Publiant une lettre adressée à ses homologues européens ainsi qu'aux instances exécutives européennes, le chef du gouvernement italien s'est félicité des réponses de la France et de Malte, qui s'engagent à accueillir chacun 50 migrants.
L'accord trouvé entre la CDU et la CSU sur le renvoi des migrants enregistrés dans un autre Etat européen a été validé par le troisième parti de la coalition, le SPD, offrant un peu d'air à la chancelière allemande Angela Merkel.
Angela Merkel s'est offert un peu de répit en passant avec son ministre de l'Intérieur un accord pour interdire aux migrants enregistrés dans un autre Etat européen de rester en Allemagne. Mais elle devra composer avec ses partenaires européens.
Pour le Premier ministre hongrois, la démocratie libérale a échoué et n'est plus à même de garantir les racines chrétiennes de son pays. Fort de son plébiscite électoral, il défend ses positions anti-immigration et envisage une Europe des nations.
Alternant subventions et quotas, Pékin développe à marche forcée l’industrie du véhicule électrique ou hybride en Chine. Le pays domine depuis l'année dernière la production mondiale, ainsi que celle, stratégique, des batteries électriques.
Marlène Schiappa, la secrétaire d'Etat chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes, a déclaré dans une interview que la parité ne venait pas naturellement et que, par conséquent, elle se prononçait en faveur de quotas... «partout».
Varsovie, Budapest et Prague refusent de se conformer aux accords établissant l'accueil par les membres de l'UE de quotas de migrants. La Commission vient de décider de renvoyer ces trois pays devant la Cour de justice de l'Union européenne.
La cour de justice européenne a rejeté les recours déposés par la Slovaquie et la Hongrie concernant la politique européenne de relocalisation des migrants par quotas dans les différents pays de l'Union.
Prague refuse d’accueillir les 1 600 réfugiés définis par le quota de l’Union européenne et s'attend même à être visée par des sanctions de l’UE, a révélé le ministre tchèque de l’Intérieur.
Devant l'intransigeance de la Hongrie et la Pologne, qui refusent d'accepter leurs quotas de migrants, l'UE serait décidée à élever la voix, selon le Times. Le bloc voudrait mettre en place des sanctions financières et politiques.
Certains clients d'une marque de vêtements qui a proposé à un bodybuildeur noir de faire sa promotion ont violemment réagi sur internet : la société a décidé de leur proposer un remboursement en échange d'un aveu explicite de leur racisme.
Les réfugiés qui se trouvent en Grèce n'ont pas envie d'y rester. Des incidents éclatent. La situation va s’aggraver, à moins que l’UE n'accepte les réfugiés comme elle l'avait promis, estime l’ancien diplomate grec Leonidas Chrysanthopoulos.
Malgré les efforts de Bruxelles pour reloger et répartir sur plusieurs pays les réfugiés arrivés sur les côtes européennes, les conditions d'accueil et de gestion de ces milliers de migrants restent à ce jour lamentables.
Les dirigeants de quatre pays européens ont critiqué Berlin qui insiste sur l'instauration de quotas de migrants, alors que la chancelière allemande s’est rendue en Pologne, ferme opposante à la stratégie allemande de prise en charge des réfugiés.
Le ministre algérien des Affaires étrangères a accusé le 12 mai l'ambassadeur de France de «discrimination» après ses propos polémistes relayés par la presse, mais démentis par l'ambassade. Un véritable imbroglio diplomatique.
Le gouvernement hongrois a lancé sa campagne du «non» au référendum sur les quotas de réfugiés dans l'UE avec un site internet évoquant les terroristes «déguisés» en migrants, et indiquant qu'il arrive en Europe «un migrant toutes les 12 secondes».
Si le Premier ministre Robert Fico, nationaliste de gauche et anti-immigration, a remporté le scrutin, la poussée de nombreuses formations de droite surfant elles aussi sur la crise migratoire rend difficile la formation d'un nouveau gouvernement.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a qualifié les promesses financières de l’UE en échange de l’aide de la Turquie visant à empêcher plus de migrants de quitter ses côtes pour l’Europe d’«illusion», et de politique de «soumission».
Liée par un pacte bilatéral avec Bruxelles qui l'empêche de réduire les quotas de migrants, la Suisse entend bien limiter malgré tout l'immigration, et pourrait de ce fait suspendre ses accords avec l'Union européenne.
Au beau milieu d’une crise migratoire sans précédent, les pays européens n’acceptent pas tous volontiers les quotas de réfugiés que voudrait imposer l’UE, et certains décident même de porter plainte devant la justice européenne.