Si l'ancienne secrétaire d'Etat et grand électeur américain, Hillary Clinton, s'est dite en faveur de «l'abolition du collège électoral», y préférant le «vote populaire», elle a néanmoins apporté sa voix avec «fierté» à Joe Biden.
Dans la la course présidentielle américaine Joe Biden et Donald Trump se livrent une bataille sans merci. Les deux candidats ont des visions diamètralement opposées du positionnement des Etats-Unis sur l’échiquier mondial.
Le 25 juillet 2010, Wikileaks entamait la diffusion de dizaines de milliers de câbles sur la guerre en Afghanistan. Retour sur l'histoire de l'«agence» fondée par Assange, qui risque 175 ans de prison en cas d'extradition vers les Etats-Unis.
«J'aimerais que vous soyez président en ce moment», a déclaré Hillary Clinton à l'égard du candidat démocrate Joe Biden, officialisant ainsi son soutien. Néanmoins, ce dernier est accusé d'agression sexuelle à 6 mois de l'élection présidentielle.
Avec 46 % des voix, selon des résultats partiels, Bernie Sanders est arrivé en tête de la primaire démocrate dans le Nevada. Il s'impose ainsi comme le favori pour défier Donald Trump, avant le Super Tuesday du 3 mars, où 14 Etats iront voter.
Mis en cause par les démocrates à propos d'un entretien téléphonique avec le président ukrainien, Donald Trump s'est fermement défendu, demandant à ce que «quelqu'un se penche sur Joe Biden», dont le fils était visé par une enquête en Ukraine.
Les relations internationales ne tiennent parfois qu'à un fil. Elles sont ainsi fortement dépendantes de la qualité des traductions des déclarations des dirigeants du monde. Certaines erreurs en la matière ont eu de lourdes conséquences. Florilège.
Avec la mort de Jeffrey Epstein, l'enquête se dirige vers les complices présumés du milliardaire. En premier lieu desquels Ghislaine Maxwell, une Britannique bien intégrée à la haute société, soupçonnée d'avoir procuré des filles mineures au réseau.
Les mésaventures de Jeffrey Epstein dans sa cellule ont réveillé sur Twitter une théorie conspirationniste sur les décès suspects des proches du clan Clinton. Les internautes démocrates se sont empressés d'accuser la Russie de l'alimenter.
Accusations d'ingérence, diplomatie américaine et crise ukrainienne : le réalisateur américain Oliver Stone a une nouvelle fois interviewé Vladimir Poutine dans le cadre d'un nouveau documentaire, baptisé «L'Ukraine révélée».
Ami des puissants, Jeffrey Epstein va-t-il livrer des informations sur son réseau en échange de la clémence de la justice ? C'est la question que se pose le tout Washington. Certains, à l'image de Bill Clinton, mettent déjà en place leur défense.
Hillary Clinton, qui avait été très contrariée par les révélations de WikiLeaks la concernant durant la présidentielle de 2016, s'est montrée satisfaite de l'arrestation de Julian Assange, considérant que celui-ci devait répondre de ses actes.
Le procureur spécial Robert Mueller n'est pas parvenu, après deux ans d'une enquête fleuve, à démontrer un lien entre Donald Trump et la Russie. Pour autant, en France, cette thèse a été largement relayée par la presse... et l'exécutif.
La candidate malheureuse à l'élection présidentielle américaine de 2016, qui soufflera ses 73 bougies peu avant la prochaine élection de 2020, a annoncé, après avoir longtemps entretenu le mystère, qu'elle ne serait pas candidate.
Sacha Baron Cohen a choisi de ne pas diffuser une interview faite pour sa série Who Is America? dans laquelle un concierge, qui assure travailler pour des politiciens et des milliardaires, accepterait d'organiser un rendez-vous avec un jeune garçon.
L'ancien espion britannique Christopher Steele a reconnu devant un tribunal londonien qu'il avait été engagé par le parti démocrate pour monter un dossier sur une collusion entre Trump et Moscou, et ainsi contester le résultat de l'élection de 2016.
Combattre le feu par le feu : pour enrayer la dynamique des mouvements «populistes de droite» en Europe et aux Etats-Unis, Hillary Clinton suggère d'adopter les politiques que ces derniers proposent en matière d'immigration.
La candidate démocrate à la présidentielle américaine de 2016, Hillary Clinton, s'est amusée ce 29 octobre du fait qu'une présentatrice a confondu deux personnalités noires. «Ils se ressemblent tous !», s'est-elle alors esclaffée.
Six colis suspects ont été envoyés à des personnalités démocrates, sans qu'aucune victime ne soit à déplorer. L'enquête suit son cours, mais à l'approche des élections de mi-mandat, les démocrates accusent déjà Donald Trump.
Dans l'Etat de New York, les services secrets analysent un colis suspect trouvé près de la résidence de Bill et Hillary Clinton, candidate malheureuse à la dernière élection présidentielle. Le bureau de Barack Obama a également été visé.