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Dans la soirée du 15 février, un employé civil étranger a été tué et cinq autres blessés, ainsi qu'un soldat américain, par un tir de roquette sur une base aérienne d'Erbil où sont stationnés des soldats de la coalition menée par les Etats-Unis.
Selon l'analyste politique et chercheur en philosophie politique Bruno Guigue, le jeu trouble des Occidentaux à l'égard de forces djihadistes en Syrie a non seulement contribué à prolonger la guerre, mais pourrait également se retourner contre eux.
Les séparatistes du sud du Yémen ont déclaré l'autonomie de celui-ci, malgré un accord de paix avec le gouvernement. Une annonce qui s'ajoute au long conflit entre les rebelles Houthis du nord et la coalition menée par l'Arabie saoudite.
Le porte-parole la coalition antijihadistes menée par Washington a annoncé le 16 octobre qu’un entrepôt abritant des munitions américaines avait été bombardé dans le nord syrien. Cela afin d’éviter qu’elles ne retombent entre les mains de Daesh.
Une équipe de correspondants de RT a pu visiter la base militaire de Minbej, abandonnée par l'armée américaine quelques heures avant à la suite de la décision de Donald Trump prise le 6 octobre de retirer ses troupes de la partie nord de la Syrie.
Les combats qui ont accompagné la prise d'Aden, dans le sud du Yémen, révèlent des dissonances entres alliés saoudiens et émiratis. Ils semblent vouloir se retirer mais les pions qu'ils ont placés risquent de complexifier encore la crise yéménite.
Failles du renseignement, bombardements aériens imprécis, tirs d'artillerie à l'aveugle : Amnesty a publié un rapport très critique de l'intervention de la coalition internationale à Raqqa, qui aurait fait 1 600 morts civils selon l'ONG.
«Intimidation», «atteinte à la liberté d'informer», de nombreux journalistes et observateurs ont réagi à la convocation par la DGSI de trois journalistes ayant permis les révélations sur l'utilisation d'armes françaises au Yémen.
L'ONG Action on armed violence avait publié début mars des documents de l'armée britannique qui ne reconnaissaient avoir fait qu'une seule victime civile en Syrie depuis 2014. Le ministre de la Défense Mark Lancaster a dû donner des explications.
A la suite de la porte-parole de la Maison Blanche, les Forces démocratiques syriennes ont proclamé l'élimination totale de Daesh en Syrie, après la conquête de l'enclave de Baghouz. Un événement largement relayé par Donald Trump et Emmanuel Macron.
A la manœuvre pour l'ultime offensive contre Daesh à Baghouz en Syrie, les Kurdes syriens craignent d'être lâchés par les Européens et les Américains une fois la guerre terminée. Ils menacent de s'accorder avec Damas pour résister face à la Turquie.
Dans un article, le colonel François-Régis Legrier a livré une analyse assez critique de la conduite des opérations militaires occidentales en Syrie. Irritant jusqu'au cabinet du ministre des Armées, ce texte risque de lui valoir une sanction.
Selon son média de propagande Amaq, le groupe Etat islamique a revendiqué l'attentat suicide qui a visé ce 16 janvier une patrouille de la coalition international à Minbej, dans le nord de la Syrie.
Le président américain a de nouveau annoncé sa volonté de mettre un terme à l'intervention militaire américaine en Syrie. Mais il s'est jusque-là heurté à des résistances au sein de son administration, et en particulier du Pentagone.
Alors qu'un accord entre le gouvernement yéménite soutenu par l'Arabie saoudite et les rebelles Houthis a été conclu le 13 décembre dernier, la coalition militaire conduite par Riyad a annoncé avoir mené un raid sur l'aéroport de Sanaa.
Malgré les menaces américaines, la liste des pays qui s'efforcent de contourner le dollar pour leurs échanges ne cesse de s'allonger. Avec la reconstruction de la Syrie en ligne de mire, Damas a convenu avec Moscou d'utiliser des devises nationales.
La coalition arabo-occidentale dirigée par les Etats-Unis a affirmé avoir frappé un chef de Daesh impliqué dans la décapitation d'un militaire américain en 2014. D'après des médias syriens, les frappes ont touché des positions de l'armée syrienne.
L’ONG appelle des volontaires à étudier les images satellites de la guerre à Raqqa menée par la coalition américaine en octobre 2017 pour analyser la destruction de la ville. Leur but : aider les familles de victimes à demander réparation.
Malgré les appels internationaux à cesser les combats au Yémen, les affrontements se poursuivent et la coalition sous commandement saoudien poursuit ses bombardements, qui ont fait 53 morts parmi les combattants houthis depuis le 3 novembre.
Véronique de Viguerie, photo - reporter , explique pourquoi la guerre au Yémen est cachée dans « Répondez, les Français Veulent Savoir ! »