BRAS DE FER

Le chef d'un des groupes armés les plus influents de l'ouest de la Libye, dont l'arrestation par un groupe rival le 14 août avait déclenché de violents combats ayant fait 55 morts, a été relâché dans la nuit du 17 août, selon une source militaire.
Des sources médicales ont indiqué ce 16 août que les combats violents qui avaient opposé la veille deux influents groupes armés dans la banlieue de la capitale libyenne avaient fait au moins 55 morts et plus de 100 blessés.
Les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique ont constaté que plusieurs tonnes d'uranium n'étaient plus présentes sur un site qui n'avait pas pu être contrôlé en temps voulu en raison de la situation sécuritaire en Libye.
Le gouvernement de Fathi Bachagha désigné par le Parlement et soutenu par le maréchal Khalifa Haftar a annoncé le 17 mai qu'il se retirait de la capitale, où siège un pouvoir exécutif rival, après des affrontements déclenchés par son arrivée.
Au quatrième jour d'émeutes contre la façon dont est gérée la pandémie de coronavirus dans un Liban en pleine crise sociale, lors de nouveaux affrontements, des manifestants ont tenté de pénétrer par la force dans les foyers de certains politiciens.
Dévastée par des années de guerre civile, la Libye a aujourd’hui une chance de renaître de ses cendres. Un processus de paix démarre enfin, mais il est lent. Quelles sont ses chances d’aboutir ?
Bienvenue dans la poursuite du nouveau format de l'Echiquier mondial qui présente dans cet épisode une bataille entre deux puissantes figures du monde musulman. Chacun aspire au rôle de leader régional, mais jusqu’où pourrait aller la confrontation ?
Dans cet épisode de La Source, Alain Juillet se penche sur la Turquie et la stratégie géopolitique de son président, Recep Tayyip Erdogan.
Les combattants du GNA ont annoncé avoir repris le contrôle de l'aéroport de Tripoli, inutilisé depuis 2014. Cette nouvelle constitue le plus gros revers pour les troupes du maréchal Haftar depuis le début de leur offensive en avril 2019.
Le général commandant les forces américaines en Afrique, Stephen Townsend, a accusé le 26 mai la Russie d'étendre «son empreinte militaire en Afrique en utilisant des groupes de mercenaires». «Une autre histoire d'horreur américaine», selon Moscou.
Des centaines de personnes ont manifesté au Liban malgré la pandémie et un couvre-feu, marquant dans la ville de Tripoli, les six mois d'un soulèvement inédit lancé contre la classe politique et des conditions économiques qui n'ont fait qu'empirer.
Au moment où la pandémie du coronavirus se propage à travers le monde, certains pays vont devoir gérer cette crise sanitaire dans des situations déjà compliquées. De fait, le CoviD-19 pourrait frapper des zones déjà ravagées par la guerre. Exemples.
Dans la foulée d'une initiative diplomatique russo-turque, un sommet était organisé ce 19 janvier à Berlin sur la crise libyenne. Selon le secrétaire général de l'ONU, les puissances étrangères se sont engagées à renoncer à toute «interférence».
Dans une tribune, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a longuement interpellé les pays de l'Union européenne, les mettant en garde contre la résurgence d'organisations terroristes en Libye si le gouvernement d'al-Sarraj n'était pas soutenu.
Les deux chefs libyens étaient présents à Moscou pour négocier un accord formel de cessez-le-feu. Si le maréchal Haftar a quitté la capitale russe sans signer l'accord, la Russie a fait savoir qu'elle poursuivrait ses efforts en vue d'une trêve.
Les pays limitrophes de la Libye sont sur le qui-vive : une éventuelle intervention militaire turque dans ce pays, déjà miné par une guerre fratricide, fait craindre une détérioration de la situation sécuritaire en Afrique du Nord et au Sahel.
Le président français et son homologue égyptien ont prévenu des risques d'une escalade militaire en Libye. En janvier, Erdogan va soumettre son Parlement au vote afin d'envoyer des troupes pour soutenir le gouvernement de Fayez el-Sarraj.
Le chef du gouvernement de Tripoli accuse la France de soutenir en sous-main le général Haftar dans la guerre civile libyenne. Le dialogue entre les deux leaders libyens est au point mort.
La Turquie d’Erdogan s'efforce de gagner plus de poids sur la scène internationale tout en faisant face à la résurgence de l’opposition sur le plan intérieur. Quels sont les enjeux d’Ankara sur l’échiquier mondial ?
Après des exhortations répétées de l'ONU en Libye, les forces pro-Haftar ont accepté la trêve demandée à l'occasion de la célébration de la fête sacrée de l'Aïd al-Adha. Le gouvernement d'union nationale a lui aussi accepté la trêve, sous conditions.