Opérations de rachat, plans de restructuration, fermetures d'usine... Autant d'annonces inquiétantes pour l'avenir de l'industrie automobile sur le sol français. De fait, de façon globale, le déclin industriel dans l'Hexagone ne date pas d'hier.
En tentant d’importer certains de ses ouvriers polonais sur le site d’Hordain (Nord) à la place des intérimaires locaux, le groupe PSA voulait profiter de l’ «Europe sociale»… Analyse par le mensuel Ruptures.
Les bourses de Paris, Francfort, Londres, Madrid et Zurich ont toutes chuté à cause de la propagation de l'épidémie de coronavirus. La directrice du FMI estime que le virus Covid-19 pourrait «mettre en péril» la reprise de l'économie mondiale.
Magali Forestier reçoit Patrick Mennucci, ancien député et conseiller municipal de Marseille, Florian Philippot, président des Patriotes, ainsi que Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT Groupe PSA Peugeot-Citroën.
Un mois et demi après avoir rélévé leur projet de fusion, PSA et Fiat-Chrysler ont confirmé ce 18 décembre s'être mis d'accord. Ce mariage donnera naissance au quatrième constructeur automobile mondial et devrait bénéficier aux actionnaires.
Le géant automobile de Detroit a porté plainte contre son concurrent italo-américain, qu’il accuse d’avoir corrompu les syndicats pour lui nuire. De son côté l’administration américaine s’intéresse de «très près» au projet de fusion
Quelques mois après l'échec du projet de fusion entre Renault et l'italo-américain Fiat-Chrysler, des négociations ont commencé pour une fusion avec le français PSA. Le gouvernement français a déclaré accueillir «favorablement» ce projet
Au sommaire de ce Lab Eco : le bras de fer commercial Etats-Unis - Chine et le carton des champions français de l'automobile. Benjamin Masse-Stamberger, du comité Orwell, est notre invité spécial pour débattre avec Jean-Marc.
Au sommaire de ce Lab Eco : l’extraterritorialité de la loi américaine et les sanctions qu’elle implique, et l’explosion de la demande en produits bio.
L'Iran va pouvoir jauger le soutien que lui accordent la Russie et la Chine, après la sortie des Etats-Unis de l'accord sur le programme nucléaire iranien, lors du prochain sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai.
Après avoir annoncé que la stratégie de PSA ne changerait pas après le retrait américain de l'accord sur le nucléaire iranien, le groupe annonce son départ, tirant ainsi un trait sur son marché le plus dynamique et 40 ans de présence industrielle.
Le constructeur français maintient pour le moment sa présence en Iran et connaît un vif succès avec le lancement local de son modèle de citadine compacte, la C3.
L’Europe peut-elle résister aux sanctions américaines contre l’Iran ? Le risque pour les entreprises européennes de perdre leur accès au marché américain devrait primer sur les velléités de défendre une souveraineté plus que jamais illusoire.
Le gouvernement n'ayant pas caché son intention de céder des participations de l’Etat dans de grandes entreprises, RT fait le point sur le patrimoine financier du pays et sur ce que le gouvernement pourrait être tenté de privatiser.
Malgré les déclarations de Jean-Yves Le Drian sur le programme de missiles balistiques iranien et les fins de non-recevoir de Téhéran, les deux pays tentent de faire du commerce. Pourtant les menaces de la justice américaine imposent la prudence.
L'enseigne Pimkie a annoncé son intention de recourir à la rupture conventionnelle collective pour supprimer des emplois. L'application de cette disposition des ordonnances Macron modifiant la loi travail provoque la résistance des syndicats.
Après Renault, Hyundai ou Volkswagen, le groupe automobile français PSA va produire à son tour, dès 2018, des véhicules en Algérie, dans le cadre d'une co-entreprise créée le 11 novembre à Alger avec trois partenaires algériens.
Les salariés souhaitent que le constructeur automobile fasse un «effort supplémentaire» pour aller au-delà des 10 millions d'euros de commandes qu'il s'est engagé à passer en 2018. Ils comptent bloquer le site jusqu'au 21 juillet inclus.
Groupe mécanique découpage (GMD), une entreprise spécialisée dans la transformation des métaux par découpage-emboutissage basée à Saint-Etienne, propose de reprendre le site de l'équipementier GM&S dans la Creuse et de garder 120 de ses 277 salariés.
Plus de 400 salariés de l'équipementier automobile creusois GM&S Industry se sont rassemblées à Poitiers, où le tribunal de commerce doit décider de l'avenir de l'entreprise, deux jours après les promesses de commandes en hausse de PSA et Renault.