Politiquement correct
SIDERANT

Twitter a publié une étude selon laquelle les contenus de droite sur sa plateforme bénéficient, dans certains pays dont la France, d'une meilleure amplification algorithmique que ceux de gauche. La firme californienne ne se l'explique pas.
Une nouvelle photo datant de 2001 et montrant le Premier ministre canadien, chantre du politiquement correct, déguisé en noir a été publiée sur Twitter par des opposants la veille d'élections législatives.
Une attraction rénovée d'un parc Disney de Californie montre le célèbre baiser du prince qui réveille Blanche-Neige, endormie par la sorcière. Une scène problématique pour certains, en raison de l'absence de consentement de l'héroïne.
Une école de commerce a mis fin à sa collaboration avec un enseignant dont une conversation téléphonique évoquant les étudiants «blacks» a été enregistrée lors d'un cours à distance.
L'animateur Laurent Bignolas s'est essayé au jeu de mot lors de la présentation d'une chorégraphie basée uniquement sur les mouvements des bras. L'artiste n'a pas apprécié, se demandant si la blague ne masquait pas un racisme sous-jacent.
Suite aux pressions venues de l'opinion publique et des annonceurs, les Redskins ont annoncé vouloir changer de nom ainsi que de logo, décision saluée par les militants associatifs mais décrite par Trump comme un chantage au «politiquement correct».
Icône du cinéma américain, feu John Wayne semble aujourd'hui en disgrâce. Suite à une campagne menée par des militants antiracistes, l'une des plus grandes écoles de cinéma d'outre-Atlantique va supprimer une exposition permanente dédiée à l'acteur.
Le quotidien américain New York Times propose d'interdire une exposition consacrée au peintre français Paul Gauguin. En cause, la pédophilie de l'artiste, qui a épousé des tahitiennes mineures, ainsi que son prétendu racisme.
Voulant peut-être jouer la carte de l'incorrection politique sur les réseaux sociaux, le président de l'association des Amis du Palais de Tokyo a commis le commentaire de trop et, malgré des excuses, va être remplacé.
Gabriel Robin, rédacteur en chef de l'Incorrect, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !».
Après avoir prononcé un discours devant le Parlement pour défendre la réforme de la justice de son pays, critiquée par Bruxelles, le vice-président de la Chambre des députés Florin Iordache a conclu son intervention par un double doigt d'honneur.
La présentatrice Maïtena Biraben, qui a fait part de son indignation après avoir croisé une fillette de 8 ans voilée dans les rues de Belleville, a suscité des réactions pour le moins contrastées, entre critiques virulentes et messages de soutien.
Dans un entretien accordé à un journal musical en ligne ce 17 avril, Morrissey, l'ex-chanteur du groupe britannique The Smiths dresse un portrait au vitriol de Londres et du rapport qu'entretiennent les Britanniques avec la délinquance des minorités.
«Le politiquement correct devient fou» : c'est le diagnostic d'une «grid girl» après la décision du nouveau propriétaire de la F1 d'abandonner la tradition des hôtesses. Elles se sont mobilisées, pointant notamment du doigt les féministes.
Le 29 janvier, l'eurodéputée Nadine Morano a qualifié sur Twitter France Inter de «radio de gauche avec des "pas humoristes" militants», en répondant à une tribune de l'avocat Gilles-William Goldnadel.
Viré de son émission sur France 2 pour avoir fait une blague sexiste, l'animateur Tex a trouvé des soutiens parmi les humoristes. Lafesse, Roumanoff ou encore Guillon dénoncent une montée du politiquement correct qu'ils apparentent à de la censure.
Maître Grimaud, de passage au micro de RMC, a appelé à la création d'un hashtag #BalanceTonPédo et a estimé que les pédophiles «pullulent par «centaines» dans les écoles et «dans les milieux politiques et médiatiques».
Monseigneur Ravel dresse un parallèle entre la promotion de l'avortement et la fécondité des croyants musulmans, afin de mettre en garde la communauté chrétienne contre le «grand remplacement».
Le CSA est intervenu auprès de TF1 à cause d'une formule utilisée par le présentateur Jean-Pierre Pernaut pour parler des migrants dans un de ses JT. Il aurait employé une formule pouvant «encourager un comportement discriminatoire» selon le Conseil.
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