SIDERANT

Perpétré à Sarcelles par un individu tout juste sorti de prison, le meurtre au couteau d'un jeune homme de 23 ans a provoqué l'ire de membres du RN. Ils reprochent un certain laxisme judiciaire et l'absence de mobilisation populaire suite au drame.
Personnalités politiques et médiatiques ainsi qu'hommes de loi ont réagi à la dernière révélation sur l'affaire Alexis Kohler, mettant notamment en avant une attestation le dédouanant des suspicions le visant et rédigée en 2019 par Emmanuel Macron.
La proposition de loi prévoyant des «mesures de sûreté» visant les condamnés pour terrorisme à l'issue de leur peine a été votée à l'Assemblée nationale. Porté par le groupe LREM, le texte avait été très critiqué par le Conseil national des barreaux.
L'ancien député et fondateur du parc du Puy-du-Fou, Philippe de Villiers, n'a pas eu de mots assez durs à l'endroit de Christophe Castaner et de Nicole Belloubet sur le plateau de BFM TV. Il y a notamment dénoncé un «gouvernement de la pétoche.»
Alors que le président de la République a demandé à Nicole Belloubet, ministre de la Justice, de se pencher sur l'affaire Traoré, l'avocat de la famille a rappelé que la loi interdit à la garde des Sceaux d'intervenir dans des affaires individuelles.
Frédéric Taddeï reçoit Maboula Soumahoro, maîtresse de conférences, Norman Ajari, philosophe, et Eva Doumbia, metteure en scène et autrice.
Le gouvernement français souhaite mettre prochainement en place un système algorithmique nommé «DataJust», qui devra être capable de calculer les indemnisations des victimes du Covid-19. «Une barémisation de la vie humaine», dénoncée par des avocats.
Le Covid-19 affecte déjà une vingtaine de prisons. Des associations avaient requis des libérations et du matériel de protection, demande refusée par le Conseil d’Etat. Une surveillante, un associatif et deux détenus réagissent pour RT France.
Des djihadistes françaises détenues dans les camps de rétention par les Kurdes dans la zone irako-syrienne seraient parvenues à s'échapper pour rejoindre la France via la Turquie ou pour rejoindre leurs camarades de Daesh en Syrie.
Le Covid-19 a mis presque toute la justice à l'arrêt mais le fonctionnement des tribunaux perdure ainsi que la menace terroriste. Les petites mains doivent continuer le travail dans les TGI qui incarcèrent encore pendant qu'on libère en fin de peine.
Le Conseil d'Etat a rejeté des recours déposés par des organisations d'avocats contre différentes mesures d'exception pour la justice dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire. Dans leur viseur : l'allongement des délais de la détention provisoire.
Les interventions des forces de l'ordre pour violences conjugales ont augmenté de 30% durant le confinement. Que penser des nouvelles mesures pour les femmes battues ? Un point avec 2 spécialistes de la lutte contre les violences faites aux femmes.
Les avocats du Barreau de Lyon ont adressé le 27 mars un courrier à la garde des Sceaux afin de manifester leur mécontentement concernant les nouvelles règles mises en place pour adapter la procédure pénale à l'épidémie de coronavirus.
Un surveillant pénitentiaire de 54 ans qui travaillait à la prison d'Orléans-Saran est décédé après avoir été confiné à son domicile pour suspicion de contamination au Covid-19.
Selon les syndicats des agents pénitentiaires, le ministre a ordonné la sortie de 5 000 détenus afin d'éviter la surpopulation carcérale pendant l'épidémie de Covid-19. Une mesure qui n'est pas forcément du goût de tous les surveillants.
Discordes, refus d'obtempérer et dégradations du mobilier ont eu lieu le 21 mars dans plusieurs prisons françaises, où les conditions de détention liées au confinement font monter la colère des captifs. «11 gardes à vue de détenus sont déjà prévues.»
Neuf personnels de la pénitentiaire testés positifs au Coronavirus en France, et plus de 230 détenus en confinement. Pour éviter une catastrophe, la Garde des Sceaux ouvre la voie à la libération de détenus malades et en fin de peine
A la suite de l'annonce de Nicole Belloubet de suspendre les parloirs en raison du coronavirus, des détenus ont provoqué des incidents dans plusieurs établissements, alors qu'un prisonnier a trouvé la mort le 16 mars des suites de la maladie.
Invitée de RTL ce 24 février, la ministre de la Justice a expliqué que 43 détenus pour terrorisme seraient libérés en 2020 et une soixantaine d'ici 2021. «Les services de renseignement les suivent de manière très précise», a-t-elle assuré.
La ministre de la Justice regrette dans une tribune au Monde ses propos «inexacts» sur la critique de la religion, qui ont provoqué un tollé et lui ont valu d'être accusée de mal connaître le droit ou de justifier le délit de blasphème.