SIDERANT

Alors que les accords entre des pays du Golfe et Israël se suivent sous les auspices de l’administration Trump, le chercheur Adlene Mohammedi rappelle qu’ils révèlent davantage la faiblesse des pays arabes qu’une aspiration à la paix.
Le Premier ministre israélien a annoncé que son pays allait procéder à un nouveau confinement national de trois semaines pour lutter contre une seconde vague de Covid-19.
Nommé par un député norvégien au prix Nobel de la paix pour son rôle dans l'établissement des relations entre Israël et les Emirats Arabes Unis, Donald Trump a accueilli la nouvelle avec enthousiasme.
En réponse aux tirs du Hezbollah vers des soldats israéliens, «des hélicoptères de combat et des avions [israéliens] ont frappé des postes du Hezbollah» au Liban, selon Tsahal. Quelques jours auparavant, le Hezbollah avait abattu un drone israélien.
Des responsables politiques étasuniens envisageraient des sanctions contre des responsables liés au Hezbollah, pour que le parti chiite, soutenu par l'Iran, n'ait pas la main sur le futur gouvernement libanais.
L'armée israélienne a revendiqué des frappes, en réponse, selon Tsahal, à une tentative d’acte terroriste à la frontière avec la Syrie. Si ces attaques sont régulières, on note un regain des tensions en juillet.
Nouvelle journée de manifestation à Tel-Aviv contre Benjamin Netanyahou, notamment accusé de corruption. Selon le Times of Israel et Haaretz, cinq manifestants ont été hospitalisés après avoir été agressés par des militants d'extrême-droite.
L'armée israélienne a déclaré avoir déjoué «une tentative d'infiltration d'une cellule terroriste» à la frontière avec le Liban. Le Hezbollah a démenti avoir participé à l'accrochage.
Tsahal a déclaré avoir frappé des cibles militaires syriennes en représailles à des tirs de «munitions» depuis la Syrie vers le plateau du Golan, occupé par Israël depuis 1967. L'agence syrienne Sana a fait état de deux blessés du côté syrien.
Une nouvelle manifestation a eu lieu à Jérusalem le 23 juillet devant la résidence du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, afin de réclamer sa démission pour corruption et mauvaise gestion de la pandémie du Covid-19.
Un avion de combat est passé à proximité d'un avion de ligne iranien dans l'espace aérien syrien, l'obligeant à changer brusquement d'altitude, ce qui a blessé plusieurs passagers. Washington assure que son F-15 volait à distance de sécurité.
Depuis une semaine, les rassemblements contre le maintien de Netanyahou au poste de Premier ministre font rage. «Bibi» se voit reprocher une mauvaise gestion de la crise du Covid-19 et des faits de corruption, qui font l'objet d'un procès.
Lors de la première audience du procès de Benjamin Netanyahou, la présidente du tribunal a fait savoir que les preuves concernant les accusations de fraude, corruption et abus de confiance visant le dirigeant seraient examinées à partir de janvier.
Plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés dans la soirée du 18 juillet à Jérusalem et Tel-Aviv pour dénoncer la corruption et la gestion de la pandémie de Covid-19 et de ses conséquences par le gouvernement israélien.
Des milliers de personnes ont manifesté dans les rues de Jérusalem, le 14 juillet contre le Premier ministre israélien, inculpé pour corruption. Les protestataires ont exigé sa démission.
Le géant américain a procédé à la suppression de la chaîne YouTube appartenant à l'humouriste controversé. Si les associations antiracistes et de la communauté juive se sont réjouies de cette nouvelle, Dieudonné a évoqué des «pressions israéliennes».
Israël a frappé des «usines» de fabrication de munitions et d'armes en représailles à des tirs de roquettes vers l'Etat hébreu depuis l'enclave palestinienne, à l'approche d'une échéance clé sur le projet d'annexion de pans de la Cisjordanie.
Téhéran a condamné à mort un Iranien ayant fourni des informations aux Etats-Unis et à Israël sur les déplacements de Qassem Soleimani. Il avait été tué par une frappe de Washington début janvier à Bagdad, mettant le feu aux poudres dans la région.
L'agence Sana a fait état de plusieurs raids de l'armée israélienne contre une cible militaire en Syrie. Elle a annoncé des «dégâts matériels sans pertes humaines» alors que l'OSDH, ONG controversée, a évoqué la mort de neuf soldats.
L'ambassade de Chine a supprimé une caricature sur Twitter, affirmant être victime d'une «falsification». On y voyait la Mort vêtue aux couleurs du drapeau américain et portant une faux imitant le drapeau d'Israël, frappant à la porte de Hong Kong.