BRAS DE FER

Ancien capitaine de l'armée syrienne devenu porte-parole du groupe terroriste Jaych al-Islam, Majdi Nema, alias Islam Allouche, est entré en France en toute légalité pour y démarrer une nouvelle vie d'universitaire spécialiste du Moyen-Orient.
Après la suspension du compte de l’ambassade russe en Syrie par Twitter, le ministère des Affaires étrangères a appelé le réseau social à le «débloquer». Cet événement pourrait coïncider avec des critiques de la Russie contre l'ONG Casques blancs.
Un journaliste de la BBC soutient que les images de l'hôpital de Douma filmées après une attaque chimique présumée en avril dernier, et reprises en boucle par les médias du monde entier, n'étaient qu'une «mise en scène» organisée par Jaïch al-Islam.
Des Gilets jaunes ont dénoncé le 1er décembre l’usage abusif de bombes lacrymogènes par les forces de l’ordre face aux manifestants à Paris. L'expression utilisée par certains d’entre eux pour exprimer leur colère a révolté Bernard-Henri Levy.
Crise en Syrie, crise migratoire, défense, attitude à l'égard de la Russie... A l'occasion de son discours de politique étrangère devant les ambassadeurs réunis à Paris, le chef de l'Etat a tenté de clarifier les enjeux de la diplomatie française.
Invité de RT France le 14 août, l'analyste politique Bruno Guigue a livré son analyse de la situation actuelle en Syrie évoquant les perspectives d'une fin de conflit, le retour des réfugiés et la reconstruction du pays après sept ans de guerre.
Des sculpteurs ont réalisé des bas-reliefs sur les murs des souterrains découverts dans la ville libérée de Jobar, dans la Ghouta orientale. Les tunnels servent maintenant de lieux d’exposition de scènes de batailles de la guerre civile en Syrie.
A la faveur d’une opération humanitaire lancée conjointement par Paris et Moscou dans la nuit du 20 au 21 juillet, une importante cargaison de matériel médical et de biens de première nécessité a été acheminée vers la Ghouta orientale ce 26 juillet.
La France et la Russie ont lancé dans la nuit du 20 au 21 juillet une opération humanitaire conjointe vers la Syrie, à destination d'une enclave rebelle reprise par Damas en avril. Une première dans le conflit qui ravage le pays depuis 2011.
La réforme, portée par Londres, de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques, qui se voit attribuer la possibilité de désigner un Etat comme responsable d'une attaque chimique, pourrait selon Moscou avoir des effets pervers.
Londres veut donner pouvoir à l'OIAC de désigner les responsables d'attaques chimiques avec en ligne de mire l'affaire Skripal et la Syrie. La Russie s'inquiète d'un dévoiement de l'organisation, qui menacerait les fondements de l'ONU.
A La Haye, lors d'une conférence de presse organisée par la mission russe de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques, Moscou a présenté des témoins syriens de l'attaque chimique présumée de Douma, prétexte à des frappes occidentales.
Les images d'un enfant préférant rester auprès de son père mort dans des frappes de la coalition saoudienne au Yémen pourraient devenir le symbole d'un peuple martyr. Pourtant, médiatiquement, tous les enfants victimes de la guerre ne sont pas égaux.
Si l'Occident assure avoir basé son intervention en Syrie sur des «preuves» de l'emploi d'armes chimiques par Damas, les témoignages récoltés par les journalistes sur le terrain se multiplient. Et ils ne vont pas tous dans le sens de ces accusations.
Les experts de l'OIAC ont effectué des prélèvements à Douma qu'ils analyseront afin de vérifier si les allégations d'une attaque chimique, suite auxquelles Washington, Paris et Londres ont frappé Damas, ont des bases réelles.
La présidence de la Syrie a annoncé avoir rendu la légion d'honneur attribuée par la France en 2001 au président Bachar al-Assad par l'ancien président Jacques Chirac. La Syrie a fustigé l'action militaire de la France sur son territoire.
Pour Bruno Guigue, les frappes de Washington, Paris et Londres sur la Syrie sont une «pluie de pétards mouillés». Dénonçant un Occident «en mal d'hégémonie», l'analyste estime que cette manœuvre ne changera rien : les ennemis de Damas ont perdu.
Le reporter de The Independent Robert Fisk s'est rendu dans la Ghouta, où il a interrogé un médecin de Douma. Selon lui, les scènes de suffocation après l'attaque chimique présumée seraient dues à un manque d'oxygène, et pas à l'usage de gaz.
La scène se passe dans un camp de réfugiés en Syrie, où selon CNN vivent des «survivants» de la présumée attaque chimique de Douma. Une journaliste de la chaîne américaine, reniflant un sac d'enfant, croit y déceler quelque trace d'arme chimique...
En conférence de presse, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a fait un point après les frappes occidentales. D'après lui, Emmanuel Macron s'est refusé à donner les éléments dont il disposerait sur l'attaque du 7 avril à Douma.