SIDERANT

Pris en étau entre ses deux puissants partenaires, les Etats-Unis et l’Iran, l'Irak cherche à diversifier ses alliances dans la région sur fond de fortes turbulences internes. A quoi ressemble la vie politique en Irak aujourd’hui ?
En dépit de la farouche opposition de l'administration américaine, Téhéran a fait savoir que l'Iran considérait désormais l'embargo sur les armes mis en place par l'ONU comme expiré. «Un grand jour», selon la diplomatie iranienne.
Dans La Grande Interview, Oksana Boyko reçoit Mohammad Javad Zarif, ministre des Affaires étrangères iranien.
Elliott Abrams, déjà émissaire de Washington au Venezuela, vient d'être nommé représentant des Etats-Unis pour l'Iran. Téhéran a réagi avec indifférence à cette nomination, estimant que les émissaires américains étaient tous les mêmes.
L'Iran a fustigé les Etats-Unis après qu'un avion de ligne reliant Téhéran à Beyrouth a été approché par des chasseurs de l'US Air Force au-dessus de la Syrie, semant la panique à bord.
Le ministre iranien a déclaré vouloir poursuivre sa coopération économique avec Damas et ce en dépit de l'entrée en vigueur de la loi César. Il a dénoncé un interventionnisme américain qui engendre selon lui des «ravages sur le peuple syrien».
La mise en garde de Washington contre une attaque iranienne visant les troupes américaines en Irak, ainsi que la réponse du chef de la diplomatie iranienne, traduisent un regain de tensions entre les deux pays, malgré la crise du coronavirus.
Le président et le guide suprême iraniens ont tous deux rejeté les propositions d'aide humanitaire américaine dans la lutte contre le Covid-19 alors que le pays peine à combattre l'épidémie, notamment en raison des sanctions de Washington.
Le chef de la diplomatie iranienne, Javad Zarif, a accusé les Etats-Unis d'«inhumanité» après le renforcement des sanctions visant la République islamique, alors que l'épidémie de coronavirus touche le pays de plein fouet.
L'Iran dit pouvoir affirmer avec certitude que le Boeing ukrainien qui s'est écrasé à Téhéran n'a pas été touché par un missile, répondant ainsi aux accusations du Canada et du Royaume-Uni qui ont pointé la veille la responsabilité de Téhéran.
En riposte à l'assassinat de Qassem Soleimani par l'armée américaine, l'Iran dit avoir pris des «mesures proportionnés» en tirant des roquettes sur deux bases militaires en Irak. La télévision iranienne évoque la mort de «80 terroristes américains».
Après l'intervention américaine en Irak, la situation ne cesse de se tendre entre les Etats-Unis et l'Iran. Donald Trump a menacé la République islamique de représailles violentes en cas de riposte, alors que les cérémonies d’hommage se poursuivent.
Contrairement aux années précédentes, Emmanuel Macron n’a pas adressé ses vœux de Noël aux Français. Rompant avec la tradition, le président de la République a été la cible de nombreuses critiques.
Répondant à une lettre commune des pays de l'E3 adressée à Antonio Guterres, dénonçant de possibles violations par l'Iran d'une résolution de l'ONU, Javad Zarif a mis en lumière un «mensonge désespéré» visant à «se plier à l’intimidation américaine».
Le président américain Donald Trump a suspendu par décret l'autorisation d'entrée aux Etats-Unis de hauts fonctionnaires de l'Iran et du Venezuela ainsi que leurs proches afin d'exercer une pression supplémentaire sur leurs gouvernements respectifs.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif s’exprime au micro d’Oksana Boyko, pour RT.
Suite à l'attaque, revendiquée par les Houthis, contre deux exploitations pétrolières saoudiennes, les Etats-Unis ont accusé l'Iran d'être à la manœuvre. La République islamique a fermement démenti alors que la tension grimpe entre les deux nations.
Le président iranien l'avait annoncé en réaction au retrait américain de l'accord de Vienne et aux sanctions imposées à son pays : Téhéran a mis en route ce 7 septembre des centrifugeuses pour augmenter son stock d'uranium enrichi.
Alors qu'il s'envolait pour une visite au Royaume-Uni, le Premier ministre israélien a appelé à accentuer la «pression» sur l'Iran. A l’approche des législatives du 17 septembre, il a réprouvé l'invitation par la France de dirigeants iraniens au G7.
Venant confirmer des informations du Financial Times, le département d'Etat américain a confié avoir tenté d'offrir plusieurs millions de dollars au capitaine indien de l'Adrian Darya 1 afin de saisir le tanker iranien. En vain.