SIDERANT

Alors que Catherine Colonna avait assuré qu’Emmanuel Macron avait été invité par le roi Mohammed VI, une source gouvernementale marocaine a déclaré le 16 septembre qu’une visite du président français n'était «pas à l'ordre du jour».
Des organisations de gauche ont appelé au Maroc à la mobilisation contre le coût de la vie. Entre 1200 et 3000 personne ont défilé en scandant des slogans hostiles au gouvernement dirigé par l'homme d'affaires Aziz Akhannouch.
Evoquant la vague migratoire sans précédent qui s'abat sur l'enclave espagnole de Ceuta depuis le 17 mai, l'avocate Hanan Hmad a estimé sur RT France que le Maroc avait ouvert les vannes pour faire pression sur Madrid et l'UE.
Le pape François et le roi Mohammed VI ont appelé à «préserver» Jérusalem comme «patrimoine commun des trois religions monothéistes», dans une déclaration commune signée à l'occasion de la visite du souverain pontife au Maroc.
Le chef de la diplomatie russe poursuit sa tournée du Maghreb par une visite au Maroc, où il rencontre son homologue Nasser Bourita. Les deux dirigeants devraient discuter du renforcement du partenariat stratégique qui lie les deux pays.
Le soutien saoudien à la candidature nord-américaine pour l’organisation du Mondial 2026 a été vécu comme une trahison par l’opinion publique marocaine. Le temps de la colère passé, Rabat a enclenché des premières ripostes symboliques contre Riyad.
Le maire de Rabat a annoncé son intention de mobiliser des bus exclusivement réservés aux femmes pour lutter contre le harcèlement sexuel. Cette décision, qui fait polémique, intervient alors que plusieurs affaires de viol ont secoué le pays.
Dimitri Medvedev se rend en Algérie et au Maroc avec l'intention de développer des partenariats commerciaux avec les deux poids lourds du Maghreb. Le Premier ministre russe devrait également aborder l'épineuse question du Sahara occidental.
Le président français Emmanuel Macron a assuré que le roi du Maroc Mohammed VI était préoccupé par la situation dans le Rif, région du nord du royaume en proie depuis des mois à un mouvement de contestation populaire.
Des milliers des personnes se sont réunies dans le centre de Rabat pour manifester contre la politique du gouvernement marocain. Ils réclament la libération d'une centaine d’activistes, militants et soutiens du mouvement populaire Hirak.
Les unités antiterroristes marocaines ont réalisé un vaste coup de filet permettant le démantèlement d'une cellule terroriste dans le nord du pays et l'arrestation de quatre personnes suspectées d'être en lien avec l'organisation Daesh.
Des djihadistes présumés ont été emprisonnés au Maroc. Leur arrestation le 27 janvier lors d'une opération antiterroriste a permis le démantèlement d'une cellule de l'Etat islamique ainsi que la découverte d'un arsenal de guerre.
Le Maroc menace l’Europe d'une «reprise des flux migratoires» si l'UE ne respecte pas l'accord agricole. Le politologue Mustapha Tossa avertit que cela peut aller loin, le Maroc ne souhaitant pas céder aux pressions des «agitateurs de Bruxelles».
Plusieurs centaines de manifestants mercredi 9 novembre en brûlant des drapeaux israéliens en en scandant «Mort à l'Amérique, mort à Israël!» devant le parlement marocain, en guise de protestation contre la présence du drapeau israélien à la COP22.
Près d'un millier de personnes ont manifesté dimanche à Rabat pour protester contre l'arbitraire et exiger justice pour un vendeur de poisson écrasé par une benne à ordure, dont la mort la semaine dernière avait choqué le pays.
La police belge a découvert que de nombreux jeunes marocains avaient payé plusieurs milliers d'euros pour obtenir de faux papiers d'identité au consulat général d'Espagne dans la capitale marocaine, afin de pouvoir pénétrer dans l'espace Schengen.
A la veille des élections américaines, le Maroc s’est permis de répondre d’une façon « virulente » à la critique américaine des droits de l’Homme au royaume. Le politologue et journaliste Mustapha Tossa explique.
Lors d'une rencontre à Bahreïn, l'Arabie saoudite et le Maroc et Rabat ont signé une convention d'investissement de 200 millions d'euros, malgré la demande adressée à Riyadh par Alger de ne pas investir dans le Sahara occidental.