BRAS DE FER

Rex Tillerson a été très virulent envers la Russie pour sa première réunion à l'OTAN, dénonçant notamment l'«occupation» de la Crimée. Moscou a répondu que les «calomnies» de l'Alliance atlantique n'avaient pour but que de «maintenir son unité».
La cérémonie d’adieu à Vitali Tchourkine s’est déroulée le 24 février dans la grande salle de deuil de l'hôpital central de Moscou. Quatre jours après sa mort, de nombreuses personnalités politiques ont tenu à lui rendre un dernier hommage.
Le président américain a présenté ses condoléances à la Russie et à la famille de Vitali Tchourkine, ambassadeur russe auprès de l’ONU décédé le 20 février, soulignant qu’il avait joué un rôle «crucial» dans le domaine de la sécurité internationale.
Après que l'Ukraine a bloqué une déclaration officielle de l'ONU concernant la mort de l'ambassadeur de la Russie, Vitali Tchourkine, le porte-parole du Kremlin a déclaré que cela ne signifiait rien par rapport à la perte que connaissait la Russie.
Tout au long de son mandat d'envoyé spécial de la Russie auprès de l‘ONU, Vitali Tchourkine a su parer aux attaques des diplomates occidentaux avec des formules saignantes. RT a recensé ses citations les plus mémorables.
Deux semaines avant sa mort prématurée, Vitali Tchourkine avait donné une interview à RT qui se trouve être l'une de ses dernières. RT France a sélectionné des passages inédits de cet entretient avec l'un des diplomates russes les plus brillants.
Si la Russie a «eu beaucoup de diplomates illustres», Vitali Tchourkine était «une figure du plus haut rang, toujours en première ligne de la vie politique», regrette le parlementaire russe Léonid Sloutski.
La mort soudaine de Vitali Tchourkine, «l’un des plus brillants et des plus forts diplomates russes» est une grave perte pour le monde diplomatique. Le sénateur Alexeï Pouchkov partage avec RT ses souvenirs du grand diplomate.
Vitali Tchourkine, l'envoyé spécial de la Russie auprès de l'ONU, «exerçait sa fonction dignement» et s'est «entièrement consacré à son pays et à ses convictions», se souvient son ancien collègue, le sénateur russe Konstantine Kosatchiov.
A la veille de la rencontre entre Sergueï Lavrov et le nouveau secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, l’ambassadeur russe auprès du Conseil de sécurité de l’ONU, Vitali Tchourkine, a donné une interview exclusive au correspondant de RT.
RT a rejoint la liste exclusive des médias dont la diffusion est reprise par le réseau d'information interne du siège des Nations unies à New York. La cérémonie scellant l'accord intervenu entre RT et l'ONU a eu lieu le 17 janvier.
Lors d’une réunion du Conseil de sécurité sur la Syrie, l’ambassadeur de la Russie à l’ONU a appelé à tenir des négociations de paix, compte tenu la fin de l’opération à Alep. Il s’est félicité des efforts russes dans la lutte contre les terroristes.
Faute d'être sur le terrain, les pays soutenant al-Nosra et les «rebelles» portent le combat au Conseil de sécurité des Nations unies, déclenchant une guerre des mots. Mais, pour l'envoyé russe à l'ONU, le storytelling des Etats-Unis n'a plus prise.
La soi-disant opposition modérée a en fait cessé d’exister en Syrie, a déclaré l’ambassadeur de Russie auprès de l’ONU. L'Assemblée a adopté une résolution non-contraignante, appelant au cessez-le-feu dans ce pays déchiré par la guerre depuis 6 ans.
L’ambassadeur de Russie à l’ONU s’est étonné qu’alors que la situation humanitaire à Mossoul, en Irak, est pire qu'à Alep, Jean-Marc Ayrault ait appelé à convoquer une réunion sur Alep, où l’ONU ne livre même pas d’aide, selon la Défense russe.
Lors du Conseil de sécurité, l’ambassadeur russe a vivement critiqué l’analyse de Stephen O'Brien sur la situation en Syrie. D’après la Russie, ses propos concernant les conséquences de l’opération russe sur la population sont «malhonnêtes».
Le ministre de la Défense russe Sergueï Choïgou a déclaré que l’armée russe et les troupes gouvernementales syriennes avaient cessé le feu à Alep à 7h (GMT) pour laisser passer les convois humanitaires, deux jours avant la date prévue.
Vendredi 7 octobre, Moscou a critiqué la résolution proposée par la France sur la Syrie, expliquant que cette dernière se basait sur plusieurs propositions inacceptables pour Moscou et visait à provoquer un veto russe.
Dans un contexte pénible en Syrie causé par la suspension de la coopération russo-américaine, la Russie a proposé à l’ONU une résolution sur la lutte contre l’idéologie terroriste prévoyant le renforcement de la collaboration internationale.
L’ambassadeur russe auprès de l’ONU, Vitali Tchourkine, a déclaré que le rapport sur l’utilisation d’armes chimiques en Syrie n’était pas suffisant pour sanctionner Damas car il ne se basait que sur des témoignages sous couvert d’anonymat.