SIDERANT

Plusieurs titres de presse rapportent que l'Elysée a embauché le communicant Frédéric Michel. Ce dernier a collaboré avec un think tank du parti travailliste proche de Tony Blair puis avec un fils du milliardaire australo-américain Rupert Murdoch.
Des courriels révélés par Le Monde suggèrent qu'un contrat de 100 000 euros a été attribué au communicant Pierre-Jérôme Hénin à l'encontre des règles des marchés publics. En connaissance de cause.
Tout le monde n'apprécie pas le second degré utilisé par la jeunesse macroniste quand elle déclare sa flamme au président de la République dans une affiche de campagne. L'infographie en question a notamment retenu l'attention au sein du camp Zemmour.
Alors que le magazine LGBT Têtu avait décidé de faire sa couverture avec le chanteur Bilal Hassani, la société qui gère les publicités dans les gares RATP et SNCF, a refusé d'afficher la couverture au motif que celle-ci serait trop «confessionnelle».
Le Service d'information du gouvernement a dépensé 28 millions d'euros en 2020, le double du budget initialement prévu pour la communication des ministères. Pour 2021, l'enveloppe prévue a déjà été intégralement utilisée au 1er octobre.
Une campagne de communication européenne vantant la «liberté dans» le voile islamique a suscité une forte polémique. En réaction, le Conseil de l'Europe, à l'origine de la campagne, a décidé de fermer le fil de discussion Twitter qui lui est associé.
Emmanuel Macron a souhaité une bonne rentrée à tous les Français. Avec le sourire, il en a profité pour saluer McFly et Carlito. Dans la même vidéo, le président a rendu hommage à Samuel Paty, assassiné par un islamiste. Un grand écart déplacé ?
Une enquête de L'Obs a révélé que les dépenses du gouvernement en matière d'enquêtes d'opinion avaient doublé depuis 2017. L'exécutif a également passé des contrats mirobolants avec des entreprises de communication et de veille sur les réseaux.
Le gendarme russe des télécommunications a menacé Google d'une amende et d'un ralentissement de son trafic dans le pays s'il ne supprimait pas les contenus illégaux que son moteur de recherche recense. Twitter a déjà subi mi-mars ce type de sanction.
Emmanuel Macron et son Premier ministre Jean Castex ont pris un très médiatique café en terrasse non loin de l'Elysée pour illustrer, selon les mots du chef de l'Etat, «un petit moment de liberté retrouvée» avec la réouverture des terrasses.
Le Service d'information du gouvernement aurait prévu une opération de communication dans laquelle la vaccination de célébrités de plus de 55 ans serait diffusée à la télévision. Jean Castex aurait personnellement évoqué la chanteuse Sheila.
Le chef de l'Etat hébreu donne de sa personne dans le cadre de la campagne de vaccination contre le Covid-19, considérée comme la plus efficace au monde. L'occasion pour Benjamin Netanyahou de redorer son blason avant les élections législatives ?
A grand renfort de contrats, Riyad tenterait de redorer son blason en France. Selon Mediapart, une conseillère de Jean Castex aurait notamment pris part à ce type d'opérations de communication, dont une source de RT France confirme l'existence.
Accusant le couple présidentiel d'utiliser la presse people dans un but «politique», l'activiste demande à l'association Anticor de déposer plainte contre X. Il accuse en particulier Michèle Marchand, figure de la presse people.
Le gouvernement britannique a confirmé l’interdiction de tout nouvel achat d’équipements du géant chinois après le 31 décembre 2020. Une décision qui accentue les tensions entre Pékin et Londres.
L'ancienne porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, vivement critiquée, n'a pas été reconduite dans le nouveau gouvernement Castex. Quelques-unes de ses bourdes ont été largement commentées lors de sa collaboration au sein de l'exécutif.
Un projet de loi a été soumis à la Douma d'Etat pour lever le blocage de la messagerie Telegram interdite actuellement en Russie. Les auteurs du texte précisent que le service est largement utilisé par des organes gouvernementaux et administratifs
L'allocution d'Emmanuel Macron sur l'après-coronavirus a fait réagir l'ensemble de la classe politique française. Du Parti communiste au Rassemblement national, les critiques visent aussi bien la forme que le fond du discours présidentiel.
Des ex-hauts responsables brésiliens pilonnent dans une tribune la «diplomatie idéologisée» et la «perte d'indépendance» de leur pays sous Bolsonaro. Ils lui reprochent notamment de s'aligner sur Washington et de froisser ses partenaires européens.
Si le confinement est terminé, l'épidémie continue, et la crise aussi. Retour sur la communication du pouvoir français durant les deux derniers mois avec Stéphane Rozès, politologue et essayiste.