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Le général Tauzin a fait part à RT France de ses réserves et de ses doutes quant au projet de service national universel que souhaite mettre en place Emmanuel Macron et qu'il avait promis lorsqu'il était candidat à la présidence.
En scandant «Hollande, tes camps on n’en veut pas !», quelques centaines de personnes ont défilé à Versailles derrière une banderole «non au camp de migrants» contre un projet de centre migratoire sur la commune de Rocquencourt (Yvelines).
Alors que le 5 octobre, Le Figaro a annoncé que le général de corps d'armée Christian Piquemal avait été radié des cadres et n'avait plus le droit de porter l'uniforme, à droite, les politiques crient au scandale et font part de leur indignation.
Accusé d'avoir organisé une manifestation non autorisée à Calais le 6 février, le général de corps d'armée Christian Piquemal a été radié des cadres de l'armée d'après Le Figaro. Il n'a par exemple plus le droit de porter l'uniforme.
Le général Piquemal, ancien chef de la Légion étrangère, a été relaxé le 26 mai par le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer des faits d'organisation d'une manifestation interdite par la préfecture, a-t-on appris de source judiciaire.
Jugé pour avoir participé à une manifestation interdite du mouvement islamophobe PEGIDA le 6 février à Calais, le général Piquemal a reçu son verdict. Le ministère public a requis une amende de 500 euros. Une décision finale sera rendue le 26 mai.
Craignant débordements et violences, le préfet du Pas-de-Calais, Fabienne Buccio, a préféré interdire tout rassemblement en lien avec la crise migratoire sur les communes de Calais, Coquelles et Fréthun.
L’ancien numéro trois de la gendarmerie, auteur d’un livre considéré comme très critique à l'égard de l’état de la France, a perdu son poste de commandant de la gendarmerie d’Outre-mer, selon un décret publié dimanche 24 avril au Journal officiel.
Des hauts gradés de l’armée ont décidé de rompre le silence. Chacun à leur manière, les généraux Soubelet, Tauzin et Piquemal font part de leur inquiétude quant à l’avenir du pays. Focus sur les nouveaux forts en gueule de la Grande Muette.
Jean-Yves Le Drian a demandé que le général Christian Piquemal, ancien patron de la Légion étrangère poursuivi pour participation à une manifestation anti-migrants interdite, soit mis à la retraite. Le général Didier Tauzin réagit.
Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a demandé que le général Christian Piquemal, ancien patron de la Légion étrangère poursuivi pour participation à une manifestation anti-migrants interdite, soit mis à la retraite.
Ce «deux poids-deux mesures» pratiqué par la gauche dans ses actions répressives était jusqu’ici incompréhensible. Il devient maintenant insupportable pour une grande majorité de Français silencieux.
Les forces de sécurité n’ont pas fait preuve de discernement pendant l’arrestation du général Christian Piquemal, estime le général Bruno Dary.
Le général Piquemal, dont l’arrestation lors de la manifestation de Pegida du 6 février a fait grand bruit, a confié à l’agence Ruptly les détails de son arrestation et de son état de santé qui ne lui ont pas permis d'assister à son procès.
Cédric Michel est le président du Syndicat de défense des policiers municipaux (SDPM). Il a décidé de saisir la justice après la publication par RT France d’une vidéo montrant l’arrestation du général Piquemal, lors d'une manifestation anti-migrants.
C’est abominable qu’un vieillard de 75 ans soit tenu par la police comme si c’était un dangereux individu, s’indigne le général Jean du Verdier.
Le procès en comparution immédiate du général Christian Piquemal devait se tenir cet après-midi à Boulogne-sur-Mer, suite à sa participation à une manifestation interdite contre les migrants à Calais samedi. Il a été reporté au 12 mai 2016.
Dans une interview à RT, le politicien français Yvan Blot, qui est aussi un ami du général Christian Piquemal arrêté samedi lors d’un rassemblement de Pegida, a estimé que cette arrestation démontre que le gouvernement se coupe du peuple.
«Bienvenue en Hollandie», «injure du pouvoir» ou encore «honte», sont les mots que l’on a vu émaner d’une droite particulièrement remontée contre la décision d’arrêter l’ancien chef de la Légion étrangère, qui manifestait à Calais avec Pegida.
Cinq personnes, dont l'ancien commandant de la Légion étrangère Christian Piquemal devront comparaître lundi après-midi devant le tribunal de Boulogne-sur-Mer, après leur interpellation samedi à Calais lors d’un rassemblement anti-migrants de Pegida.