SIDERANT

Avec 46 % des voix, selon des résultats partiels, Bernie Sanders est arrivé en tête de la primaire démocrate dans le Nevada. Il s'impose ainsi comme le favori pour défier Donald Trump, avant le Super Tuesday du 3 mars, où 14 Etats iront voter.
A neuf mois de l'élection présidentielle aux Etats-Unis, Donald Trump a prononcé le traditionnel discours sur l'état de l'Union devant le Congrès. Un événement rythmé par quelques rebondissements...
Réagissant à l'appel de députées démocrates invitant leurs pairs à aller voir en Israël comment étaient utilisés les fonds américains, Donald Trump a exprimé son indignation. Il a estimé que les juifs qui votent pour les démocrates sont «déloyaux».
«Malgré une diversité record, deux septuagénaires blancs dominent la course» pour l'investiture démocrate, semble regretter l'AFP, notamment épinglée par Marianne pour ses évocations de l'âge, du genre et de la couleur de peau des candidats.
Washington a accusé ce week-end la Chine d'ingérences dans les élections américaines. Donald Trump qui s'insurge face aux accusations de collusion entre son équipe de campagne et Moscou a invité les observateurs à diriger leur regard vers Pékin.
La commission du Renseignement de la Chambre des représentants, à majorité républicaine, a rendu son verdict dans l'enquête sur la prétendue ingérence russe dans la présidentielle américaine. Aucun élément tangible n'a été trouvé.
La justice américaine a inculpé 13 ressortissants et trois entités russes pour leur supposée ingérence dans l'élection présidentielle américaine de 2016. Est-ce donc là la fameuse «ingérence de Moscou» que dénonce régulièrement la Maison Blanche ?
Donald Trump a refusé de dévoiler une note démocrate dans l'enquête «russe» à cause de certains passages «sensibles» pour la «sécurité nationale». Celle-ci rejetterait le «mémo Nunes» qui accuse d'abus de pouvoir le FBI et le ministère de la Justice.
Les chaînes de télévision américaines CNN et CBS pensaient prouver que Donald Trump avait bénéficié des services de WikiLeaks durant la campagne présidentielle. Mais c'était sans compter sur une erreur de date, qui compromet cette révélation...
Le président américain Donald Trump a affirmé ce 2 décembre qu'il n'était pas inquiet après l'inculpation de son ancien conseiller Michael Flynn, dans le cadre de l'enquête sur la supposée ingérence de la Russie dans la présidentielle américaine.
Michael Flynn, ex-conseiller du président Donald Trump, a plaidé coupable pour avoir menti au FBI dans l’enquête sur la supposée ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016. Il a aussi accepté de coopérer avec la justice.
Le chef de la diplomatie russe a de nouveau souligné le fait que Moscou n’avait pas l’intention d’influencer la situation à l’intérieur des autres pays, quels qu'ils soient, et n’utilisait pas les médias pour le faire.
Le président américain Donald Trump a nié les accusations de harcèlement sexuel portées contre lui pendant la campagne présidentielle de 2016, en les qualifiant de «fausses informations».
Dans un interview au New York Times daté du 8 octobre, Bob Corker, sénateur républicain et ancien soutien de Donald Trump s'est ouvert sur ses doutes concernant le président, estimant qu'il menait son pays vers la Troisième Guerre mondiale.
Le président américain a accusé les médias de partialité concernant la soi-disant ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016. Plus tôt, Moscou a nié avoir placé des publicités à caractère politique susceptibles d’influencer la campagne.
Donald Trump a diffusé une courte émission sur sa page Facebook, dans laquelle une présentatrice revient sur ses victoires politiques de la semaine. Le but affiché de la démarche est de contrer la mauvaise publicité des médias dits «mainstream».
D’après CNN, un sous-traitant du Comité national démocrate aurait transmis à ce dernier une offre formulée par Kiev, concernant le transfert d'informations compromettantes pour l’adversaire d'Hillary Clinton. Le parti dément.
Le président des Etats-Unis a dénoncé une «chasse aux sorcières» contre Donald Trump Jr., empêtré dans une tempête médiatique autour de sa rencontre avec une avocate russe. Le Kremlin déclare de son côté n'avoir pas eu connaissance de cette affaire.
Hillary Clinton est allée encore un peu plus loin dans l'interprétation de sa défaite contre Donald Trump. Selon elle, les Russes seraient allés jusqu'à coordonner leurs attaques informatiques avec des Américains, voire avec l'équipe de Donald Trump.
Les sénateurs américains ont décidé de suspendre un projet de loi sur de nouvelles sanctions antirusses, en attendant les conclusions de l’enquête sur la supposée ingérence russe dans la campagne présidentielle américaine.