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Contrairement à la communication gouvernementale, le rachat des turbines d'Alstom s'avèrerait deux fois plus cher que le prix de vente en 2015 à l’américain General Electric. De nombreux politiques ont twitté avec le hashtag #ScandaleMacron.
Emmanuel Macron a annoncé ce 10 février la construction de six à 14 réacteurs pour 2050, le rachat de turbines auparavant vendues à l'américain General electric et l'essor de l'éolien marin. Un nouveau cap qui a fait réagir vivement l'opposition.
L'ancien haut responsable d'Alstom Frédéric Pierucci a consacré un livre à l'arsenal juridique développé par Washington au service d'une guerre économique qui n'épargne pas ses alliés sur la scène internationale. L'ouvrage vient de paraître en russe.
Le PDG de General Electric est assuré d'empocher un bonus de 47 millions de dollars, et ce malgré la santé précaire du groupe américain qui s'est traduite par la suppression de 13 000 postes, notamment sur son site français de Belfort.
Au terme de la réunion d'un comité de groupe européen de l'entité General Electric Renewable Energy, le géant américain doit annoncer son plan social qui menace 764 emplois en France dont 89 sur le site de Belfort.
Des sources citées par les agences évoquent la possibilité d’une prochaine interdiction de livrer des réacteurs destinés à l’avionneur chinois Comac. Une arme à double tranchant qui pourrait pénaliser Boeing au lieu de le protéger de la concurrence
De nombreuses actions se sont déroulées ce 19 octobre dans toute la France. Aux quatre coins du pays, Gilets jaunes, pompiers, employés de General Electric ou encore personnel SNCF se sont ainsi mobilisés.
Le maire de Belfort a annoncé un recours contre l’Etat pour son incapacité à faire respecter l’accord de rachat de l’activité énergie d’Alstom par General Electric en 2014. Le ministre de l’Economie a reçu direction et syndicats.
Deux syndicats attaquent l’Etat français pour son «incapacité» à faire respecter l’accord de rachat de la branche énergie d’Alstom par l’Américain General Electric. Des élus de droite et de gauche se déclarent prêts à «s’associer à la plainte».
Un lanceur d’alerte affirme que General Electric a dissimulé dans ses comptes 38 milliards de dollars de pertes. Le groupe dément, mais, colossalement endetté, il poursuit ses réductions d’effectifs en France et dans le monde.
Une association de lutte contre la corruption a déposé une plainte relative aux circonstances de la vente de l’activité énergie d’Alstom au géant industriel américain GE. Elle souhaite que comparaisse l’ancien président du groupe.
L'intersyndicale de General Electric (GE) met en demeure le gouvernement de faire respecter par l'industriel américain ses engagements pris lors du rachat du pôle énergie d'Alstom en 2014 et d'exiger la suspension de son plan social.
Le parquet de Paris, saisi par le député LR Olivier Marleix pour enquêter sur les circonstances de la vente du pôle énergie d'Alstom à l'américain General Electric en 2014, a transmis la procédure au Parquet national financier.
Après avoir lui-même largement contribué au rachat de la branche énergie d'Alstom par General Electric, Emmanuel Macron a accordé la légion d'honneur à l'ex-directrice de l'antenne France du groupe américain. Un choix dénoncé par la CGT.
Dans La Grande Interview, Nadège Abderazzak reçoit Frédéric Pierucci, ancien directeur d’une filiale d’Alstom et auteur du «Piège américain».
Accusé de corruption par la justice américaine, Frédéric Pierucci, ancien dirigeant de filiale chez Alstom, a passé 25 mois en prison aux Etats-Unis, alors que General Electric rachetait le fleuron français. Il s'est confié à Thinkerview à ce sujet.
Venant confirmer des informations de L'Obs, Delphine Batho a annoncé saisir le procureur de Paris au sujet d'une possible prise illégale d'intérêts de la part du DG de General Electric France, Hugh Bailey, ancien conseiller de Macron à Bercy.
L'ancien ministre de l'Economie qui, à Bercy en 2014, s’était opposé au rachat de la branche énergie d'Alstom par General Electric (GE), a appelé le gouvernement à «annuler» cette vente et dit connaître des investisseurs intéressés.
Pour l'acte 32 de leur mobilisation, les Gilets jaunes ont choisi de revenir à leur stratégie originelle : les blocages paralysant l'économie et les actions ciblées. La démarche parviendra-t-elle à donner un nouveau souffle au mouvement ?
Avant la manifestation de soutien aux salariés de General Electric de Belfort, le service d'ordre de l'intersyndicale a empêché des élus du RN de participer à un point presse, où étaient représentés LFI, LR et le PS. La police est intervenue.