BRAS DE FER

La Russie a réagi au rejet par l'AG des Nations unies de sa résolution appelant à un moratoire sur les sanctions économiques durant la pandémie de Covid-19. Moscou a tancé les pays opposés au texte, dont les Etats-Unis ou l'Union européenne.
L'Assemblée générale de l'ONU a appelé, par une résolution, Washington à lever l'embargo économique imposé à Cuba. Sur 192 pays, seuls trois ont voté contre : les Etats-Unis, Israël et un nouveau cette année : le Brésil de Jair Bolsonaro.
La vice-présidente du Venezuela s'est exprimée devant l'Assemblée générale de l'ONU. Elle a dénoncé les tentatives de coups d'Etat et d'assassinats de la part de Washington et de son allié colombien. La délégation américaine a quitté la salle.
Le ministre russe des Affaires étrangères a plaidé à l'ONU pour un monde multipolaire dans lequel les décisions se prennent de manière collégiale pour une meilleure représentativité de la communauté internationale.
A peine monté sur la tribune, le nouveau président du Salvador, Nayib Bukele, a décidé de prendre un selfie avant de commencer sa première prestation à l’Assemblée générale des Nations Unies.
Le 24 septembre, s’exprimant à la 74e édition de l’Assemblée générale, Emmanuel Macron a cité le célébre écrivain russe Alexandre Soljénitsyne. Ce n’est pas la première fois que le président français recourt aux maîtres de la littérature russe.
Répondant à la question de journalistes russes sur les «pressions» supposées du président américain Donald Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré que seul son fils, âgé de six ans, pouvait faire pression sur lui.
Le ministre d’Etat des Affaires étrangères saoudien Adel al-Jubeir a estimé l'Iran responsable de l'attaque contre deux sites pétroliers du royaume. Il s'est dit prêt à étudier «toutes les options», y compris une intervention militaire.
Du 24 au 30 septembre, les chefs d'Etat et de gouvernement se relaient à la tribune de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, lors du débat général annuel, afin d'exposer leurs vues sur les questions d'ordre mondial.
Après de longues négociations entre le gouvernement syrien, l'opposition et l'ONU, la mise en place d'un Comité constitutionnel pour la Syrie a été rendue publique. Il aura pour mission de rédiger une Constitution mais sa tâche s'annonce déjà ardue.
En amont de l'Assemblée générale de l'ONU, le chef de la diplomatie russe a évoqué les grandes lignes de la politique internationale de Moscou. Il prône le multilatéralisme et dénonce le «révisionnisme» de l'Occident en matière de sécurité.
Le président iranien pourrait être empêché de se rendre à l'Assemblée générale de l'ONU. Les visas pour lui et sa délégation n'ont en effet pas été délivrés par les Etats-Unis.
Remise en question par plusieurs pays ces dernières années, l'ONU connaît une véritable crise de légitimité. De plus en plus d’Etats appellent à une réforme, mais quels sont les enjeux quand on veut réformer un tel mastodonte ?
L'Assemblée générale des Nations Unies a voté une résolution condamnant, notamment, la présence militaire russe en Crimée. 66 pays ont voté pour cette résolution, 72 Etats se sont abstenus et 19 ont voté contre.
Interrogé par RT France, Claude Nicolet, président de l'association franco-palestinienne Dunkerque-Gaza, regrette que «la question palestinienne ne soit plus en tête de gondole de l’agenda international». «Une erreur» selon lui.
Au grand dam des Etats-Unis, la Palestine pourra bientôt prendre la tête d'une coalition promouvant les intérêts économiques et politiques des pays en voie de développement, le G77. La résolution a été adoptée ce 16 octobre par 146 pays à l'ONU.
Après une tentative de coup d'Etat en août et malgré des déclarations américaines hostiles, Nicolas Maduro est venu défendre son pays à la tribune des Nations unies. Aux menaces du président Donald Trump, il a opposé une offre de dialogue.
C'est un peu un prix Nobel de la défense de l'environnement qu'Emmanuel Macron reçoit ce 26 septembre en pleine assemblée générale des Nations unies. Pour autant, certains pointent la distance entre le discours et les actes.
Emmanuel Macron a usé de son «en même temps» sur la question syrienne. Quelques jours plus tôt, le ministre des Affaires étrangères voyait difficilement une résolution politique en Syrie avec Bachar el-Assad. Le président, lui, est plus nuancé.
Lors de son intervention aux Nations unies, Donald Trump a critiqué le choix énergétique allemand qui pousserait selon lui le pays à être «dépendant de l'énergie russe». Les diplomates allemands, manifestement surpris, se sont contentés de sourire.