DGSI
Selon une note du renseignement territorial que RT France a pu consulter concernant les tensions au collège Bois-d'Aulne, rédigée avant l'assassinat de l'enseignant, les agents avaient jugé la situation «apaisée» au 12 octobre.
Notamment inculpés pour «livraison d'information à une puissance étrangère» et «atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation», deux ex-agents de la DGSE, soupçonnés de trahison au profit de la Chine, encourent quinze ans de prison.
Alors que la menace terroriste a muté au fil des années, la culture du renseignement policier est-elle encore adaptée ? Si des attentats sont déjoués, la disparition de la police de proximité au profit d'une culture du chiffre pourrait être en cause.
Dans ce nouvel épisode, Alain Juillet nous parle d’espionnage industriel et revient sur les solutions que la France doit mettre en œuvre pour s’en protéger.
Noam Anouar, délégué VIGI Police, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !».
Ce 5 février, le président de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur l’affaire Harpon, Eric Ciotti, a notamment pointé «une accumulation de signes» avant l'attaque, le 3 octobre dernier, contre la préfecture de police de Paris.
Sept hommes soupçonnés de préparer une attaque terroriste ont été interpellés dans le Finistère, notamment à Brest. Ils sont issus de la mouvance islamiste, et certains d'entre eux fichés S (pour Sûreté de l'Etat), selon Europe 1.
Selon le JDD, un document secret-défense liste 150 quartiers français «tenus» par les islamistes. Parmi eux, des zones de banlieues comme de petites villes. Le gouvernement doit dévoiler son plan de lutte contre l'islamisme avant les municipales.
Frédéric Taddeï reçoit Alain Juillet, ancien directeur du renseignement à la DGSE et Juan Branco, avocat.
Un ancien militaire et indicateur de la DGSI a été mis en examen dans l'enquête sur les attaques de Trèbes et Carcassonne. Soupçonné d'avoir fourni l'arme au terroriste, il assure au contraire avoir alerté sur la radicalisation de Radouane Lakdim.
Dans un entretien à Reuters, le directeur de la DGSI Nicolas Lerner explique que le renouvellement du contrat avec Palantir n'est destiné qu'à pallier l'absence de technologie nationale, et écarte toute inquiétude quant à une fuite de données.
Le coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme estime que la France fait face à «un degré de violence et une rapidité de montée vers la haine» jamais vus auparavant. Selon lui, le djihadisme n'est pas seul en cause.
Mickaël Harpon, l'assaillant islamiste radicalisé de la préfecture de police qui a tué quatre personnes le 3 octobre aurait eu en sa possession des données sur des dizaines de collègues et des vidéos de propagande de Daesh sur la même clé USB.
Alors que le parquet antiterroriste s'est saisi de l'enquête sur la tuerie à la préfecture de police, les premières informations sur l'assaillant se font jour : habilité secret-défense, il disposait notamment des adresses de chaque fonctionnaire.
Un Français a été interpellé sur le territoire national en juin par la DGSI (services de renseignements intérieurs) et inculpé pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Il projetait de réaliser des attaques contre des musulmans.
Yves Bonnet, ancien patron de la DST, a fait de nouvelles révélations à la justice sur l'attentat de la rue des Rosiers. D'après lui, le renseignement a passé avec les terroristes un accord visant à éviter de nouvelles attaques sur le sol français.
Secret des sources, attitude à adopter en garde à vue : face à la multiplication des convocations de journalistes par la DGSI, l'Association de la presse judiciaire et le SNJ ont publié un «guide de défense» à leur attention.
Une journaliste de Quotidien a été convoquée en février par la DGSI alors qu'elle enquêtait sur des ventes d’armes françaises. Le magazine Télérama a cherché à comprendre pourquoi l'émission de Yann Barthès n'avait toujours pas diffusé le sujet.
SI Emmanuel Macron a affirmé le 24 mai que le gouvernement n'était «pour rien» dans la convocation de journalistes par la DGSI enquêtant sur l'affaire Benalla, le doute plane sur les journalistes convoqués pour l'affaire des armes au Yémen.
Une nouvelle vague de journalistes ont été convoqués par la DGSI pour des révélations sur l'utilisation d'armes françaises au Yémen et sur l'affaire Benalla. Le camp présidentiel n'y voit aucune entrave à la liberté de la presse.
DGSI