SIDERANT

Après le buzz provoqué par les images d'une fête spontanée survenue au parc des Buttes-Chaumont dans la capitale, le député parisien Mounir Mahjoubi a jugé ce comportement «irresponsable».
Dans une note publiée ce 21 novembre, l'ancien secrétaire d'Etat au numérique Mounir Mahjoubi se montre très critique envers Amazon. Il estime que l'entreprise américaine fait perdre plus d'emplois aux commerces de proximités qu'elle n'en crée.
Marcheur de la première heure, ancien candidat à la mairie de Paris et ancien secrétaire d'Etat au Numérique, Mounir Mahjoubi annonce qu'après avoir retiré sa candidature au profit de celle de Cédric Villani, il soutient finalement Benjamin Griveaux.
Après le tollé provoqué par les déclarations de Benjamin Griveaux sur ses opposants à la mairie de Paris, son entourage a présenté des excuses regrettant la publication d'une conversation privée. La lutte pour conquérir la capitale s'annonce âpre.
En marge du défilé du 14 Juillet, l'inventeur de l'engin volant baptisé Flyboard Air s'est livré à une démonstration place de la Concorde. L'aeronef, repéré par le ministre des Armées, a bénéficié d'une subvention de 1,3 million d'euros.
L'ancien secrétaire d'Etat au Numérique annonce qu'il abandonne la course et rallie le candidat Cédric Villani en raison de leurs convergences d'opinion sur «l'écoprogressisme, le seul projet qui peut [leur] permettre de battre Anne Hidalgo.»
Rétropédalage. Cédric O, secrétaire d'Etat au numérique, est revenu sur ses propos annonçant à demi-mot une éventuelle création d'un conseil de l'ordre des journalistes. Une déclaration qui avait provoqué le courroux de la profession.
La République en Marche arrive en tête des intentions de vote aux municipales à Paris, avec 1 à 4 points d'avance sur une liste conduite par Anne Hidalgo. Edouard Philippe est le plus cité pour diriger la ville, selon un sondage BVA.
Quatre des cinq concurrents de Benjamin Griveaux pour l'investiture LREM aux municipales à Paris réclament des «consultations citoyennes» pour orienter la commission nationale d'investiture. Une fronde qui divise le parti macroniste.
Dernière ligne droite pour déterminer qui sera le héraut de La République en marche dans la course aux municipales à Paris en 2020 : au début du mois de juillet la commission d'investiture rendra son verdict. Ceci n'est pas une élection primaire.
Benjamin Griveaux s’oppose à l’organisation d’une primaire pour désigner le candidat de la majorité présidentielle pour les municipales à Paris. Pour ce candidat déclaré à l’Hôtel de ville, elle risque en effet de casser la «dynamique de victoire».
L'effondrement des votes LR et l'essor des écologistes ont créé la surprise lors des européennes. Une nouvelle donne politique qui rebat les cartes pour les futures municipales, notamment à Paris, où le camp présidentiel est pour l'instant fragmenté.
LREM s'est réuni le 9 mai au Panthéon afin de rendre hommage à Simone Veil. L'évènement a peiné à rassembler malgré la présence de têtes d'affiche du parti et du fils de Simone Veil, par ailleurs candidat sur la liste de Nathalie Loiseau.
Jusque-là conseillère en communication d'Emmanuel Macron, présente dès la campagne présidentielle, Sibeth Ndiaye a été nommée porte-parole du gouvernement. Deux autres personnalités font leur entrée : Amélie de Montchalin et Cédric O.
L'Elysée a annoncé que le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, le secrétaire d'Etat chargé du Numérique Mounir Mahjoubi et la ministre chargée des Affaires européennes Nathalie Loiseau, quittaient le gouvernement.
Avec en ligne de mire les élections municipales de 2020 à Paris, Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement français, pourrait présenter sa démission, selon plusieurs médias. L'information n'a pas été confirmée officiellement.
Le secrétaire d’Etat au Numérique aurait déboursé la somme de 1 000 euros pour être testé dans les sondages face à son potentiel rival, Benjamin Griveaux, dans le cadre de sa candidature à l'investiture LREM aux municipales, à Paris, en 2020.
Bientôt, les propos haineux pourront être retirés d'internet et des réseaux sociaux sous 24h grâce à un bouton unique de signalement. C'est en tout cas ce que suggère la proposition de loi portée par la députée la République en marche, Laetitia Avia.
Emmanuel Macron semble prendre le problème des contenus haineux sur internet à bras le corps, en annonçant un projet de loi. Il souhaite que les internautes condamnés pour propos racistes ou antisémites soient bannis des réseaux sociaux.
Les macronistes tentent-ils de récupérer le jeune public de Cyril Hanouna ? Le 13 février, l'animateur était à l'Assemblée nationale, siégeant en tribune aux côtés des secrétaires d'Etat Mounir Mahjoubi, Marlène Schiappa et Christelle Dubos.