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Alors que les projets de motion de censure se multiplient au sein d'un hémicycle houleux, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot estime que son parti doit arrêter de voter les motions proposées par la NUPES, et tacle au passage Jean-Luc Mélenchon.
Après le nouvel échec d'un nouveau texte de LFI destiné à renverser le gouvernement, le leader des insoumis s'en est pris aux «adversaires internes» de la Nupes, ciblant Fabien Roussel et les partisans de Yannick Jadot et de François Hollande.
L'eurodéputé et ancien candidat à la présidentielle d'Europe Ecologie-Les Verts Yannick Jadot a vécu une journée difficile à Sainte-Soline, où de nombreux manifestants lui ont fait comprendre que sa présence n'était pas souhaitée.
L'écologiste Yannick Jadot a fait savoir ce 24 juin que les écologistes étaient «toujours prêts à des compromis» et n'a pas exclu qu'ils participent, sous conditions, à un éventuel gouvernement de «coalition» pour sortir de la crise politique.
Le candidat Jean Lassalle, sorti du premier tour avec 3% des voix, a annoncé sur son compte Twitter qu'il faisait un don équivalent à trois partis en difficulté financière après leurs mauvais résultats.
Dans une émission avec des écoliers diffusée sur C8, le candidat écologiste a commis plusieurs erreurs de géographie, inversant notamment l'Estonie et la Lituanie. Sa prestation a fait l'objet de railleries.
Selon plusieurs sources, La France insoumise a lancé des tentatives d'accord avec Europe Ecologie Les Verts, particulièrement sur les circonscriptions législatives. Le Parti communiste aurait également reçu une offre des insoumis.
Un rassemblement s'est tenu le 5 mars place de la République, à Paris contre l'offensive militaire russe en Ukraine, avec la présence de plusieurs politiques. D'autres rassemblements ont eu lieu dans plusieurs villes de France.
Yannick Jadot, candidat EELV à la présidentielle, sera reçu par le Premier ministre le 28 février. Durant l'entretien, il compte demander à Jean Castex les détails des livraisons d'armement à l'Ukraine, un «exercice normal de transparence» selon lui.
Cruellement mise en lumière par la pandémie, la désindustrialisation du pays a fait l'objet d'une attention renouvelée de la part du gouvernement, qui se targue d'avoir inversé la tendance. Qu'en est-il et que proposent les rivaux d'Emmanuel Macron ?
Ce 22 février, un rassemblement en solidarité avec l'Ukraine était organisé devant l'ambassade de Russie à Paris. Les manifestants, dont plusieurs personnalités de gauche, ont scandé des slogans hostiles à la Russie et à son président.
Les décisions de la Russie dans le dossier ukrainien ont suscité des commentaires dans la classe politique : certains appellent à des sanctions, d'autres, plus mesurés, rejettent cette solution et appellent à de nouveaux traités sur les frontières.
Le candidat écologiste à l'élection présidentielle, Yannick Jadot, est revenu sur l'expression «Juif de service» qu'il a employée à l'adresse d'Eric Zemmour. S'il a regretté la formulation, il a en revanche refusé de s'excuser auprès de ce dernier.
Ce 13 février sur Radio J, le candidat écologiste Yannick Jadot s'en est pris avec véhémence à Eric Zemmour qu'il accuse de porter des «pulsions de mort». «Ce que [Jean-Marie Le Pen] n'avait pas réussi à faire, il arrive à le faire », a-t-il déclaré.
L'écologiste Yannick Jadot, qui affirme régulièrement son ambition de développer l'éolien et d'autres énergies renouvelables en France, a fustigé les récents engagements pris par Emmanuel Macron afin de développer le parc nucléaire du pays.
Des discussions tenues entre les équipes de Yannick Jadot et celles de Christiane Taubira ont froissé Sandrine Rousseau. Celle-ci aurait en effet été tenue à l'écart. Les deux écologistes se sont répondus sèchement par médias interposés.
Selon Libération, Emmanuel Macron, qui souhaiterait éviter un débat rassemblant tous les autres candidats, craindrait notamment la présence du candidat d'extrême-gauche. Celui-ci avait attaqué vivement François Fillon lors de la précédente campagne.
Ce 1er février, la mise en scène voulue par le président de l'annonce de l’élargissement du pass culture aux lycéens a suscité les moqueries de certains responsables politiques qui en ont profité pour dénoncer le bilan d'Emmanuel Macron.
«Je ne suis pas concerné, c'est leur affaire», a déclaré le candidat de la France insoumise sur France 5, après la désignation de Christiane Taubira comme candidate privilégiée par les électeurs de la «primaire populaire».
Victorieuse de la «Primaire populaire», Christiane Taubira semble en lice pour la présidentielle. Mais ce scrutin, qui n'est pas reconnu par Anne Hidalgo, Yannick Jadot ou Jean-Luc Mélenchon, a surtout mis en lumière les divisions de la gauche.