SIDERANT

Alors que les soutiens de Julian Assange multiplient les mobilisations à l'occasion de son 50e anniversaire, des députés britanniques, italiens, allemands et australiens, ont demandé, avec force, la libération du journaliste emprisonné à Londres.
Tenant de la ligne gauche du Labour party, Jeremy Corbyn a été sanctionné à la suite d'un rapport remettant en cause son bilan en matière de lutte contre l'antisémitisme au sein du parti. Il fait l'objet, depuis des mois, d'une campagne en ce sens.
Le centriste et pro-UE Keir Starmer a été élu à la tête du Parti travailliste britannique, succédant au plus radical Jeremy Corbyn, avec pour défi de relancer la principale formation d'opposition, affaiblie et divisée.
Jeremy Corbyn a demandé au Premier ministre britannique de refuser l'extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis. S'il n'a pas voulu se prononcer sur ce cas, Boris Johnson n'a toutefois pas fermé la porte à cette éventualité.
Le Conseil représentatif des institutions juives de France a riposté aux attaques de Jean-Luc Mélenchon, qui avait évoqué les «ukases arrogantes des communautaristes du CRIF» dans un de ses textes.
Le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon s'en est pris au Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) sur son blog, en commentant la défaite historique du travailliste Jeremy Corbyn aux élections britanniques.
Boris Johnson vient de remporter les élections générales anticipées du 12 décembre, avec une très large majorité, lui permettant de réaliser le Brexit dès le 31 janvier. De son côté, le Labour a essuyé sa plus lourde défaite depuis 1935.
Selon un sondage à la sortie des urnes, les Conservateurs seraient très largement en tête des élections législatives. Boris Johnson obtiendrait 368 sièges, soit bien plus que les 326 nécessaires pour obtenir une majorité à la chambre des Communes.
Les scénarios-catastrophes promis par les opposants au Brexit ne sont pas advenus : du marché de l’emploi à la croissance, les voyants restent au vert. Analyse de Charles-Henri Gallois, responsable national de l’UPR pour l’Économie.
Brexit pour l'un, négociation pour l'autre, Boris Johnson et Jeremy Corbyn sont les deux visages opposés du Royaume-Uni, à l'orée des élections législatives anticipées. Les deux leaders partagent toutefois le fait d'afficher une image controversée.
Apprenant que le terroriste de Londres avait déjà été condamné pour terrorisme, tous les regards se sont tournés vers Boris Johnson. Le Premier ministre a assuré vouloir revoir les conditions d'attribution des aménagements de peine.
L'opposition travailliste a accusé les conservateurs de mener des «négociations secrètes» avec les Etats-Unis pour «vendre» à des compagnies américaines le système de santé britannique gratuit – des accusations aussitôt vigoureusement démenties.
Lâché par l'armée et la police, faisant face à une opposition qui conteste sa réélection et multiplie les troubles, Evo Morales a présenté sa démission. Nombre de figures de la gauche latino-européenne et européenne ont dénoncé un«coup d'Etat».
L'incertitude demeure autour des élections générales anticipées voulues par Boris Johnson. Ce dernier a besoin d'une majorité absolue au Parlement pour concrétiser le Brexit, et Nigel Farage s'est immiscé dans la course.
Le chef de la diplomatie française a écarté un nouveau report du Brexit dans «l'état actuel des choses» alors que Boris Johnson pourrait être contraint par le Parlement britannique à demander un nouveau délais à l'UE. Ce que lui-même refuse.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson a essuyé un revers au Parlement, avec l'adoption d'une motion permettant de se saisir de l'agenda parlementaire, qui doit déboucher sur une tentative d'obtenir un report du Brexit.
Alors que le Brexit approche, Jeremy Corbyn lance une stratégie afin de pousser Boris Johnson à la démission et ainsi prendre la tête du gouvernement pour éviter un Brexit sans accord. Mais la partie est loin d'être gagnée.
Quatre soldats britanniques en Afghanistan ont été filmés tirant sur un portrait du leader travailliste Jeremy Corbyn. Le ministère de la Défense, dénonçant une conduite inacceptable, a ouvert une enquête.
Dans le sillage des accusations d'antisémitisme qui visent depuis 2018 le parti travailliste et son leader, Jeremy Corbyn, la police britannique a arrêté trois personnes dans le courant du mois de mars. Ils ont quitté le parti.
Le chef du Parti travailliste Jeremy Corbyn veut éviter un «Brexit conservateur préjudiciable», et se dit favorable à la tenue d'un nouveau référendum, dans le cas où les parlementaires refusent l'idée d'union douanière avec l'UE.