SIDERANT

Le Cachemire, région située dans le nord de l’Inde, a connu une attaque sanglante sur une base militaire près du Pakistan. Au moins 17 soldats indiens ont péri dans la fusillade. Quatre assaillants, soi-disant Pakistanais, ont été abattus.
Connu des services de renseignements, un jeune homme de 25 ans en contact avec des djihadistes français en Syrie voulait s'en prendre à la base militaire de Toulon lorsqu'il a été arrêté par la police, le 29 octobre dernier. Il a depuis été écroué.
L'officier-stagiaire, âgé d'une quarantaine d'années, qui avait envoyé la photo de la tête décapitée de Hervé Cornara, à des camarades de promotion a été condamnée à trois mois de prison avec sursis pour violation du secret professionnel.
Un policier a reconnu être à l'origine de la diffusion d'une photo de la tête de la victime décapitée dans l'attentat de l'usine Air Products de Saint-Quentin-Fallavier (Isère), d'après le parquet de Vienne.
Selon le journal marocain arabophone Al Ahdate Al Maghribia, «les services marocains avaient averti leurs homologues français de la dangerosité du terroriste algérien Yassine Salhi, à l’origine de la décapitation de son patron».
Selon le Procureur de la République, l'attentat commis par Yassin Salhi correspond très exactement aux mots d'ordre de Daesh. François Molins souligne notamment la mise en scène de décapitation et l'envoi de photos pour une éventuelle revendication.
Le suspect principal de l’attentat a avoué avoir décapité son chef et eu pour objectif de faire exploser l’usine Air Products, selon l’AFP qui cite des sources proches de l'enquête. Yassin Salhi aurait également fourni d’autres preuves.
Selon une source proche du dossier, reprise par l’AFP, Yassin Salhi, suspect principal dans l'attentat de Saint-Quentin Fallavier en Isère, a pris une photo avec la tête de sa victime et l'a envoyée via Whatsapp, un système de messagerie instantanée.
Au lendemain de l'attentat de Saint-Quentin-Fallavier, un nouveau conseil restreint, présidé par François Hollande, se tient à l’Élisée.
La chose la plus probable c’est que l’attentat en Isère a été organisé par un groupe terroriste, influencé par Daesh, mais qui n’avait pas de lien direct avec eux, a estimé l’économiste Jacques Sapir dans une interview accordée à RT.
René Naba, directeur éditorial du site madaniya.info et spécialiste des questions arabo-musulmanes, fait le bilan des trois attentats djihadistes du 26 juin 2015 en France, au Koweït et en Tunisie.