BRAS DE FER

La Russie a dénoncé une décision «politique» après la condamnation par un tribunal néerlandais de trois hommes, dont deux ressortissants russes, au procès concernant le crash de l'avion de la Malaysia Airlines au-dessus de l'Ukraine en 2014.
La prison à vie a été requise contre trois Russes et un Ukrainien pour le crash du vol MH17 de la Malaysia Airlines en 2014 dans l'est de l'Ukraine, qui a fait 298 morts. La diplomatie russe juge l'enquête «biaisée» et «politisée».
Présent au cœur de l'affaire Navalny, Bellingcat affirme être un média indépendant. Ses liens avec l'Atlantic Council et le gouvernement britannique, ses sujets traités, toujours en droite ligne des positions de l'OTAN, permettent d'en douter.
Les Pays-Bas annoncent traduire en justice la Russie devant la CEDH «pour son rôle dans la destruction» du vol MH17. «Dès le début, La Haye a accusé la Russie d’être seule responsable du crash du Boeing», regrette la diplomatie russe.
Le procès de quatre personnes (un Ukrainien et trois Russes) accusées d'être impliqués dans le crash du vol reliant Amsterdam à Kuala Lumpur en Ukraine s'est ouvert malgré l'absence des accusés.
Les députés néerlandais se sont prononcés en faveur de l'initiative d'enquêter sur le rôle de Kiev dans le crash de MH17. Le gouvernement devra se pencher sur la question de savoir pourquoi l'espace aérien au-dessus du Donbass n'était pas fermé.
Vladimir Tsemakh, suspect dans l'enquête sur le crash du MH17, a été libéré sous caution ce 5 septembre par la Cour d'appel de Kiev. Il avait été arrêté en juin dernier par les services de sécurité ukrainiens.
Le mystère reste entier sur le crash du Boeing 777 de Malaysia Airlines. L'enquête internationale pilotée par les Pays-Bas se poursuit et la Russie en dénonce la partialité, reprochant aux enquêteurs de négliger les éléments qu'elle fournit.
L'équipe d'enquêteurs menée par les Pays-Bas accuse Moscou d'être responsable du crash du vol de la Malaysia Airlines au-dessus de l'Ukraine en 2014. Mais selon Kuala Lumpur, qui dénonce une instrumentalisation politique, les preuves manquent.
La Russie a dénoncé le 19 juin des accusations «totalement infondées» visant à la discréditer, après la désignation de suspects - trois Russes et un Ukrainien - par l'enquête internationale sur le crash du vol MH17 en 2014 dans l'est de l'Ukraine.
Tandis que le procès sur le crash d'un avion de la Malaysia Airlines au-dessus du Donbass en 2014 ne débutera que le 9 mars 2020, les enquêteurs ont livré les noms de quatre individus soupçonnés d'avoir fait déplacer le lance-missile.
Le ministère russe de la Défense a présenté en conférence de presse des documents démontrant, selon lui, que le missile qui a abattu au-dessus du Donbass un avion de la Malaysia Airlines en 2014 appartenait à l'Ukraine et avait été produit en 1986.
Dans une interview diffusée à la veille d'un déplacement à Vienne où il aura à cœur de défendre l'amélioration des relations avec le Vieux continent malgré les sanctions, le dirigeant russe a souligné l'importance de la stabilité de l'UE pour Moscou.
Dans un communiqué du gouvernement néerlandais, les Pays-Bas et l'Australie tiennent la Russie responsable de la catastrophe du vol MH17 abattu par un missile au-dessus de l'Ukraine en 2014. Le Kremlin rejette l'ensemble de ces allégations.
Selon un enquêteur néerlandais, le missile qui a abattu l'avion MH167 de la Malaysia Airlines en 2014 a été tiré par une unité militaire russe. Moscou a démenti cette accusation, qui n'est par ailleurs pas nouvelle.
Trois ans après le crash du MH 17 en Ukraine, des questions cruciales restent sans réponse. De leur côté, les enquêteurs internationaux semblent ne pas prêter attention aux données fournies par la Russie.
Trois ans après le crash du vol MH17 dans la région de Donestk, en Ukraine, près de 2 000 proches doivent rendre hommage aux 298 victimes, aux Pays-Bas, lors de l'inauguration d'un «bois du souvenir», monument officiel en leur mémoire.
Le chef de Rosaviatsia a accusé les spécialistes néerlandais de ne pas accepter «délibérément» l’aide russe lors du décryptage des données radar du MH17. D’après Moscou, les Pays-Bas tentent ainsi de faire végéter l'enquête.
L'enquête conduite sur les raisons du crash du vol MH17 en Ukraine a été remise en cause par les révélations de deux journalistes néerlandais. La découverte d'ossements sur le lieu du crash pourrait mener à de nouvelles investigations.
Deux journalistes néerlandais se sont rendus sur le lieu du crash du MH17, dans l’est de l’Ukraine. Ils affirment avoir retrouvé des fragments de l’avion et des restes humains, soulevant ainsi des questions sur l’enquête néerlandaise sur l'accident.