BRAS DE FER

Les propos de plusieurs commentateurs établissant une distinction entre les Ukrainiens partageant la culture européenne et les précédentes vagues de réfugiés ont déclenché de vives réactions, certains y voyant l'expression d'un racisme décomplexé.
Favorable à la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal, l'éditorialiste a proposé que l'on demande «à ceux qui ont les noms des non-vaccinés [...] de donner ces fichiers à des brigades, à des agents [...] qui vont aller frapper à la porte».
Connu pour ses propos anti-Gilets jaunes ou pour son opposition à la cinquième semaine de congés, l'éditorialiste est revenu à la charge. Sur BFM TV, il estime que les réformes du gouvernements ne sont pas efficaces.
L’éditorialiste Jean-Michel Aphatie a annoncé vouloir porter plainte contre La France insoumise suite à la publication, le 1er avril, d’une vidéo satirique dans laquelle il est parodié.
LFI fait le pari de l’emprunt populaire pour financer sa campagne pour les élections européennes. Pour promouvoir son projet, le parti a choisi de parodier des éditorialistes supposés hostiles à leurs idées.
«La responsabilité des Gilets jaunes est énorme» : l'éditorialiste de BFM TV est catégorique, la destruction des radars – qu'il impute notamment aux Gilets jaunes – est l'un des principaux facteurs de la hausse de la mortalité routière.
Christophe Barbier s'est félicité de l'attitude d'Emmanuel Macron après la victoire française. Mais nombre d'internautes ont pointé du doigt l'hyper-enthousiasme affiché par le président pour les prouesses des Bleus.
Evoquant la contestation sociale liée à la hausse de la CSG, un député LREM a récemment qualifié les retraités de «génération dorée». Ce n’est pas la première pique que le parti présidentiel lance à certaines catégories de la population.
Journaliste en vue, le patron de L'Express ne recule devant aucun défi. Après son rap, il s'est livré à une démonstration physique impromptue en tentant de faire le poirier, ce qui lui a valu d'être gentiment taclé par le ministre de l'Intérieur.
L'année 2018 commence en fanfare pour Christophe Barbier : le 2 janvier, au micro de RMC, le journaliste/éditorialiste/chanteur «MC Barbier» a entonné sur un air de hip-hop son texte sur Emmanuel Macron. Une séquence forte en émotions.
Parfois critiqué pour son zèle pro-Macron, l'éditorialiste Christophe Barbier met une nouvelle fois sa plume au service (ou au détriment, c'est selon) du rap. Pour la deuxième fois, il fait une dédicace au président de la République. Avec succès ?
Après le malaise qu'a provoqué Christophe Barbier sur la toile avec son rap parodique adressé à Emmanuel Macron, l'éditorialiste de L'Express persiste et signe, décrivant un texte «formidable».
Si éditorialiste est un métier, rappeur en est un autre, à en juger par les réactions suscitées sur Twitter par le petit rap de Christophe Barbier dédié à Emmanuel Macron.
Il ne va sans doute pas se faire que des amis. Le patron du magazine l'Express, Christophe Barbier, s'est livré à un audacieux plaidoyer pour la réduction du nombre de semaines de vacances et la diminution des RTT des salariés français.
En Marche! ayant interdit l'accès de son QG à RT et Sputnik, la question de la connivence entre politiques et journalistes est de nouveau à l'ordre du jour. Le journaliste Denis Jeambar s’y penche, à la frontière entre journalisme et communication.
Les propos de l'éditorialiste expliquant que son métier consistait à «affirmer ses certitudes par essence improuvables» et à être «comme un tuteur sur lequel le peuple, comme du lierre rampant, peut s'élever» ne sont pas passés inaperçus sur Twitter.
Tandis que la popularité du candidat de la droite a pâti des accusations d’emplois fictifs qui visent son entourage, le journaliste à l’écharpe rouge a son idée sur le scénario peu conventionnel qui permettrait de le voir remonter dans les sondages.
Alors que les sondages donnent Emmanuel Macron comme l'un des favoris de l'élection présidentielle, des internautes s'interrogent sur les éventuelles connivences entre le candidat et certains médias, notamment ceux sous contrôle du groupe Altice.
En affirmant qu'une égalisation forcée et soudaine des salaires des hommes et des femmes n'était pas un projet réaliste, le journaliste de L'Express s'est attiré les foudres de nombreux internautes – et de Cécile Duflot, qui n'a pas mâché ses mots.
A l'occasion des 20 ans de la mort de François Mitterrand, Christophe Barbier, directeur de l'Express et auteur d'une biographie sur les derniers jours de l'ancien président, revient sur l'héritage politique et sur les zones d'ombre de ce dernier.