Alain Finkielkraut
Une courte vidéo d'Alain Finkielkraut débattant dans une émission face à Caroline de Haas fait grand bruit sur les réseaux sociaux. Non sans ironie, le philosophe y appelle les hommes à violer les femmes. Des propos à replacer dans leur contexte.
Le 4 octobre, Jacques Attali a créé un buzz – certainement recherché – en dévoilant un texte assimilant le souverainisme à du racisme contre les musulmans et les juifs. Ce proche d'Emmanuel Macron a rapidement été raillé sur les réseaux.
Le Gilet jaune qui avait insulté le philosophe Alain Finkielkraut en marge de l'Acte 14 a été condamné à deux mois de prison avec sursis. Le tribunal a considéré que l'antisionisme affiché du prévenu était assimilable à de l'antisémitisme.
«Ah ben alors là, non !» : c'est la réponse d'Alain Finkielkraut à la question d'une journaliste lui demandant s'il allait regarder le match des Bleues lors de la coupe du monde de football féminin. Une réaction qui a fait bondir les réseaux sociaux.
Le parquet de Paris a requis six mois de prison avec sursis contre un individu qui, en marge d'une manifestation des Gilets jaunes, avait insulté le philosophe de «grosse merde», ou encore de «sioniste», suscitant l'indignation des politiques.
Les militants d'une association antiraciste souhaitaient empêcher la venue d'Alain Finkielkraut à Sciences-Po le 23 avril. Un important dispositif policier et une diversion de dernière minute ont finalement permis à la conférence prévue d'avoir lieu.
Le philosophe Alain Finkielkraut a vivement dénoncé la sortie de la secrétaire d'Etat Marlène Schiappa, qui soulignait une similitude existant, selon elle, entre la Manif pour tous et les terroristes islamistes.
«Mettre un Gilet jaune, c'est revêtir la honte» : le journaliste Philippe Val a violemment critiqué les Gilets jaunes, estimant que le mouvement n'était désormais plus composé que d'individus des deux extrêmes rapprochés par un antisémitisme commun.
Un homme soupçonné d'avoir proféré des injures à caractère antisémite envers le philosophe Alain Finkielkraut en marge d'une manifestation parisienne de Gilets jaunes, a été placé en garde à vue le 19 février.
L'ancien chef de la communication de François Hollande s'est exprimé, avec un peu de mépris, sur les épisodes de violence qui ont émaillé les mobilisations des Gilets jaunes. Il a notamment commenté les insultes adressées à Ingrid Levavasseur.
Lors de son passage sur LCI au lendemain de l'acte 14 des Gilets jaunes, Agnès Buzyn a lourdement accusé le mouvement citoyen ainsi que des responsables politiques opposés au gouvernement. Attaquée, Marine Le Pen a décidé de porter plainte.
Réagissant au flot d'insultes adressées à Alain Finkielkraut lors de l'acte 14 des Gilets jaunes, Bernard-Henri Lévy a estimé que l'antisémitisme n'était pas aux marges du mouvement citoyen, précisant : «C'est le cœur du mouvement.»
Sous l'impulsion d'un député LREM, les membres du groupe d'étude sur l'antisémitisme devraient soumettre un texte pour que l'antisionisme soit reconnu comme un délit. Leur décision doit être prise avant le discours d'Emmanuel Macron au dîner du Crif.
L'un des manifestants ayant injurié Alain Finkielkraut lors de l'acte 14 des Gilets jaunes a été «signalé comme évoluant dans la mouvance islamiste en 2014», selon Le Parisien, qui précise cependant qu'il n'est pas fiché au FSPRT.
Pris à partie lors de la manifestation des Gilets jaunes, l’académicien a livré sa version des faits. Il dénonce l'islamisme présumé d'un de ses offenseurs et évoque «un mélange de gens de banlieues, de l'extrême gauche et peut-être des soraliens».
Le philosophe a été la cible d’insultes ce 16 février en marge de la manifestation des Gilet jaunes dans le quartier de Montparnasse, à Paris. Un incident qui a provoqué l’indignation de plusieurs responsables politiques.
Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, a dénoncé une tribune publiée signée par 100 personnalités dans Le Figaro telles qu'Alain Finkielkraut ou Pierre Nora, dénonçant le «séparatisme islamique». Il regrette l'emploi du terme «apartheid».
S'estimant «l'objet d'une vindicte invraisemblable» après avoir déploré que, selon lui, seuls les «petits blancs» aient rendu hommage à Johnny Hallyday, Alain Finkielkraut dit ne rien comprendre à la polémique, et précise le fond de sa pensée.
Le philosophe Alain Finkielkraut a jugé que seul le «peuple des petits blancs» s'était rendu à l'hommage de Johnny, estimant que les «non-souchiens» avaient «brillé par leur absence». Un vocabulaire qui a beaucoup fait réagir sur les réseaux sociaux.
Le 8 décembre, la présidente du Front national, Marine Le Pen, a salué les propositions du ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer qui représentent selon elle «une victoire idéologique» mais aussi «politique» pour sa formation.
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