SIDERANT

Les hommages de deux ministres de l'Intérieur et une plainte du préfet de police de Paris : les réactions fusent après que la dégradation de la plaque commémorant le policier national Ahmed Merabet, tué lors de l'attaque terroriste de Charlie Hebdo.
Selon le parquet antiterroriste, quatre des suspects n'avaient pas une «connaissance précise» des modalités de l'attentat, mais avaient «conscience de l'existence d'un projet» terroriste. Le Pnat demande le renvoi de neuf suspects devant les assises.
Hayat Boumeddiene est visée par une nouvelle enquête pour «association de malfaiteurs terroristes criminelle». Présumée morte, elle serait en fait bel et bien en vie selon le témoignage d'une femme récemment rentrée de la zone irako-syrienne.
Le parquet national antiterroriste vient d'ouvrir une enquête pour «provocation» à des actes de terrorisme et «apologie». En cause, des messages visant les personnels de la prison de Fleury-Mérogis. Les mesures de sécurité ont été renforcées.
L'association «Killuminateam – les soldats dans le sentier d’Allah», présidée par un rappeur, diffusait sur Internet notamment des vidéos faisant l'apologie du terrorisme. Le ministre de l'Intérieur vient d'annoncer sa dissolution.
Pour la deuxième fois en trois mois, le rappeur Killuminaty est poursuivi pour apologie du terrorisme. L'artiste controversé du Val-d’Oise – actuellement incarcéré pour escroquerie – a déjà été condamné à 6 mois de prison avec sursis en novembre.
Après une nouvelle attaque revendiquée par Daesh et commise par un récidiviste djihadiste en plein cœur de la capitale britannique, qui a fait trois blessés au couteau, Londres envisage de nouvelles mesures pour renforcer le contrôle des radicalisés.
Un capitaine de police a saisi le Défenseur des droits et le Conseil d'Etat après avoir été suspendu à titre conservatoire de ses fonctions pour des soupçons de radicalisation. Cette affaire fait suite à l'attaque de la préfecture de police.
C'est un procès pour le moins surréaliste de djihadistes presque tous présumés morts au nom du «califat» islamique. Des «fantômes» condamnés le 17 janvier à des peines allant de 25 ans à la perpétuité.
1 700 victimes et proches de victimes, 350 avocats, une foule de journalistes : prévu en 2021, le procès des attentats du 13 novembre 2015 s'annonce hors norme. Pour permettre au plus grand nombre de le suivre, sa diffusion par webtélé est envisagée.
Les élèves d'une école du Yorkshire se sont vus demander dans un devoir si le terroriste de Manchester devrait être pardonné. De nombreux parents d'élèves ont fait part de leur réaction indignée.
Le djihadiste Bilal Taghi, qui avait tenté d'assassiner au couteau deux gardiens de prison en 2016, a été condamné à 28 ans de prison. Présent au procès, l'un des deux surveillants lui a tendu la main, l'invitant à réfléchir au sens de sa vie.
Après l'annonce de la mort du chef de l'Etat islamique, Donald Trump a annoncé que le successeur «numéro un» d'Abou Bakr al-Baghdadi avait lui aussi été «éliminé» dans des frappes américaines.
Dans un document interne, Christophe Castaner a appelé ses troupes à renforcer leur vigilance envers la sphère djihadiste, après l'annonce de la mort du chef de Daesh. Beauvau craint d'éventuels «actes de vengeance» dans les jours à venir.
Le parquet de Paris a élargi son enquête sur les dégradations d'un centre commercial parisien par Extinction Rebellion pour «apologie du terrorisme», après la découverte de tags évoquant l'attaque de la préfecture de Paris.
Valérie Boyer a donné sur le plateau de RT France son point de vue à propos de l'attaque à la préfecture de police de Paris. La députée LR n'a pas manqué de fustiger la communication du gouvernement après l'attentat.
Selon plusieurs sources concordantes citées par l'AFP, un projet attentat impliquant trois personnes a été déjoué. Les profils des hommes sont similaires : des détenus ou anciens détenus radicalisés. L'un d'entre eux était allé en Syrie.
Près de trois semaines après avoir revendiqué les deux attentats-suicides qui ont frappé la capitale de tunisienne, le groupe Etat islamique a appelé dans la nuit du 16 au 17 juillet à mener de nouvelles attaques dans le pays.
Les conditions de détention de Salah Abdeslam, terroriste djihadiste qui a participé aux attaques de Paris en novembre 2015 avant d'être interpellé en Belgique l'année suivante, ont été jugées en partie illégales par la justice française.
Quatre mois avant son élimination, le terroriste qui avait revendiqué les attentats du 13 novembre 2015 a essayé de fomenter une action violente sur le territoire français. Pour ce faire, il s'était appuyé sur son ancien réseau salafiste toulousain.