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La diplomatie syrienne a vigoureusement dénoncé le rapport de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques sur l'utilisation de substances toxiques à Latamné en 2017. Elle accuse l'OIAC de prendre ses informations chez les terroristes.
La Défense russe assure avoir pris connaissance de la préparation, dans la province d'Idleb, d'une opération qui viserait à mettre en scène des crimes attribués à Damas et à l'armée russe. Moscou assure que les Casques blancs y participeraient.
Bachar el-Assad a déclaré dans un entretien, le 14 novembre, que certains services secrets étrangers, principalement la CIA, seraient derrière la mort de James Le Mesurier, principal soutien et formateur des Casques blancs.
Le corps sans vie de James Le Mesurier, cofondateur des controversés Casques blancs, a été retrouvé sans vie au pied de l’immeuble dans lequel il résidait à Istanbul. Une enquête est en cours pour expliquer les circonstances de sa mort.
Si des troupes américaines quittent le pays, l'influence de Washington en Syrie n'appartient pas encore au passé. Le président américain a validé une aide financière aux Casques blancs, controversés et accusés d'être proches des groupes djihadistes.
La Russie a réfuté les affirmations du New York Times selon lesquelles les avions russes aurait visé des hôpitaux civils en Syrie. Moscou accuse le journal d'avoir été victime de manipulations des «terroristes» et du renseignement britannique.
Alors que la version occidentale sur l’attaque chimique présumée à Douma est de plus en plus remise en cause, le chef de la diplomatie russe a réitéré la position constante de Moscou : celle d’une «mise en scène» organisée par les Casques blancs.
Selon la Défense russe, l'organisme controversé des Casques blancs a tourné au moins neuf vidéos, impliquant des enfants, visant à accuser Damas d'avoir mené une attaque au chlore contre des civils à Idleb.
Les controversés Casques blancs et les rebelles syriens soi-disant «modérés» ne recevront plus de financements de la part du gouvernement néerlandais. En cause notamment, la perspective d'une victoire de Bachar el-Assad en Syrie.
Des chaînes YouTube liées à l'Etat syrien ont été fermées, pour des motifs «juridiques» et de «conditions d'utilisation». Dans les jours précédents, l'Occident avait exprimé ses craintes quant à l'utilisation d'armes chimiques de la part de Damas.
Soutenu par la Russie, Damas a expliqué son intention de libérer la ville d'Idleb, encore aux mains de groupes rebelles. Mais, si une intervention des forces gouvernementales se dessine, les djihadistes empêcheraient des Syriens de se rendre.
Dans un contexte de tensions croissantes entre d'une part les Occidentaux et d'autre part la Russie et la Syrie, le ministre russe des Affaires étrangères a mis en garde contre une instrumentalisation des groupes armés opposés à Damas.
Une mise en scène d'attaque chimique à Idlib est-elle en cours de préparation chez les djihadistes ? Selon le ministre Walid al-Mouallem, la sulfureuse organisation des Casques blancs aurait kidnappé des enfants pour la réalisation de celle-ci.
Selon la Défense russe, des djihadistes, aidés par les Britanniques, prépareraient une attaque chimique en Syrie, qui pourrait déboucher sur une nouvelle intervention militaire. Quelques jours plus tôt, les Occidentaux avaient mis en garde Damas.
La fin de la guerre approche en Syrie et une grande partie du territoire a été libéré par l’armée syrienne. Plus de 25 000 réfugiés ont déjà pu rentrer chez eux et des centaines d’autres sont arrivés au poste-frontière de Jdeidet Yabous.
Alors que des membres de l'organisation controversée ont été exfiltrés de Syrie, le spécialiste de la politique arabe de la Russie Adlene Mohammedi, revient sur la phase diplomatique qui devrait achever cette guerre et sur la position de Moscou.
Après l'évacuation de Syrie de quelques centaines de Casques blancs, demandée par les Etats-Unis et des pays occidentaux, le ministère russe des Affaires étrangères a pointé une opération révélant l'hypocrisie d'une organisation «pseudo-humanitaire».
Paris a annoncé le 23 juillet qu'elle accueillerait un certain nombre de Casques blancs, une organisation controversée se présentant comme humanitaire, dont plusieurs centaines de membres ont été récemment exfiltrés de Syrie en Jordanie.
Exfiltrés de Syrie en Jordanie, des centaines de Casques blancs, organisation soupçonnée de liens avec des groupes terroristes, devraient être transférés vers des pays occidentaux. Supervisée par l'ONU, l'opération aurait été réclamée par Washington.
Après avoir annoncé le gel des aides financières aux controversés Casques blancs syriens le mois dernier, la Maison Blanche a finalement décidé de débloquer les 6,6 millions de dollars prévus, réaffirmant son soutien à l'organisation.