EN IMAGES

La mairie de Metz (Moselle) a annoncé le dépôt d'une plainte après la dégradation dans la nuit de la statue du général de Gaulle, installée l'année dernière devant la gare. Le maire a dénoncé un «outrage à l’homme de la France Libre».
Dans La Grande Interview, Jean-Marc Sylvestre reçoit Henri Guaino, essayiste et ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, sur le thème : «A quoi sert le gaullisme aujourd'hui ?».
Le 9 novembre 1970, le général de Gaulle s'éteignait à l'âge de 79 ans. Les commémorations des 50 ans de sa mort se sont déroulées sobrement en raison du coronavirus, entre cérémonies intimistes et hommages sur les réseaux sociaux.
Dans ce nouvel épisode de La Source, Alain Juillet analyse la question de l’avenir de la défense européenne face à l’OTAN en crise.
Francis Choisel, historien, et Arnaud Benedetti, rédacteur en chef de la Revue politique et parlementaire, étaient invités à revenir sur les commémorations du 80e anniversaire de l’Appel du 18 juin réalisé par le général de Gaulle.
Y a-t-il «une part de gaullisme» chez Emmanuel Macron ? A cette question qui lui est posée sur RTL, Valéry Giscard d'Estaing répond par la négative, invoquant le rapport à la fonction présidentielle de l'actuel locataire de l'Elysée.
Si le parti Les Républicains est souvent considéré comme issu de la filiation du gaullisme, qu'en est-il réellement ? Certains de ses cadres invoquent toujours le général pour justifier leurs positions. Mais de Gaulle n'est-il pas galvaudé ?
Entre les souverainistes, les républicains de gauche, les gaullistes, les patriotes ou ceux qui se décrivent comme nationaux, les eurocritiques se divisent en une multitude de formations. Cette désunion est-elle simplement due à une querelle d'ego ?
Face à ceux qui veulent, pour faire face à la crise que travers la France, une transformation des institutions, Henri Guaino rappelle la valeur de la Constitution de la Ve République et le danger du court-termisme.
Le ministre russe des Affaires étrangères a déploré les pressions exercées par l'UE, notamment sur la Serbie, afin de réduire les options politiques de certains Etats à une opposition entre Moscou et Bruxelles.
La dernière sortie d'Emmanuel Maceron a fait réagir la toile. En visite à Colombey-les-Deux-Eglises, le président qui échangeait avec un groupe de retraités, a déclaré que le pays «se tiendrait autrement» si on arrêtait de «se plaindre».
En visite à Colombey-les-Deux-Eglises, Emmanuel Macron s'est livré à un échange à bâtons rompus avec un groupe de retraités, assurant que le pays «se tiendrait autrement» si, suivant les conseils du général de Gaulle, on arrêtait de «se plaindre».
Pour commémorer l'anniversaire de la Ve République, le président se rend le 4 octobre sur la tombe de Charles de Gaulle. Un acte gaullien qui interpelle les gaullistes. Pour eux, l'héritage du Général chez Emmanuel Macron est pour le moins limité.
Après le renvoi de la libérale Virgine Calmels de la vice-présidence du parti en juin, le grand parti de la droite a vu s'animer ses différentes chapelles. Toutefois, au sein des Républicains, on assure que la guerre des chefs est finie. Vraiment ?
Le gaulliste Denis Tillinac livre pour RT France une critique incisive de Mai 68 et de ses leaders, qu'il définit comme «des générations de jouisseurs égoïstes». L'écrivain constate d'ailleurs que «Mai 68 a désintégré toute la société».
Après Valérie Pécresse, Daniel Fasquelle ou Christian Estrosi, c'est au tour de Julien Aubert de créer un énième courant au sein des Républicains. Tous veulent peser sur la prochaine élection à la présidence... et sur Laurent Wauquiez, le favori.
Après que l'Obs et Le Point ont publié des articles particulièrement élogieux à l'égard du président français, pour sa réponse à Donald Trump sur l'accord de Paris, un certain nombre d'internautes ont dénoncé un manque de déontologie journalistique.
Un homme et une femme ont été placées en garde à vue le 30 mai dans l'enquête ouverte après la dégradation volontaire de la tombe du général de Gaulle le 27 mai à Colombey-les-deux-Eglises (Haute-Marne), a-t-on appris de source judiciaire.
Deux suspects étaient recherchés le 28 mai, au lendemain de la vandalisation de la tombe du général de Gaulle à Colombey-les-deux-Eglises, un acte a priori sans motivation politique qui a suscité émotion et indignation.
La volonté de «faire taire la droite» dans cette élection présidentielle risque, a contrario, de mobiliser son électorat qui n’a pas l'intention de se faire voler son candidat ni son élection, estime l'essayiste Ivan Rioufol.