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Le gouvernement allemand a décidé le 19 février d'instaurer un minimum vieillesse pour les plus démunis, un sujet qui a longtemps menacé l'avenir de la coalition d'Angela Merkel entre conservateurs et sociaux-démocrates.
Tandis que l'euroscepticisme a la cote en France, l'Allemagne reste un pays où les enjeux du scrutin du 26 mai s'inscrivent dans un présupposé pro-Union européenne. Outre-Rhin, l'UE est synonyme d'une mondialisation dont le pays sort gagnant.
Après une proposition des deux partis au pouvoir, le Parlement allemand a adopté une motion qualifiant le mouvement BDS d'antisémite. L'AfD s'est abstenue, demandant une interdiction totale du mouvement, et Die Linke (gauche radicale) a voté contre.
Lors d'un entretien, le président du groupe CDU/CSU au Bundestag évoque la possibilité qu'un musulman représente les conservateurs lors des élections législatives allemandes, d'ici dix ans. Les réactions sont vives au sein de la CDU.
La nouvelle présidente de la CDU, Annegret Kramp-Karrenbauer, s’inquiète de la situation créée en France par le mouvement des Gilets jaunes, dans une interview publiée par Le Monde.
Confrontée au vieillissement de sa population et à une pénurie de main-d’œuvre dans certains secteurs, l'Allemagne veut recruter à l'étranger des travailleurs qualifiés en se dotant pour la première fois d'une loi sur l'immigration.
Grand rival d'Angela Merkel dans les années 2000, Friedrich Merz avait fini par quitter la vie politique pour travailler dans la finance. Son retour fulgurant en fait le favori pour prendre la tête de la CDU. Non sans provoquer de vives critiques.
Au lendemain d'une nouvelle déconvenue électorale, Angela Merkel a annoncé qu'elle quitterait en décembre la présidence du parti chrétien-démocrate (CDU) et ne serait plus candidate à un nouveau mandat à la tête de la chancellerie.
Le scrutin régional bavarois du 14 octobre affaiblit la grande coalition au pouvoir à Berlin. Indirectement, ce résultat liquide définitivement les ambitions élyséennes de relancer l’UE, estime Pierre Lévy, rédacteur en chef de Ruptures.
Le parti conservateur bavarois CSU, allié incontournable d'Angela Merkel, a subi un camouflet lors des élections régionales. Il perd sa majorité absolue face à l'essor des Verts et du parti anti-immigration AfD, réalisant son pire score depuis 1950.
Angela Merkel est confrontée ce 14 octobre à un scrutin régional clé en Bavière, qui risque de tourner au désastre pour son allié conservateur : la CSU. L'eurodéputée sociale-démocrate Evelyne Gebhardt livre à RT France son éclairage.
La chancelière allemande a célébré sans joie les 28 ans de la réunification ce 3 octobre. Un an après les élections législatives, le paysage politique allemand est durablement chamboulé, et le pays fracturé, cette fois sur la question migratoire.
Les trois partis de la coalition au pouvoir en Allemagne sont parvenus ce 2 octobre à un accord facilitant l'arrivée de travailleurs extra-européens, dans l'objectif de répondre à la pénurie de main d’œuvre qui frappe certains secteurs d'activité.
Le ministre de l'Intérieur allemand Horst Seehofer, connu pour ses positions anti-immigration, s'est réjoui de l'expulsion de 69 migrants vers l'Afghanistan le jour de son 69e anniversaire. Une déclaration qui a choqué l'opposition.
L'accord trouvé entre la CDU et la CSU sur le renvoi des migrants enregistrés dans un autre Etat européen a été validé par le troisième parti de la coalition, le SPD, offrant un peu d'air à la chancelière allemande Angela Merkel.
Angela Merkel s'est offert un peu de répit en passant avec son ministre de l'Intérieur un accord pour interdire aux migrants enregistrés dans un autre Etat européen de rester en Allemagne. Mais elle devra composer avec ses partenaires européens.
Nouveau coup de sang de Horst Seehofer face à la chancelière allemande. Le ministre de l'Intérieur avait fixé un ultimatum... à présent, il doit agir et propose en conséquence de démissionner. Il menace ainsi l'équilibre déjà fragile de la coalition.
Un sondage démontre que la chancelière, fragilisée par la pression de son aile conservatrice sur les questions d'immigration, fait désormais face à un nombre record d'Allemands ne voulant plus d'elle pour gouverner.
Si la question migratoire exacerbe les tensions à l'échelle européenne, elle fragilise aussi la coalition au pouvoir en Allemagne. Sur ce sujet, le ministre allemand de l'Intérieur a lancé un ultimatum à Angela Merkel, qui n'a pas tardé à le rejeter.
Selon un sondage publié le 15 juin, près de 90% des Allemands veulent une accélération des expulsions d'étrangers en situation irrégulière. Un résultat qui est une critique sévère de la politique migratoire menée par la chancelière Angela Merkel.