BRAS DE FER

Dans le dernier épisode de la saga des Twitter files, on apprend comment les équipes du réseau social ont dû composer avec une campagne démocrate visant à attribuer à la Russie une ingérence dans la politique intérieure américaine en 2018.
Le procès de l'avocat de la campagne Clinton s'ouvre aux Etats-Unis. Il n'avait pas révélé au FBI qui était son employeur lorsqu'il a mis l'organisation sur la piste des accusations – infondées – de collusion entre Donald Trump et une banque russe.
La candidate malheureuse à l'élection présidentielle américaine de 2016 craint que les monnaies virtuelles ne sapent «le rôle du dollar en tant que monnaie de réserve» et puissent «déstabiliser les nations».
En Irlande du Nord, des manifestants anti-guerre sont venus accueillir Hillary Clinton à l'université Queen's, dont l'ancienne secrétaire d'Etat américaine a été faite présidente d'honneur.
Ed Buck, ex-mannequin et homme d'affaires donateur du parti démocrate, a été jugé responsable de la mort de deux «escort-boys» afro-américains par overdose, après leur avoir fourni de la méthamphétamine dans le cadre d'une pratique sexuelle.
Luc Compain, de Politique magazine, rappelle que lors de l'élection de Donald Trump en 2016, des voix de gauche s'étaient élevées pour rejeter la légitimité de celui-ci à exercer la fonction suprême, voire pour questionner la validité du scrutin.
Dans un podcast, la candidate défaite à l'élection de 2016 Hillary Clinton fait part de ses doutes quant à l'influence de... Poutine dans les incidents du Capitole. Nancy Pelosi se prononce pour sa part en faveur d'une commission sur le sujet.
Si l'ancienne secrétaire d'Etat et grand électeur américain, Hillary Clinton, s'est dite en faveur de «l'abolition du collège électoral», y préférant le «vote populaire», elle a néanmoins apporté sa voix avec «fierté» à Joe Biden.
Dans la la course présidentielle américaine Joe Biden et Donald Trump se livrent une bataille sans merci. Les deux candidats ont des visions diamètralement opposées du positionnement des Etats-Unis sur l’échiquier mondial.
Le 25 juillet 2010, Wikileaks entamait la diffusion de dizaines de milliers de câbles sur la guerre en Afghanistan. Retour sur l'histoire de l'«agence» fondée par Assange, qui risque 175 ans de prison en cas d'extradition vers les Etats-Unis.
«J'aimerais que vous soyez président en ce moment», a déclaré Hillary Clinton à l'égard du candidat démocrate Joe Biden, officialisant ainsi son soutien. Néanmoins, ce dernier est accusé d'agression sexuelle à 6 mois de l'élection présidentielle.
Avec 46 % des voix, selon des résultats partiels, Bernie Sanders est arrivé en tête de la primaire démocrate dans le Nevada. Il s'impose ainsi comme le favori pour défier Donald Trump, avant le Super Tuesday du 3 mars, où 14 Etats iront voter.
Mis en cause par les démocrates à propos d'un entretien téléphonique avec le président ukrainien, Donald Trump s'est fermement défendu, demandant à ce que «quelqu'un se penche sur Joe Biden», dont le fils était visé par une enquête en Ukraine.
Les relations internationales ne tiennent parfois qu'à un fil. Elles sont ainsi fortement dépendantes de la qualité des traductions des déclarations des dirigeants du monde. Certaines erreurs en la matière ont eu de lourdes conséquences. Florilège.
Avec la mort de Jeffrey Epstein, l'enquête se dirige vers les complices présumés du milliardaire. En premier lieu desquels Ghislaine Maxwell, une Britannique bien intégrée à la haute société, soupçonnée d'avoir procuré des filles mineures au réseau.
Les mésaventures de Jeffrey Epstein dans sa cellule ont réveillé sur Twitter une théorie conspirationniste sur les décès suspects des proches du clan Clinton. Les internautes démocrates se sont empressés d'accuser la Russie de l'alimenter.
Accusations d'ingérence, diplomatie américaine et crise ukrainienne : le réalisateur américain Oliver Stone a une nouvelle fois interviewé Vladimir Poutine dans le cadre d'un nouveau documentaire, baptisé «L'Ukraine révélée».
Ami des puissants, Jeffrey Epstein va-t-il livrer des informations sur son réseau en échange de la clémence de la justice ? C'est la question que se pose le tout Washington. Certains, à l'image de Bill Clinton, mettent déjà en place leur défense.
Hillary Clinton, qui avait été très contrariée par les révélations de WikiLeaks la concernant durant la présidentielle de 2016, s'est montrée satisfaite de l'arrestation de Julian Assange, considérant que celui-ci devait répondre de ses actes.
Le procureur spécial Robert Mueller n'est pas parvenu, après deux ans d'une enquête fleuve, à démontrer un lien entre Donald Trump et la Russie. Pour autant, en France, cette thèse a été largement relayée par la presse... et l'exécutif.