ANALYSE

Le secrétaire d'Etat à la ruralité fraîchement nommé est-il complotiste ? Des propos tenus il y a plusieurs années au sujet de théories concernant de prétendus épandages chimiques illégaux ont refait surface.
Le réseau social va mettre en place une série de mesures visant à empêcher la diffusion de tout «contenu lié à QAnon», le mouvement dont les partisans estiment que Donald Trump défend les Etats-Unis contre un vaste complot criminel.
Le président russe a déclaré qu'il n'y avait aucune raison de penser que la pandémie du Covid-19 avait été déclenchée intentionnellement et averti qu'une telle version n'augurait «rien de bon».
Le président américain a ratifié un décret visant à lever l'immunité contre toute poursuite judiciaire dont bénéficient les réseaux sociaux sur les contenus publiés par des tiers si ces derniers cessent de se comporter en simple hébergeur.
Tandis que l'enquête sur la diffusion d'images à caractère sexuel attribuées à Benjamin Griveaux suit son cours, la porte-parole du gouvernement juge que l'artiste et opposant russe qui a revendiqué cet acte, «a sans doute été aidé».
Consacrée au «côté obscur» de penseurs français du XVIIIe siècle, une chronique vidéo de la version française d'AJ+ a provoqué une vague d'indignation, entre autres à cause d'un contresens sur des écrits de Montesquieu.
Les mésaventures de Jeffrey Epstein dans sa cellule ont réveillé sur Twitter une théorie conspirationniste sur les décès suspects des proches du clan Clinton. Les internautes démocrates se sont empressés d'accuser la Russie de l'alimenter.
Certains éditorialistes ont vu rouge après le rappel à l'ordre de la France par l'ONU concernant les violences contre les Gilets jaunes. Et ils n'ont pas hésité à dégainer un argumentaire flirtant parfois avec le complotisme...
A l'occasion de la sortie d'une étude sur le complotisme, Hadrien Mathoux, journaliste de Marianne, évoque les ressorts de cette pensée et les raisons de son développement. Selon lui, les délires ne sont pas légitimes, mais certains doutes le sont.
Selon une récente enquête menée par la Fondation Jean Jaurès et l'observatoire Conspiracy Watch, les électeurs d'Emmanuel Macron seraient les moins enclins au complotisme. Mais le choix des théories du complot proposées était-il vraiment pertinent ?
Lors d'une interview sur BFMTV, la dirigeante du Rassemblement national a épinglé Emmanuel Macron pour ses récentes théories sur le mouvement des Gilets jaunes. Le président de la République avait évoqué une possible ingérence étrangère.
Bruxelles a sommé les géants de l'internet de redoubler d'efforts dans leur lutte contre les fake news. Dans le même temps, l'ONG Avaaz a exhorté Facebook à agir, à quatre mois d'élections européennes qui s'annoncent difficiles... pour l'UE.
Un groupe de hacker qui affirme avoir piraté des compagnies d'assurances impliquées dans le règlement financier de l'attaque du 11 septembre 2001 veut vendre les documents récupérés contre des Bitcoin, promettant de «fournir des réponses».
Le député Insoumis François Ruffin a rendu hommage à Etienne Chouard, dont le travail pour que le référendum d’initiative citoyenne s'invite dans le débat public a été selon lui essentiel. Un message source de divisions dans son parti.
Le chroniqueur politique aux multiples ronds de serviette a pointé du doigt ceux qui tireraient les «ficelles», selon lui, des Gilets jaunes. Tentant de débusquer des complots, le journaliste a été accusé de lui même verser dans le conspirationnisme.
Le Gilet jaune Maxime Nicolle juge que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour tenter de répondre aux attentes du mouvement ne sont que «des petites miettes». Il répond aux accusations de «complotisme» dont il a fait l'objet.
L'apparition de «théories du complot» chez les Gilets jaunes après l'attaque de Strasbourg a attiré l'attention de nombreux médias. Le conspirationnisme n'est pourtant pas un phénomène nouveau. Que révèle cet engouement soudain des journalistes ?
Après avoir ardemment soutenu le projet de loi contre la «manipulation de l'information», des élus et responsables de la majorité présidentielle ont récemment été épinglés pour avoir participé à la diffusion de fausses informations.
Un danger pour l'individu autant que pour la société ? La journaliste et écrivain Nadia Le Brun revient sur le politiquement correct qui a envahi le discours politique et médiatique, rendant impossible tout débat de fond et toute réflexion.
Apple, Facebook, Youtube ou Spotify ont banni le fondateur d'InfoWars, site controversé de la droite alternative. Podcasts supprimés, comptes suspendus : l'activité en ligne d'Alex Jones ne correspond plus aux règlements des communautés concernées.