SIDERANT

Plusieurs personnalités emblématiques du Hirak ont été libérées ce 2 juillet. Parmi elles, Karim Tabbou, chef d'un petit parti d'opposition et Amira Bouraoui, médecin et militante d'opposition de longue date.
Le Hirak a tenté de reprendre possession de la rue ce 19 juin dans plusieurs villes d'Algérie. Et ce, en dépit de l'interdiction de tout rassemblement en raison de la crise sanitaire.
Au lendemain de la diffusion par France 5 et LCP de deux documentaires sur le Hirak, le mouvement contestataire algérien qui a débuté en février 2019, Alger a décidé de rappeler son ambassadeur de France, dénonçant «des intentions malveillantes».
Trois sites d'information en ligne ont récemment été désactivés et deux journalistes sont actuellement emprisonnés en Algérie. Pour justifier ces décisions, les autorités algériennes invoquent des financements étrangers et de la diffamation.
Les autorités algériennes ont pris de nouvelles mesures pour mettre en place le confinement, comme c'est déjà le cas dans de nombreux pays méditerranéens. Pour les Algériens, c'est le premier vendredi sans prière collective et sans manifestation.
L’opposant politique algérien a été condamné ce 11 mars à un an de prison dont six mois ferme et 50 000 dinars d’amende pour «atteinte à l'intégrité nationale». En détention provisoire depuis septembre 2019, il sera libérable le 26 mars prochain.
Fodil Boumala, figure du mouvement de contestation qui agite l'Algérie depuis plus d'un an, a été relaxé ce 1er mars. Placé en détention provisoire depuis septembre 2019, il était notamment poursuivi pour «atteinte à l'intégrité du territoire».
A la veille du premier anniversaire du Hirak, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a accordé un entretien à la chaîne RT Arabic. Dans cette première partie, il a déroulé les grandes lignes de sa politique nationale.
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées au cœur d'Alger, jour anniversaire du déclenchement du Hirak, le mouvement populaire de contestation qui agite l'Algérie. Les forces de l'ordre ont utilisé le canon à eau pour les repousser.
Hicham Rouibah, chercheur en socio-économie à l'université d'Oran et militant engagé dans le mouvement algérien populaire depuis son commencement, revient sur le Hirak à l'occasion de son premier anniversaire, ce 22 février.
Le Hirak fête ce 22 février son premier anniversaire. Si ses partisans peuvent se targuer d'avoir empêché un cinquième mandat d'Abdelaziz Bouteflika, leur objectif initial de refonder le système politique est pour l'heure inachevé.
Le traumatisme de la décennie 1991-2001 qui a ensanglanté l'Algérie semble avoir eu raison, du moins pour le moment, de l'islamisme politique. Les partis qui se réclament de cette mouvance n'ont pas réussi à s'approprier le mouvement de protestation.
Zoubida Assoul, présidente du parti l’Union pour le changement et le progrès, revient pour RT France sur le premier anniversaire du Hirak. Selon elle, le mouvement de protestation a permis aux Algériens de se «rapproprier leur histoire».
A l'occasion d'une interview accordée à la version arabophone de la chaîne RT, le président algérien est revenu sur le Hirak, le mouvement de protestation algérien. Pour lui, celui-ci a permis de mettre un terme à un «pourvoir personnel».
La ville de Kherrata, berceau du mouvement citoyen algérien du Hirak, a été le théâtre d'un rassemblement impressionnant à l'occasion du premier anniversaire de la mobilisation.
Il y a un an, la candidature d'Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat était annoncée. Alors que les proches du président affaibli tentaient, tambour battant, de mener campagne à sa place, un tsunami populaire inédit allait en décider autrement.