SIDERANT

Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin doit rencontrer son homologue russe, Vladimir Kolokoltsev à Moscou. Une étape pour «se débarrasser d'un certain nombre de fichés S venant de Russie», estime Pierre Conesa interrogé par RT France.
Un ancien fonctionnaire de la police aux frontières d'Orly, soupçonné d'avoir transmis aux services secrets marocains des documents confidentiels dont des fiches S, sera prochainement jugé à Créteil pour «corruption passive».
L'homme responsable de la prise d'otage dans une agence bancaire du Havre, qui s'est terminée sans faire de victimes, était connu des services de police pour radicalisation. Il a notamment exprimé des revendications liées à la cause palestinienne.
En septembre dernier, L'Express rapportait que le candidat aux municipales Abdelaziz Hamida avait éveillé l'attention des renseignements «en raison de ses activités prosélytes» et de son «entourage». Le désormais édile de Goussainville dément.
Frédéric Taddeï reçoit Charles Consigny, avocat, et Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction de Valeurs actuelles.
Un homme fiché S pour radicalisation et sa compagne ont été placés en garde à vue après la découverte d'engins explosifs artisanaux dans un immeuble d'Epinal, dans le cadre d'une enquête menée par le parquet antiterroriste.
Des députés LR vont proposer une loi pour détecter les candidats radicalisés islamistes aux élections municipales de mars. La porte-parole de LREM Aurore Bergé estime que c'est «absolument irréaliste» et tacle le parti de droite.
Christian Estrosi, maire de Nice, a déploré sur BFM TV ne pas disposer de la liste des fiches S présentes dans sa commune : «On fait appel à nous en tant qu'auxiliaires de sécurité au côté de l'Etat [...] donnons-nous les moyens de surveillance.»
Fichiers de police, capacité d’expulsion des terroristes étrangers : ces deux dispositifs sont entre les mains l’Etat. Mais pour le criminologue et essayiste Xavier Raufer, ce dernier doit au préalable savoir décider.
La fusillade de Strasbourg constitue une douloureuse piqûre de rappel pour les Français : le risque zéro n'existe pas. Et les autorités ne manquent pas de le marteler : les dispositifs de sécurité sont déjà, selon eux, au maximum.
L’auteur présumé de l’attaque de Strasbourg était fiché S pour radicalisation, à l’instar de nombreux terroristes responsables d’attaques sur le sol français. D’aucuns souhaitent effectuer un suivi plus strict de ce fichier. Une utopie ?
Jeune homme de 29 ans, fiché S et natif de Strasbourg : quel est le profil de l'auteur présumé de l'attaque à Strasbourg qui a coûté la vie à au moins deux personnes et en a blessé 13 autres ?
Dans un article publié ce 2 octobre, Libération affirme qu’Alexandre Benalla a bien rencontré début septembre à Londres Alexandre Djouhri, impliqué dans le financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.
Peu de temps après l'attaque au couteau perpétrée à Trappes, le 23 août, causant la mort de la mère et la sœur de l'assaillant et blessant une troisième grièvement, la droite française s'est empressée de réagir aux événements.
Après l'attentat du 12 mai en plein coeur de Paris, l'expert en renseignement Chems Akrouf, craignant que ces attaques se répètent, revient sur l'action de l'Etat et les propositions de la classe politique française.
Un individu considéré comme «potentiellement» radicalisé et dangereux, s'est enfui à bord d'un véhicule. Deux complices l'attendaient, selon le syndicat pénitentiaire Force ouvrière.
Quelques heures après l’attaque terroriste qui a frappé la capitale le 12 mai, l’exécutif se retrouve au centre des critiques. A droite de l’échiquier politique, de nombreuses personnalités exigent l’expulsion immédiate des étrangers fichés S.
Le profil de l'individu, fiché pour radicalisation, qui a attaqué des passants au couteau dans la capitale française, faisant au moins un mort et quatre blessés, se précise. Ses parents ont été placés en garde à vue.
Presque deux ans après le double homicide djihadiste de Magnanville en juin 2016, les enquêteurs pourraient être en mesure de déterminer comment le tueur Larossi Abballa a pu choisir non seulement ses victimes, mais aussi connaître leur adresse.
Deux smartphones ont été retrouvés sous le matelas d'un détenu fiché S et soupçonné d'avoir voulu faire exploser un immeuble à Paris en septembre. Une affaire qui ravive la polémique sur l'utilisation des téléphones en prison.