Donald Trump, critiquant les coûts de production du F-35, avion de combat de 5e génération.